Bon sens, sentiment de ce qui est raisonnable ; capacité de juger sainement.
Enfin, le bons sens, nécessite de savoir adopter une posture de non-sachant, et d'accepter de ne pas détenir toutes les clefs. C'est finalement faire preuve d'humilité quelque part et se dire que seul, nous ne savons peut-être pas comment faire, mais qu'ensemble, c'est sûr, nous trouverons.
Le bon sens consiste à savoir se souvenir, je le veux bien, mais encore et surtout à savoir oublier. Le bon sens est l'effort d'un esprit qui s'adapte et se réadapte sans cesse, changeant d'idée quand il change d'objet. C'est une mobilité de l'intelligence qui se règle exactement sur la mobilité des choses.
Avant de dire quelque chose qui pourrait paraitre insultant ou blessant, réfléchissez à ce que vous ressentiriez si quelqu'un vous disait la même chose. Si c'est quelque chose qui vous met mal à l'aise, le bon sens suggère que vous devriez dire quelque chose qui n'est pas blessant ou que vous vous absteniez de parler.
Reprenons donc la première phrase du Discours au complet : « Le bon sens, écrit Descartes, est la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils n'en ont ».
Résumons la thèse platonicienne sur le bonheur comme cela : une vie passée à courir après ce dernier est épuisante. Pour vivre heureux, il faut absolument maîtriser la force de notre désir. Le bonheur n'est pas dans le plaisir à répétition, mais dans la quête des plaisirs durables.
Si donner du sens à sa vie semble être une priorité pour chacun, il permet aussi de trouver une sorte de cohérence en nous, liant, entre eux, chacun de nos gestes, de nos actions. Malheureusement aujourd'hui, beaucoup encore vivent au rythme de la société, dans un conformisme presque naturel pour eux.
La vie humaine est d'abord « vie » au sens où les plantes et les animaux sont aussi des êtres vivants. Le principe de la vie étant, pour Aristote, l'âme ; il lui faut distinguer différentes parties de l'âme afin d'isoler sa dimension spécifiquement humaine.
Le sens du relationnel peut se définir comme la capacité à nouer des relations et les entretenir. Avoir le sens du relationnel, c'est savoir communiquer sur le plan verbal et non verbal, savoir influencer et convaincre, savoir se faire apprécier par les autres, et par extension, à s'intégrer aux groupes d'individus.
2. Qui dénote du bon sens, de la justesse d'esprit. Synon. judicieux.
Le sens de l'organisation traduit la capacité d'une personne à planifier son travail, à mettre en place les moyens adéquats pour exécuter une tâche dans les délais requis et à atteindre les objectifs fixés de manière autonome. Cette compétence se révèle dans plusieurs aspects de la personnalité d'une personne.
Capacité de discerner clairement ce qui est évident, sans en être distrait par d'autres considérations. Aussi l'injustice est-elle le défaut capital des natures féminines.
1. Fait de déterminer les caractéristiques d'un concept, d'un mot, d'un objet, etc., ensemble des propriétés essentielles de quelque chose : La définition de ce mot n'est pas facile. La définition de produits nouveaux, du public à atteindre. 2.
Cela est souvent dû à un manque ou une perte de confiance en soi. Sachant que notre confiance en nous s'érige autour de nos expériences de vie, il serait important pour vous de mettre en lumière (une introspection) sur des vécus marquants sur le plan relationnel et émotionnel pour vous.
Il s'agit d'un état durable de plénitude et de satisfaction, agréable et équilibré de l'esprit et du corps. La souffrance, l'inquiétude, le trouble sont absents. Le bonheur est en lien avec l'image que l'on a de soi par rapport à tout ce qui nous entoure.
Donc pour Kant le bonheur est un idéal de l'imagination puisqu'il ne peut pas être déterminé précisément, rationnellement. Dans Fondements de la métaphysique des mœurs, Kant précise que si le bonheur était la finalité réelle de l'homme, alors la nature aurait bien mal agit.
L'épicurien vit donc à la fois d'ascétisme (une vie sans superflu) et de jouissance des bons plaisirs dont l'amitié et la philosophie sont parmi les plus précieux. Selon Épicure, la vertu de la prudence est indispensable pour atteindre le bonheur.