La prolifération nucléaire, tant au niveau des puissances nucléaires que des pays cherchant à produire ou à acquérir l'arme, ou des organisations terroristes cherchant à se procurer des bombes sales, est un phénomène qui accroît le risque d'une guerre nucléaire déclenchée par accident ou erreur.
Seul le président de la République peut déclencher le feu nucléaire. Des procédures existent pour garantir qu'il pourrait le faire à tout moment – et qu'il serait le seul à pouvoir le faire.
En cas d'alerte nucléaire, le gouvernement français recommande de : Se mettre rapidement à l'abri dans un bâtiment en dur. Se tenir informé via les médias et les réseaux sociaux. Ne pas aller chercher les enfants à l'école.
Historiquement, la responsabilité de cette utilisation incombe au chef de l'État ou à l'autorité militaire du pays possédant ce type d'arme.
L'Islande : le pays le plus sûr
L'Islande est, selon le classement Global Peace Index 2021, le pays le plus susceptible de rester pacifique au milieu d'une guerre mondiale. En raison de sa situation géographique (extrême nord de l'Europe, au milieu de l'océan Atlantique) et en raison de sa tradition pacifiste.
Cependant une guerre risque belle et bien de se produire en France. Les causes exactes sont encore incertaines. Beaucoup de personnes commencent à évoquer un soulèvement pour le printemps 2022 ! Peut-être qu'il y aura un rapport avec la crise sanitaire de 2020 liée au Covid 19 et ses confinements.
Agir en cas d'alerte nucléaire
Mettez-vous à l'abri dans un bâtiment en dur, fermez portes et fenêtres et coupez la ventilation. Si vous êtes dans un véhicule, gagner un abri (immeuble, logement..) le plus rapidement possible. Un véhicule n'est pas une bonne protection.
Le plus puissant premier essai de bombe A
Avec Gerboise bleue, la France est devenue la quatrième puissance nucléaire, après les États-Unis, l'URSS et le Royaume-Uni. Ce test demeure, en 2020, le plus puissant premier essai nucléaire.
Bombe atomique : où sont-elles conservées, en France ? L'Hexagone ne s'arrête pas là : c'est également à Valduc, perdu dans une "forêt giboyeuse", que sont conservées l'intégralité des matières fissiles nécessaires à la production de pareille armes.
L'Australie, championne de la survie
Mais en cas de conflit entre les Etats-Unis et la Russie - le plus important envisageable à l'heure actuelle -, la production de calories pourrait culminer à 90% trois ou quatre ans après la guerre.
À moins d'être touchée par une terrible catastrophe naturelle, l'île de Tristan Da Cunha constitue un bon repère en cas de guerre. Sise dans l'océan Atlantique, elle est plus concrètement localisée à proximité des îles Inaccessible et Nightingale.
Éloigner tant que possible les personnes de la source des rayonnements : l'intensité des rayonnements ionisants diminue avec le carré de la distance. Diminuer au maximum la durée d'exposition aux rayonnements. Placer entre la source et les personnes exposées un ou plusieurs écrans/blindages de protection.
À la tête de l'État russe, trois hommes ont accès à l'arme nucléaire. Vladimir Poutine, mais également son ministre de la Défense et le chef d'état-major des armées.
Si la France possède moins de têtes nucléaires déployées que la Russie (environ 1.500 « actives ») et les États-Unis (1.300), son arsenal s'élève à 280 têtes, plus 20 en réserve. Elles se répartissent entre les Forces Océaniques Stratégiques (FOSt) et les Forces Aériennes Stratégiques (FAS).
La Russie, pays le plus puissant d'un point de vue nucléaire
Ainsi, en 2022, la Russie détiendrait quelque 6 000 ogives nucléaires devant les États-Unis (5 977 pour la Russie, 5 428 pour les États-Unis), ce qui la place en tête de liste dans le classement des puissances nucléaires mondiales.
Depuis 1945, plus de 2 000 essais ont eu lieu, dont plus de 1 100 par les États-Unis et plus de 700 par l'Union soviétique. Sur ce total, environ 500 ont eu lieu dans l'atmosphère, plus de 1 500 sous terre, dix-sept à très haute altitude et quatre sous la mer.
La « Tsar Bomba » (en russe : Царь-бомба), ou RDS-202 (en russe : РДС-202) ou encore « Objet 602 » (en russe : изделие 602), est une bombe à hydrogène conçue par l'industrie nucléaire de l'Union soviétique.
Le Mouvement de la Paix rappelle qu'un seul des 64 missiles nucléaires M 51 dont le remplacement est prévu coûte 150 millions d'euros (Usine Nouvelle) soit le coût de 150 scanners corps entier à 1 million d'euros l'unité.
Il doit être possible d'abattre un missile nucléaire avant qu'il n'incinère Berlin. Oui, à la rigueur, on peut en intercepter un seul, mais s'il y en a une ou plusieurs dizaines en route, il n'y a malheureusement pas de riposte possible.
En France, l'iode stable peut être distribué gratuitement par les autorités compétentes (exemple : par voie postale) ou par les pharmacies, uniquement aux populations exposées à un risque nucléaire c'est-à-dire localisées dans un rayon de 20 km autour d'une centrale nucléaire.
En 2019, la Russie et les États-Unis possèdent toujours plus de 90 % des armes nucléaires du globe, bien qu'ils en aient démantelé un grand nombre depuis le pic atteint durant la guerre froide.
Pour que la stabilité de la zone euro-atlantique soit assurée, il est indispensable que l'Ukraine soit forte et indépendante. Nouées au début des années 1990, les relations avec ce pays ont évolué jusqu'à constituer l'un des partenariats de l'OTAN les plus substantiels.
La guerre froide, commencée entre 1945 et 1947, s'était achevée le 26 décembre 1991 avec la dissolution de l'URSS. L'après-guerre froide s'est conclu le 24 février 2022 avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
Outre la Biélorussie, l'autre soutien indéfectible de Vladimir Poutine est sans conteste la Syrie. Et pour cause : Bachar al-Assad lui doit très largement son maintien.