Essayer de prévoir du temps ensemble, rien que vous et votre enfant. Du temps dédié c'est du jeu, une aide aux devoirs ou une balade au parc par exemple. Vous renforcez votre lien parent-enfant si vous lui consacrez du temps exclusif : pas de portable, pas de télévision en même temps.
1. Attachement secure. L'attachement sécure est corrélé à la sensibilité de la mère ainsi qu'au plaisir que cette dernière prend à s'occuper de son enfant. La relation mère/enfant est fluide et les réactions cohérentes et appropriées de part et d'autre, sans indépendance ou dépendance marquée.
Tenir votre bébé, le bercer ou lui parler doucement favorise l'attachement. Le premier lien d'attachement d'un bébé s'établit généralement avec sa mère, mais le lien qu'il partage avec son père est tout aussi important.
Selon le Dr Barkley, 20 minutes de temps de qualité quotidien avec nos enfants sont suffisantes pour accroître le lien d'attachement, créer une relation significative et répondre à leur besoin d'attention. Ces moments de jeu s'inscrivent dans notre quotidien par des petits bonheurs de la vie très simples.
Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.
Respectez les limites que votre enfant adulte a fixées concernant votre relation et n'essayez pas de les repousser, fixez-en plutôt quelques-unes vous-même. Apprenez à accepter votre enfant tel qu'il est et admettez le fait qu'il soit une personne indépendante et capable de faire ses propres choix.
Présentez vos excuses sincères. Et répéter "une mère/un père devrait pouvoir dire n'importe quoi à son enfant, car je suis la/le seul à t'aimer assez pour te dire la vérité" risque d'aggraver le conflit. En effet, être parent ne donne pas le droit de blesser gratuitement son enfant.
Comment se développe l'attachement de l'enfant à l'adulte : S'attacher signifie s'unir, se lier à quelqu'un. Cette personne en l'occurrence, l'éducatrice ,devient une personne à qui l'enfant est ''lié'', il peut s'y référer. Elle le connaît, elle peut prendre sa défense et le protéger.
Un lien affectif implique une relation qui est émotionnellement significative. L'individu souhaite maintenir une proximité ou un contact avec la personne envers qui il éprouve un lien affectif. L'individu ressent de la tristesse ou de la détresse lors d'une séparation non volontaire avec cette personne.
Les relations significatives sont celles qui perdurent, qui ne s'en vont pas, qui ne préjugent pas, qui ne succombent pas aux tyrannies sociales, qui ne cherchent pas d'excuses et ne génèrent pas de tristesse.
Mettre des mots sur vos émotions, exprimer vos besoins et trouver ensemble des solutions sont de bons moyens de régler les chicanes avec votre enfant. Prendre le temps d'écouter votre tout-petit ainsi qu'avoir des attentes claires et des routines sont des stratégies qui permettent de prévenir les conflits.
Il est peut-être trop en colère ou trop triste pour pouvoir parler. Il a peut-être besoin d'un câlin, d'une présence non jugeante, d'une personne auprès de qui il peut pleurer, de solitude, de temps pour libérer son énergie de colère avant de pouvoir réfléchir…
Il existe quatre grands profils d'attachement : l'attachement sécurisant, l'attachement insécurisant de type évitant, l'attachement ambivalent et l'attachement désorganisé.
Le DSM-5 distingue deux formes de troubles de l'attachement : le trouble réactionnel de l'attachement et le trouble de l'engagement social désinhibé.
L'attachement de type insécure-évitant se développe lorsque le parent ne répond pas adéquatement aux besoins de l'enfant. En réponse à ce comportement, qui amène initialement de la détresse, l'enfant s'adapte en paraissant peu affecté par la séparation et évite la proximité avec sa mère au moment des retrouvailles.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
En lui disant « je t'aime », mais à bon escient.
Dire “je t'aime” doit être un élan du cœur. Il faut le dire pour l'enfant, et non pour soi ; pas pour se dédouaner parce qu'on se sent coupable, ni pour l'entendre en retour. »