Dans une casserole, on dispose les macabos bien lavés et on y verse un peu d'eau, juste nécessaire pour couvrir à peine les tubercules. Le contenant peut alors être placé sur un feu vif. Lorsque l'eau bout, on peut ajouter du sel et/ou un autre assaisonnement.
Mettre le macabo dans une casserole, ajoutez les condiments écrasés, bougas, les écrevisses, l'oignon découpés, l'huile rouge, ajoutez le ndolè, le sel, cube et verser de l'eau, placez au feu. Remuez de temps en temps et (feu moyen). Servez, quand c'est prêt !!!
La conservation du macabo peut s'effectuer de deux manières. Tout d'abord en champ, dès la maturation des tubercules qui survient au 9 ème mois après les semis, on peut laisser le macabo sur tige sans le récolter. Cette période de conservation peut durer 6 mois.
Ces tubercules doivent être consommés rapidement. Ils peuvent se conserver une semaine au réfrigérateur ou être congelés (éplucher et plonger 5 min dans de l'eau bouillante au préalable). - Utiliser des gants pour peler et laver les tubercules afin d'éviter les démangeaisons.
Une plante végan, sans gluten et internationale
Une plante aux multiples bienfaits, sans gluten, végan compatible, riche en antioxydants, très utile contre l'ostéoporose et facile à digérer grâce à sa teneur en amidon. Elle peut dépasser 2 m de haut avec une tige plutôt courte et des feuilles larges.
Après l'ébullition, il faut attendre 10 à 15 minutes avant de mettre fin à la cuisson. Les morceaux de manioc deviennent plus tendres et sont facilement pénétrés par une fourchette. La cuisson doit être stoppée aussitôt lorsque le tubercule est cuit afin d'éviter qu'il absorbe l'eau dans laquelle il est cuit.
Un rapport de la FAO a confirmé que tremper le manioc dans de l'eau pendant cinq jours avant de le sécher puis le manger permet de réduire fortement le niveau de cyanure et ainsi le rendre comestible.
Eléments distinctifs. A première vue, le taro et le macabo sont assez semblables. Pourtant, il y a des caractéristiques nettement visibles qui permettent de les distinguer facilement. Le taro atteint une hauteur d'un à deux mètres et possède des feuilles larges, avec de longues pétioles sortant d'un verticille.
Description. Le Xanthosoma sagittifolium, macabo, malanga ou chou Caraïbe, est une plante tropicale dont les feuilles sont en forme d'oreilles d'éléphant. Certaines plantes de macabos peuvent ou non, connaître une floraison. De la famille des aracées, c'est une plante à tubercules originaire de l'Amazonie.
Pour la récolte, elle a souvent lieu 8 à 11 mois après le semis, soit entre novembre et janvier. Le macabo peut se cultiver dans toutes les régions du Cameroun, à l'exception du Nord et de l'Extrême-Nord où la pluviométrie n'est pas suffisante pour son cycle de production.
La manière la plus courante de détoxifier le tubercule est la fermentation par des lactobactéries naturelles. On peut cloner les gènes de ces microorganismes pour améliorer cette méthode.
Connue pour ses vertues nutritionnelles, la pastèque se fait de plus en plus une place parmi les cultures les plus rentables en Afrique.
Comment cuisiner et déguster le manioc ? Même si le manioc doux se cuisine cru ou cuit, il est recommandé de le cuire. Le manioc amer lui ne peut pas être manger cru, car contenant du cyanure qui est extrêmement toxique. Lorsqu'il est cuit, il possède un délicat goût rappelant la pomme de terre ou même la châtaigne.
In CMF, Xanthosoma sagittifolium (Macabo tree) leaves are generally used for storage.
Multiplication. Le macabo se propage de façon asexuée par bouturage. On peut utiliser les bourgeons latéraux se formant à la base de la tige, ou les fragments de la corme et des cormels ou bien des tubercules entiers.
En culture pure la densité pour un hectare étant de 10.000 pieds et prévoir en moyenne 1500 kg soit 15 sacs de 100 kg de semence; Sur un hectare de macabo, on peut récolter plus de 15 tonnes (150 sacs de 100 kg) de gros macabo destinés à la consommation, et environ 3 tonnes (30 sacs de 100 kg) de petits tubercules ...
Le taro est un tubercule tropical comestible proche de la pomme de terre. Il est cultivé dans toute l'Asie tropicale et pousse dans les régions humides. La plante peut atteindre environ un mètre de hauteur.
Le manioc, qui contient environ 327 mg de HCN/kg est épluché, coupé en rondelles et seché au soleil pendant trois semaines environ, jusqu'à ce que le niveau du cyanure tombe à quelque 95 mg/kg. On le réduit alors en farine à laquelle on ajoute de l'eau chaude pour former une pâte appelée chima.
Les bienfaits du manioc
De par sa richesse en glucides, en amidon et en fibres alimentaires, le manioc représente un réel avantage pour la santé. Il est à la fois très digeste, rassasiant et a un effet régulateur sur le transit intestinal.
Le manioc regorge également de minéraux comme le zinc, le cuivre et le magnésium, qui donnent de l'énergie au corps. C'est une source extraordinaire de potassium, qui contribue à produire des fluides cellulaires, et il régule le rythme cardiaque et la tension artérielle.
Le manioc est composé à près de 70% de glucides sous forme d'amidon. Il est donc consommé comme un féculent et servir de source d'énergie Il est par contre pauvre en lipides et en protéines. Un aspect intéressant du manioc, et de sa farine, est qu'ils sont naturellement sans gluten.
Le manioc est également recommandé aux personnes diabétiques car il a un faible indice glycémique. Sa forte teneur en fibres permet de ralentir la vitesse d'absorption du sucre dans le sang.
Manihot esculenta est le manioc dit "amer" : ses racines longues doivent être minutieusement préparées pour éviter sa toxicité. Manihot opi, quant à lui, est le manioc "doux" : les racines sont plus petites et peuvent être consommées telles quelles, tout comme ses feuilles. À privilégier !