A priori non, il n'y a pas de danger à faire craquer ses doigts si ce n'est celui de voir les gens vous regarder d'un sale oeil… D'abord d'où vient ce bruit ? Il y a eu pas mal d'hypothèses. Le fait de tirer sur ses doigts entrainerait une dépression dans le liquide synovial qui lubrifie les articulations.
Automassage des pieds et des orteils
Posez vos deux pouces à plat sous le pied, à l'arrière des orteils et pétrissez la peau comme si vous vouliez séparer les métatarses. Placez vos mains de chaque côté du pied puis frictionnez vigoureusement en faisant des mouvements de va-et-vient et de haut en bas.
Essayez de prendre un doigt entre le pouce et l'auriculaire de la main opposée. Tenez l'articulation du milieu. Pressez avec vos deux doigts sur l'articulation maintenue et vous pourrez entendre un léger craquement, pas aussi fort que les autres, mais audible quand même.
Se faire craquer les doigts ou les articulations n'est pas dommageable pour la santé et ne mène pas non plus à des problèmes d'arthrite. Selon les dernières études publiées sur le sujet, la durée du craquement ou la fréquence du geste n'ont aucune incidence sur des problèmes de santé futurs.
Les craquements des doigts semblent être provoqués par l'apparition soudaine et temporaire d'une cavité gazeuse intra-articulaire, appelée tribonucléation. Les autres recherches sur ces bruits se portent principalement sur les genoux et leurs liens avec l'arthrose, ainsi que sur le rachis.
En faisant craquer son cou, on peut déchirer les artères qui vont vers l'os du cou. Or, la déchirure de ces artères vertébrales peut entraîner un accident vasculaire cérébral. D'ailleurs, la survenue d'une douleur soudaine au niveau du cou peut être un symptôme d'accident vasculaire cérébral.
Une autre étude démontre que le fait de craquer ses articulations sur une période prolongée peut provoquer un gonflement des articulations et une réduction de la force de préhension. Augmentation du volume articulaire, craquement tendineux, frottements osseux, main arthrosique, blocage articulaire, entorses…
FAUX. Se faire "craquer le dos" (seul ou avec quelqu'un) est absolument déconseillé : seuls les professionnels peuvent correctement effectuer cette manipulation, et on risque par ailleurs de se faire encore plus mal.
Tout simplement parce que nous nous sentons mieux, plus souples ou moins raides après coup (au niveau de l'articulation manipulée tout du moins). Le soulagement n'est toutefois que temporaire et ses effets s'estompent après une vingtaine de minutes, ce qui conduit généralement les « craqueurs » à récidiver.
Maladie articulaire (arthrose ou arthrite du pied…) ; Une déformation ou une malformation (pied bot, pied plat, pied creux, hallux valgus, orteil en marteau ou en griffe…) ; Un névrome de Morton ; Un trouble veineux.
Les douleurs matinales, c'est-à-dire, lorsque vous posez le pied au sol en sortant du lit, ont souvent une origine inflammatoire (arthrite) ou musculo-squelettique (tendinite, ligament avec inflammation...).
La fascite ou aponévrosite plantaire et l'épine calcanéenne, principales causes de douleur au talon. Très fréquemment, la talalgie est due à des lésions du fascia plantaire ou aponévrose plantaire. C'est un ligament épais qui relie les orteils au calcanéus. On parle alors de "fascite ou aponévrosite plantaire".
Les craquements surviennent souvent quand il y a un manque de stabilisation au niveau de l'articulation. On va alors travailler les muscles qui soutiennent l'articulation. Et très souvent, les craquements vont disparaître , explique Julie Graham, kinésiologue et propriétaire de Kinik.
Consignes : les bras tendus, on place une main sur les doigts de l'autre main en extension. On tire ensuite doucement vers nous jusqu'à ressentir l'étirement. On maintient cette position pendant 10 secondes, et on relâche. On fait ensuite cet étirement avec la main en flexion.
Un choc provoque la fracture
Ce type de fracture est généralement dû à un choc direct sur le nez, de face ou de côté. Ces chocs peuvent survenir lors d'accidents de la route, d'agressions physiques, de rixes, pendant un combat sportif ou lors de match de jeux de ballons, et plus rarement à cause d'une morsure d'animal.
Essayez bien de descendre le coccyx vers le sol ; Tenez la position 30 secondes à 1 minute ; Relevez-vous en déroulant lentement le dos, vertèbre après vertèbre ; Renouvelez si nécessaire l'étirement plusieurs fois.
Le fameux craquement qui accompagne certaines de ces manipulations, ne correspond pas au frottement de deux os. Ce petit bruit est tout simplement provoqué par l'éclatement d'une bulle d'air séparant deux surfaces articulaires.
Pliez au niveau du genou la jambe de la hanche que vous voulez faire craquer. La jambe doit reculer à un angle de 90 degrés avec le pied de la jambe pliée, positionné sous votre derrière. Pliez l'autre jambe de manière à ce que le pied soit orienté vers le genou de la première jambe, en formant un triangle.
Quand la pression diminue dans ces cavités, des bulles peuvent se former dans le liquide synovial. Ce sont ces bulles qui explosent quand on fait craquer ses articulations, ce qui entraîne ce bruit caractéristique.
Exécution : S'allonger sur le dos et allonger les deux jambes au sol. Attraper son genou gauche avec sa main droite et faire basculer le genou gauche au sol du côté droit. Il faut essayer de garder l'épaule gauche collée au sol et maintenir la jambe droite bien tendue au sol. Faire la même chose de l'autre côté.
Poussez le menton vers la gauche.
Tenez-la entre vos mains et faites-la pivoter vers la gauche doucement, mais avec fermeté. Pendant que vous poussez votre menton vers la gauche, tirez aussi votre tête dans cette direction avec votre main droite qui se trouve déjà derrière votre tête.
Demandez à cette personne d'inspirer profondément, puis d'expirer lentement et de répéter cela 10 fois. La manœuvre est plus efficace quand la personne qui en bénéficie est relâchée. Mettez-vous derrière lui et enlacez cette personne, en lui serrant le haut de la poitrine. Soulevez-le en un geste brusque.
Cela peut naître à la suite d'un accident, à cause d'un manque de force ou d'un spasme musculaire, un manque de souplesse articulaire ou musculaire, une mauvaise posture prolongée, comme assis à un poste de travail informatique, de mauvaises postures assises ou de mauvaises techniques de travail.