Afin de défendre sa thèse, l'auteur du texte emploie des arguments : des idées, des causes, des références. Il les appuie et les rend plus concrets grâce à des exemples. Un argument est abstrait, général : il fait le plus souvent appel à la logique. Un exemple est plus concret, plus particulier, voire même anecdotique.
Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche... Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
Pour dégager la thèse d'un texte argumentatif, il est possible de se poser la question suivante : Quelle est l'opinion de l'auteur ou de l'autrice sur le sujet? La réponse obtenue à cette question est la thèse, qu'elle soit mentionnée explicitement ou implicitement.
L'introduction de thèse doit amener le lecteur à découvrir le sujet, notamment les raisons qui ont poussé le doctorant à s'intéresser à son thème.
Les arguments sont les raisons de fond qui sont avancés pour justifier sa thèse et convaincre le lecteur. Il faut les distinguer des figures rhétoriques qui cherchent à persuader par la forme (beauté du discours, force des images…). Comme la thèse, les arguments s'opposent à des arguments adverses explicites ou non.
Pour commencer votre argumentation il faut être clair sur vos objectifs : annoncez-les clairement puis argumentez pour les atteindre. Dans la mesure du possible, vos arguments doivent être nourris par des faits précis et indiscutables, afin d'éviter que votre interlocuteur puisse les remettre en cause.
Pour soutenir un point de vue, une opinion, l'énonciateur utilise des arguments. Ce sont des faits ou des idées qui prouvent qu'il a raison. On utilise des des exemples pour rendre plus clair et illustrer un argument.
Une argumentation qui ne vise pas seulement à convaincre, mais à persuader fait appel aux sentiments de l'interlocuteur plus qu'à sa raison. L'objectif est d'agir sur sa sensibilité afin qu'il adhère entièrement à la thèse soutenue.
« Pierre est un grand joueur d'échec. De plus, c'est un très bon chercheur. Donc Pierre est intelligent” constitue un argument. Attention, nous découvrirons bientôt que certaines prémisses ou la conclusion d'un argument peuvent être omises.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
2. L'accroche basée sur des mots-clés. Exemple : "Mes qualités : organisé(e), optimiste, déterminé(e), flexible et toujours souriant(e)." On retrouve souvent cette accroche sous la forme d'un encadré, encore une fois juste en-dessous du titre du CV pour respecter la mise en page classique du document.
L'accroche se situe juste avant la définition des termes du sujet. Sa fonction est d'amener vers l'explication des mots du sujet et vers la problématique. On part d'un élément « quelconque » et on le rattache au sujet et au problème philosophique qu'on va étudier.
En règle générale, un argument solide doit être étayé par des preuves solides, logiques et cohérentes. Les contre-arguments doivent également être étayés par des preuves et être logiques. L'objectif est de créer un dialogue constructif et de trouver la vérité en examinant tous les points de vue.
Il s'agit de s'adapter au contexte, à la personnalité de l'interlocuteur et de choisir les bons arguments. Assertivité, considération positive, empathie, cohérence et persévérance sont des qualités essentielles à la persuasion. La maîtrise du verbal, para-verbal et non verbal est indispensable.
Se faire comprendre pour susciter la confiance
Pour susciter la confiance, il faut tout d'abord être compris. Cela signifie présenter des idées, des informations adaptées au niveau de technicité du public. C'est aussi structurer son intervention de façon logique et lisible pour faciliter l'appropriation des messages.
Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche... Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
→ ce dont on parle. La thèse : c'est l'opinion donnée sur ce thème. Il peut s'agir de défendre une idée (on parle de « thèse défendue ») ou de la déconstruire (on parle alors de « thèse réfutée »), les deux allant souvent de pair. → ce qu'on dit sur le thème, ce qu'on en pense.