DÉSIR, subst. masc. Action de désirer; aspiration profonde de l'homme vers un objet qui réponde à une attente.
Le désir est un mouvement qui porte les hommes à vouloir posséder quelque chose, ou atteindre un but, qui devront leur procurer une satisfaction. C'est donc un état caractérisé par un sentiment de manque et de privation. À l'inverse, le bonheur est un état durable de plénitude, de bien-être, de satisfaction.
Le désir étant un ressenti, il s'agit donc d'un processus très subjectif qui dépend de facteurs psychiques, physiques, cognitifs, émotionnels, relationnels et sociaux. Ceux-ci changent et évoluent avec le temps, au gré des rencontres et des expériences sexuelles.
L'amour se construit sur la durée et la profondeur de l'engagement. Le désir correspond à une envie primaire et débouche souvent sur des histoires d'un soir frustrantes. L'amour est un repère réconfortant; lorsqu'il est correctement entretenu, il peut durer toute une vie.
C'est naturel : l'attirance sexuelle est une question de biologie et de chimie. Ici, on n'est maître de rien. Ce sont les désirs irrépressibles qui s'expriment. Les phéromones agissent comme des messagers entre les individus, elles créent en partie l'attirance physique.
Les envies sont le moteur de la société de consommation. D'elles naissent le désir de s'approprier, de consommer, d'avoir. Si le besoin rime avec nécessité, obligation, quelque chose d'essentiel à la vie ; le désir rime avec souhait, envie, quelque chose qui n'est pas essentiel.
C'est une pulsion psychobiologique commandée par le cerveau qui fonctionne comme une étape de préparation à l'acte sexuel. Une sexualité dite « normale » par les professionnels de santé est composée de plusieurs étapes : la phase du désir, l'excitation, le plateau (coït ou stimulation), l'orgasme et la résolution.
Le désir a un caractère signifiant : Il semble aller au-delà de l'objet du désir, qui n'est qu'un support : Pour Freud, l'homme a un désir d'un temps originel de plénitude. Pour Platon, l'homme a un désir d'immortalité. Pour Hegel, l'homme a un désir de reconnaissance.
« Il (i. e. Épicure) a établi un premier groupe, celui des désirs naturels et nécessaires ; un second, celui des désirs naturels, mais non nécessaires ; un troisième enfin, celui des désirs qui ne sont ni naturels ni nécessaires.
Un désir est une action, une aspiration profonde de l'humain vers un objet, une réalisation ou une personne, qui répond à une attente précise. Concrètement, ce que l'on désire le plus au fond de nous. Ce qui peut nous rendre complètement fou parfois, car on y pense pendant des jours, des mois, des années.
Le désir est une émotion d'anticipation au même titre que la peur. Nous imaginons le plaisir procuré par une situation (souhaits, envies, rêves, convoitises, aspirations…).
Le désir est désir sexuel. Bien sûr, comme désir, il a un objet absolu qui n'a rien à faire avec la sexualité. Mais la sexualité trouve son principe dès l'émergence de la pulsion de mort, qui fait le fond ensuite de tout ce qui pourra apparaître du désir.
Le désir semble contradictoire. D'une part il traduit la puissance d'exister d'un être qui enchante par son dynamisme sa vie et le réel et produit grâce à lui une réalité aux couleurs de ses rêves ; d'autre part il confronte l'homme à l'impuissance et au désespoir du désir insatisfait.
Les hommes ont plus souvent envie de faire l'amour que les femmes… Leur libido est toujours plus forte que celle des femmes…
Un homme troublé par une femme éprouvera des difficultés à contrôler certains comportements. Voici quelques indices pouvant confirmer vos interrogations : Il devient nerveux. Cela se traduit par des mains moites, un regard fuyant, des difficultés à s'exprimer ou, au contraire, un débit de parole important.
Physiologiquement, la femme est cyclique et donc soumise à une montée d'œstrogène et de testostérone au début de son cycle. Ces 2 hormones entraînent une montée progressive de la libido qui la rend plus sexy, plus sociable et lui permet d'atteindre l'orgasme plus rapidement.
Les désirs peuvent changer rapidement, une journée, il veut un chien et le lendemain un cheval. Les enfants apprennent ainsi à retarder la satisfaction de leurs désirs et cela leur apprend aussi à attendre et à persévérer. Ce qui leur sera utile pour leurs apprentissages scolaires, entre autres.
Le désir peut naître uniquement parce que quelqu'un pense pouvoir combler, par un objet spécifique, la « faille » qui l'habite. C'est d'ailleurs cette faille ontologique qui nous caractérise tous en tant que « sujets » et qui nous pousse à désirer.
Embrassez-le avec passion pour le rassurer et lui montrer votre amour. Les baisers réveillent bien souvent la libido. En clair, sachez improviser au quotidien ! L'objectif est de créer des situations où votre partenaire sera plus réceptif aux contacts intimes.
Quand on le ressent, nos pupilles se dilatent, notre coeur se met à battre plus vite, on a les mains moites, les lèvres gonflées… Notre corps est une véritable petite usine à désirs! Lire aussi : Les suppléments alimentaires sont-ils nécessaires à notre santé?
Ce sont les fesses qui attirent le plus les hommes hétérosexuels. Entre les fesses et la poitrine, les hommes français ont tranché : ce sont les premières qui les attirent le plus. Toutefois, l'écart entre ces deux parties du corps est relativement faible : 27 % s'intéressent d'abord aux fessiers et 23 % aux seins.