Pour contester un excès de vitesse, vous devez adresser votre contestation dans un délai de : 45 jours suivant la réception de l'avis de contravention ou de l'interpellation, 30 jours à compter de la réception de l'avis d'amende majorée.
Il est possible d'invoquer plusieurs motifs de contestation : Le véhicule a été volé ou ce n'était pas celui du contrevenant au moment de l'infraction. Le conducteur était une autre personne que celle titulaire de la carte grise. Le contrevenant conteste la réalité de l'infraction.
Dans ces cas, la contestation est possible et vous pouvez envoyer un formulaire de requête en exonération pour ne pas avoir à payer l'amende pour excès de vitesse.
A condition de respecter les délais : vous disposez de 45 jours suite à la réception de l'avis de contravention pour contester l'infraction. Vous devez pour cela vous rendre sur le site internet de l'ANTAI – Agence nationale de traitement automatisé des infractions.
Les motifs pour contester une contravention radar ou de stationnement peuvent être nombreux : erreur de plaque d'immatriculation, horodateur défectueux, défaut de signalisation, vice de forme sur l'avis de contravention, etc.
Contestez rapidement pour minimiser les risques
La plupart des amendes pour infractions routières, à l'exception de celles correspondant au stationnement, sont minorées si vous vous acquittez de la somme rapidement. Si votre objectif est de perdre le moins d'argent possible, cela reste la meilleure solution !
On parle d'excès de vitesse lorsque la vitesse maximale autorisée est dépassée. On parle de vitesse excessive quand vous roulez trop vite par rapport à un environnement dangereux sans toutefois avoir dépassé les limitations de vitesse.
Pour contester un avis de contravention ou une amende forfaitaire majorée, vous devez formuler une requête en exonération ou une réclamation auprès de l'officier du ministère public (OMP).
On peut également utiliser des réflecteurs radar, un objet à plusieurs faces réfléchissantes. Enfin, il est aussi possible d'utiliser des leurres, des objets volants télécommandés qui permettent de tromper l'opérateur radar, plutôt utilisés par les avions militaires.
Les forces de l'ordre ont la possibilité de verbaliser un automobiliste pour une infraction routière sans nécessairement procéder à son interpellation : c'est ce que l'on appelle communément les « pv à la volée ».
Le policier en repos a parfaitement le droit de dresser un pv.
Etape 1 : L'agent verbalisateur constate l'infraction sur l'écran du centre de contrôle. Etape 2 : Deux photographie de l'infraction sont enregistrées. Etape 3 : Un PV électronique est dressé associant les caractéristiques de l'infraction et les photos.
Madame, Monsieur, Suite à un défaut de stationnement (préciser la nature de l'infraction) à la date du (préciser), j'ai fait l'objet d'une contravention. Je sollicite aujourd'hui votre indulgence en vous exposant les motifs de cet incident. Expliquer les circonstances atténuantes à la réalisation de l'infraction.
La réponse est non. Vous n'êtes pas dans l'obligation de dénoncer la personne qui conduisait le véhicule : « Contrairement à une rumeur trop largement répandue, il n'y a jamais d'obligation de désigner le vrai conducteur, assure Maître Étienne Lejeune, avocat en droit routier.
Si vous avez contesté l'amende, vous pouvez suivre l'état d'avancement de votre dossier et vous assurer que votre contestation a bien été prise en compte. Préparez votre numéro d'avis de contravention (10 chiffres) ou la référence de l'amende forfaitaire majorée (12 chiffres).
Souvent, les candidats craignent de rouler trop vite durant l'examen. C'est pourquoi, ils jugent que le contraire est préférable, c'est-à-dire rouler (beaucoup) moins vite que la vitesse autorisée. Sachez que l'examinateur peut ne pas vous accorder le permis si vous roulez trop lentement.
Si un excès de vitesse est inférieur à 20 km/h et que la limitation est supérieure à 50 km/h (exemple : 95 km/h au lieu de 80 km/h autorisés). Dans ce cas, la sanction est de 45 € si vous payez dans les 15 jours (sinon 68 € dans les 45 jours). Perte de 1 point sur le permis.
Écrivez à la mairie pour faire installer des ralentisseurs de vitesse. Une adaptation de la vitesse dans les rues d'une ville est nécessaire au bien-être des riverains et habitants de la ville. Le maire peut installer différents systèmes de ralentissement comme les coussins, les plateaux ou les ralentisseurs.
C'est ce qui est expliqué dans l'article L. 223-1 du code de la route qui dispose : « La réalité d'une infraction entraînant retrait de points est établie par le paiement d'une amende forfaitaire ». Par conséquent, il ne faut absolument pas payer avant de faire une contestation d'amende.
Lorsque vous recevez votre amende forfaitaire, vous disposez d'un premier délai de 45 jours pour contester ladite amende. Si vous n'en faites rien dans ce délai, vous recevrez une amende forfaitaire majorée, que vous pourrez contester pendant 30 jours.
Pour contester l'amende forfaitaire pour délit, vous devez agir dans les délais suivants : Amende forfaitaire : 45 jours à partir de la date d'envoi de l'avis de contravention. Amende forfaitaire majorée : 30 jours à partir de l'envoi de l'avis d'amende forfaitaire majorée.
“Pour qu'il y ait vidéo-verbalisation, il faut la présence d'un agent de police derrière un mur d'écrans. En visionnant les différentes caméras, l'agent va détecter le comportement indélicat qui contrevient aux règles du Code la route. Il va visionner la vidéo, et constater l'infraction.
Vous avez quarante-cinq jours à partir de la date de votre contravention pour entamer la démarche, soit par Internet, via le site Antai.gouv.fr pour les radars, soit en envoyant un courrier recommandé avec accusé de réception auprès de l'officier du ministère public (tout est indiqué sur le PV).
Le policier municipal ne peut pas retenir le permis de conduire d'un usager qu'en cas d'excès de vitesse de 40 km/ h ou plus de la vitesse maximale autorisée et en cas de constatation d'infraction d'usage du téléphone tenu en main établie simultanément avec une autre infraction.