La courbe d'Engel (La demande) du bien 1 (x1* = R/ P1+P2), la courbe d'Engel est une droite de pente = P1+P2 Page 6 6 • Les préférences Cobb-Douglas : Les demandes des biens des préférences Cobb-Douglas sont une fonction linéaire du revenu.
a) La courbe de consommation – revenu correspond à l'ensemble des points où la droite de budget est tangente à la courbe d'indifférence. Dans ce cas, le coefficient directeur de la droite de budget doit être égal à la pente (c'est-à-dire au taux marginal de substitution entre x et y) à chaque point considéré.
la proportion consacrée aux dépenses alimentaires diminue au fur et à mesure que le revenu augmente et inversement, la proportion allouée aux autres dépenses (santé, éducation, loisirs, produits de luxes) augmente si le revenu augmente et inversement.
La courbe de consommation revenu est la courbe qui relie tous les paniers optimaux lorsque le revenu varie (les prix des biens restant inchangés).
L'utilité totale est maximale à l'endroit où la droite à 45° coupe la courbe d'indifférence. L'utilité marginale est constante le long d'une courbe d'indifférence. Le taux marginal de substitution est constant le long d'une courbe d'indifférence. Elle est convexe.
Le TMS de bien 1 en bien 2 est égal au rapport des utilités marginales, c'est-à-dire le rapport de la dérivée (partielle) de la fonction d'utilité U par rapport à la variable x1 et de la dérivée (partielle) de la fonction d'utilité U par rapport à la variable x2.
Donc on fait l'hypothèse que l'utilité marginale est Um = dU/dX normalement décroissante mais toujours positive. La fonction objective du consommateur est de maximiser son utilité, c'est à dire sa satisfaction. L'utilité est une fonction des quantités consommées.
C'est le concept d'utilité qui permet de mesurer la satisfaction que retire le consommateur de la consommation d'un panier de biens. Le niveau de l'utilité dépend donc de la quantité consommée (Q) et peut être formalisé à l'aide d'une fonction d'utilité : U = f (Q) = f (x1, x2).
Y = C + I = C + S => S=I (autre façon d'écrire l'équilibre). Soit la fonction de consommation suivante, C = 0.7Y + 3 où C est le montant de la consommation finale des ménages et Y, le revenu national. 1- Comment Keynes définit-il l'épargne ? Déterminer la fonction d'épargne.
En d'autres termes, le sentier relie la dépense totale minimale pour chaque niveau de production donné. Il définit donc une fonction de dépense totale, avec pour variable les quantités produites. La contrainte budgétaire du producteur est ainsi formalisée : CT = rK + wL.
Le concept d'élasticité revenu mesure la façon dont la consommation d'un bien varie en fonction de la variation du revenu des consommateurs. Le calcul de l'élasticité s'effectue à partir du ratio suivant : variation relative de la demande d'un bien/variation relative des revenus des ménages.
« Plus un individu, une famille, un peuple sont pauvres, plus grand est le pourcentage de leurs revenus qu'ils doivent consacrer à leur entretien physique dont la nourriture représente la part la plus importante. » Ernst Engel, Die Lebenkosten belgischer Arbeiter-Familien, 1895.
Un coefficient budgétaire est le rapport de la dépense consacrée à un bien ou service particulier (ou à une catégorie de biens ou services, par exemple l'alimentation, le logement,...) à la dépense totale.
En termes algébriques, si nous réécrivons l'équation d'une courbe d'indifférence U(t, y)=c sous la forme y=g(t, c), alors g(t, c) est une fonction décroissante et convexe de t pour un c donné.
L'utilité marginale est un concept utilisé en économie pour mesurer la satisfaction qu'un consommateur obtient en consommant un produit. En règle générale, l'utilité marginale s'obtient en divisant la variation de l'utilité totale par la variation du nombre de biens consommés X Source de recherche .
La propension moyenne à consommer PMC est le rapport de la consommation totale au revenu. La propension moyenne à épargner PMS est le rapport de l'épargne totale au revenu. La propension marginale à épargner PmS est le rapport de la variation de l'épargne à la variation correspondante du revenu.
Sachez également qu'il vous est possible de construire une courbe d'indifférence à partir d'une fonction d'utilité. La CI passant par le point (1,1) a pour équation : U(x, y) = U(1, 1) ⇔ x y = 1. Soit y = 1/x.
Concernant la consommation, Keynes met en avant une «loi psychologique fondamentale», selon laquelle «lorsque le revenu croît, la consommation aussi, mais dans une mesure moindre» (1969, p. 54), et il définit la propension à consommer comme la relation entre consommation et le revenu national.
Un optimum de Pareto correspond alors à un choix de l'un des trois cas possibles, puis à une certaine répartition des productions nettes entre les individus. On notera q A 1 et q B 1 les dotations en bien 1 des individus correspondant à un total : q 1 = q A 1 + q B 1 ; et de même pour le bien 2.
Caractéristiques de la courbe d'indifférence
La pente de la courbe d'indifférence est décroissante : c'est une relation inverse (plus on augmente l'un, plus on diminue l'autre). La pente est négative. Les courbes sont convexes par rapport à l'origine. Les courbes d'indifférence ne peuvent pas se couper.
L'égalité des pentes au point de tangence implique donc: PC / PD = TMS = UmC / UmD et donc l'égalité du TMS et du rapport des prix. Soit 2 biens, x et y. La satisfaction est représentée par la fonction d'utilité, u(x,y). Le consommateur cherche la quantité de x et la quantité de y qui maximisent sa satisfaction.
Définition Qu'est-ce-qu'un panier de biens ? Un panier de biens est un ensemble composé d'un ou de plusieurs produits.
La carte de la courbe d'indifférence représente les différents niveaux d'utilité qu'un individu atteint lorsqu'il consomme différents paniers de biens. En effet, chaque courbe d'indifférence représente une combinaison de biens qui offrent le même niveau d'utilité au consommateur.
La forme décroissante de cette courbe est la seule façon pour le consommateur de maintenir son utilité : il doit substituer un bien à un autre (si la fonction était croissante, cela voudrait dire que le consommateur pourrait augmenter sa consommation des deux biens tout en gardant la même utilité, ce qui contredit bien ...