Ayez bien en tête quelques éléments clés de votre parcours. Inutile de lister vos expériences de manière chronologique. Choisissez en 2 ou 3 parmi les plus pertinentes en fonction de votre recruteur. Pour les identifier, il vous faut bien retenir les prérequis du poste proposé.
Elle consiste à écouter attentivement l'interlocuteur puis à choisir un mot qu'il utilise fréquemment dans son discours. À chaque fois qu'il prononce ledit mot, il est important de sourire et de hocher la tête pour lui montrer que vous approuvez ses propos.
Dans ce cas, celui-ci doit être bien préparé et ne surtout pas bafouiller quelque chose comme « que voulez-vous que je vous dise ? ». Le mieux est de commencer en parlant de sa dernière ou de son avant-dernière expérience professionnelle » rapporte Fabrice Coudray.
Quelle phrase pour finir un entretien d'embauche ?
Quelles phrases prononcer pour conclure un entretien d'embauche ?
Je vous remercie de m'avoir reçu.
Je vous remercie pour le temps que vous m'avez accordé.
Si le recruteur vous raccompagne à la sortie, cela peut être l'occasion de discuter des locaux de l'entreprise : comment s'organisent les différents services.
Par exemple, si vous devez vous présenter en trois minutes, vous pouvez compter : 1ère étape : 30 secondes (vous posez les bases) 2e étape : 1 minute (vous donnez un cadre à votre motivation) 3e étape : 30 secondes (vous expliquez pourquoi vous êtes ici et pas chez un autre)
Vous devez favoriser les présentations courtes. A titre d'exemple : pour une présentation de 5 minutes il ne faut pas plus de 5 diapositives. Retenez que votre présentation doit être lisible, précise, claire, aérée, cohérente, etc.
« Lorsque l'on dispose de trois minutes pour convaincre, inutile de se ruer uniquement sur le contenu, conseille-t-il. Il faut donc l'enrichir par une communication para-verbale (les connotations induites par la voix) et non verbale (celles induites par le corps) qui soit convaincante. »
“Présentez-vous”, “Parlez-moi de vous”, “Racontez moi votre parcours”, sont autant de façons pour le recruteur de vous céder la parole en début d'entretien. C'est un moment important car l'opportunité vous est donnée de prendre le contrôle de l'échange et de le tourner à votre avantage.
Conseils. Généralement posée en toute fin d'entretien, la question « Pourquoi vous et pas un autre ? » peut surprendre. L'objectif du recruteur n'est pas de mettre le candidat mal à l'aise, ni de lui demander de se comparer aux autres postulants, mais plutôt d'évaluer son degré de motivation.
Il faut parler de soi (état-civil, âge, formation, expérience), de ses qualités (ou de ce qu'on dit de vous), de vos goûts et centres d'intérêt et du pourquoi vous êtes ici en entretien. C'est un bon prétexte pour montrer sa motivation et son intérêt pour le poste et l'entreprise.
Comment répondre à la question parler moi de vous ?
Commencez votre réponse en donnant au recruteur un bref aperçu des formations suivies et de votre parcours professionnel. Veillez à n'inclure que l'expérience et les diplômes en rapport direct avec le poste. Pas besoin d'évoquer vos jobs d'été quand vous étiez étudiant ou l'école secondaire que vous avez fréquentée.
Il faut savoir considérer également sa personnalité, sa réactivité, sa disponibilité, son aptitude à l'écrit, son attitude, l'énergie qu'il dégage, ses intérêts, etc. Une fois que vous avez analysé ses compétences humaines, il faut pouvoir déterminer si sa personnalité est en adéquation avec le poste.
Le langage corporel, dont les micro-expressions du visage ainsi que la voix et l'intonation, est un outil pour détecter une personne qui ment. Néanmoins, il ne faut pas prendre un seul geste pour établir une conclusion mais analyser l'ensemble des signaux que le candidat nous donne.