Selon La toupie : L'égalité des chances est une vision de l'égalité qui cherche à faire en sorte que les individus disposent des “mêmes chances”, des mêmes opportunités de développement social, indépendamment de leur origine sociale ou ethnique, de leur sexe, des moyens financiers de leurs parents, de leur lieu de ...
L'égalité des chances est un axe fort de la politique éducative interministérielle. Les transformations engagées depuis 2017 ont pour objectif de donner à chaque élève les mêmes chances, quelles que soient ses origines sociales ou territoriales, notamment en matière d'orientation.
L'inégalité des chances désigne plutôt une situation objective où les membres d'une collectivité, du fait de leur appartenance à un corps social particulier, une religion ou une ethnie, n'ont pas les mêmes droits d'accès à toutes les positions sociales statutaires.
Qualité de ce qui est égal ; équivalence : Égalité de fortune. 2. Absence de toute discrimination entre les êtres humains, sur le plan de leurs droits : Égalité politique, civile, sociale.
La notion d'égalité
L'égalité est un principe à valeur constitutionnelle. L'article 6 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose que "la loi doit être la même pour tous". Les personnes dans la même situation doivent être traitées de manière identique.
Pour remédier à cela, il faut égaliser l'offre scolaire, développer une politique de discrimination positive ciblée sur les individus et les établissements, faire en sorte que les acteurs du système soient en relation étroite les uns avec les autres, à commencer par les parents et permettre la circulation des personnes ...
L'égalité des chances est un principe de justice incontestable, mais elle n'est pas la totalité de la justice scolaire, car elle ne dit rien de l'ampleur des inégalités scolaires elles-mêmes, des écarts entre les meilleurs et les moins bons des élèves.
L'égalité entre les filles et les garçons est un principe fondamental inscrit dans le code de l'éducation. Elle encourage un climat scolaire serein, assure un cadre protecteur - sans comportements ni violences sexistes - et elle favorise la mixité et l'égalité en matière d'orientation.
- L'équité est un principe de justice distributive alors que l'égalité est un principe de justice commutative (Aristote).
L'école française accentue les inégalités entre les élèves et le poids de l'origine sociale sur les performances des élèves y pèse bien plus qu'ailleurs. Cette situation est d'autant plus intolérable que nous ne cessons de légitimer l'école en France au nom de l'égalité des chances et de l'ascenseur social.
L'égalitarisme strict considère que l'égalité des droits n'est que formelle et que, appliquée à un système inégalitaire, elle permet de légitimer et reproduire les inégalités déjà en place (document 8).
Allant plus loin que la simple égalité des droits, l'égalité des chances consiste principalement à favoriser des populations qui font l'objet de discrimination afin de leur garantir une équité de traitement. Elle implique que les écarts liés au milieu d'origine soient neutralisés.
Nombreux sont ceux d'entre nous qui n'envisagent pas l'éducation comme un cadeau. Et pourtant, l'éducation contribue à une vie meilleure pour tous, en réduisant la pauvreté, en améliorant la santé, en réduisant la mortalité infantile et en favorisant l'égalité des sexes.
disponibles montrent que les facteurs liés à l'origine sociale (situation socioprofessionnelle et formation scolaire des parents) sont les variables explicatives principales des inégalités scolaires.
Par "inégalités scolaires" nous entendons une inégale répartition de biens distribués par l'école - parcours d'ap- prentissage, diplômes, compétences - en fonction de groupes socialement définis notamment par le milieu socio-économique, le capital culturel des parents ou le parcours migratoire.
La justice sociale est fondée sur l'égalité des droits pour tous les peuples et la possibilité pour tous les êtres humains sans discrimination de bénéficier du progrès économique et social partout dans le monde. Promouvoir la justice sociale ne consiste pas simplement à augmenter les revenus et à créer des emplois.
Le principe d'égalité de traitement se traduit notamment par le principe très connu « à travail égal, salaire égal ». Il s'agit d'un des principes fondamentaux que doit respecter l'employeur, notamment en faisant bénéficier aux salariés placés dans une situation identique des mêmes rémunérations et autres avantages.
Pour inverser la tendance, le Gouvernement s'est fixé un objectif : ramener à moins de 10% les écarts de réussite scolaire entre élèves. Deux réformes ont été menées de front : la refonte de la carte de l'éducation prioritaire et celle de l'allocation des moyens pour toutes les écoles et tous les collèges de France.
L'égalité des sexes, en plus d'être un droit humain fondamental, est essentielle à la mise en place de sociétés pacifiques dotées d'un plein potentiel humain et d'un développement durable. De plus, il a été démontré que l'autonomisation des femmes stimule la productivité et la croissance économique.
« Les bénéfices d'une égalité accrue se répartissent dans toute la société, et améliorent la santé de tout le monde, pas seulement celle du bas de l'échelle. En d'autres termes, quels que soient les niveaux de revenus, on vit d'autant mieux que le pays est égalitaire.
En histoire de la philosophie
Le principe d'égalité devant la loi trouve son origine dans le principe d'isonomie défini par Clisthène au VI e siècle av. J. -C. , et qui constituait l'un des fondements de la démocratie athénienne. Grâce à ce principe, Clisthène a mis en œuvre des réformes en 508 et 507 av.