Adopter l'indifférence
Comme dit le dicton "Le silence, c'est le mépris", l'indifférence peut être une arme efficace face à un harceleur. Une attitude froide et distante montre à votre agresseur qu'il n'a pas d'emprise sur vous, qu'il n'est finalement rien.
Dites-lui calmement d'arrêter de vous harceler. Par exemple, vous pourriez lui dire : « Tu es vraiment méchant maintenant, arrête-toi », ou « Assez maintenant, ne me parle plus de cette façon. » Évitez de vous mettre en colère ou de répondre avec sarcasme. Essayez de garder des réponses courtes.
Il s'agit d'un individu qui rejette toutes vos demandes de cesser tout contact avec vous. La seule façon d'arrêter de subir un harceleur qui adopte un comportement indésirable, intrusif, injustifié ou menaçant, consiste à cesser immédiatement tout contact avec lui.
Tenter une procédure de médiation ; Alerter l'inspection du travail ; Saisir le Conseil des prud'hommes ; Engager des poursuites et saisir le juge pénal.
Le profil du harceleur présente une grande variété de diagnostics, dont des troubles psychotiques ; des troubles de la personnalité comme le narcissisme ; et des troubles délirants comme l'érotomanie, à savoir la conviction qu'une personne, souvent une personnalité en vue, est amoureuse de vous.
Ainsi, le harceleur est parfois un responsable hiérarchique qui est dans une fonction qui le dépasse, qui est lui-même sous pression, dans un état de tension extrême et qui décharge son stress sur les autres, sans prendre véritablement conscience des dommages que cela peut occasionner chez autrui.
Dites-lui que vous mettez fin à cette amitié.
Restez un peu en retrait, croisez vos bras devant vous pour montrer que vous êtes intransigeant. Ne la laissez pas penser qu'elle pourra trouver grâce à vos yeux plus tard ou vous promettre de changer, ne la laissez même pas vous toucher. Soyez rapide.
La méthode la plus efficace : lui parler mariage et enfants, grande maison et fêtes de famille. A ne pas faire : le rendre jaloux. Avec ce type d'homme, titiller son ego et remettre en cause son potentiel de séduction ne serait que lui lancer un défi supplémentaire. Le mâle ne chercherait alors qu'à nous plaire.
Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. Cette violence se retrouve aussi au sein de l'école.
La meilleure façon de prévenir le harcèlement est de communiquer fréquemment avec son enfant. L'idée est d'instaurer des moments de dialogue avec lui, pendant lesquels vous témoignez à votre enfant que vous l'écoutez, que vous le croyez et que vous le protégez.
L'emprise du harceleur passe par la culpabilisation de sa victime qu'il s'agit d'amener insidieusement à penser qu'elle est responsable de ce qui lui arrive, à considérer qu'elle est tout le moins pour quelque chose, qu'elle le mérite. La victime exprime sa souffrance tout en se sentant coupable intérieurement.
Parlez-en autour de vous ! Ayez recours à un syndicat, une association d'aide ou même à la police selon les cas. Ne négligez pas l'impact qu'un tel individu peut avoir sur votre vie : demandez de l'aide.
Saisir le juge pénal
au pénal. La victime d'un harcèlement moral peut porter plainte dans un délai de 6 ans à partir du fait le plus récent de harcèlement (derniers propos tenus, dernier mail...). La justice prendra alors en compte tous les faits de harcèlement venant du même auteur.
Les défauts physiques qui font fuir les hommes. Alors là les statistiques sont claires ! 100% des hommes nous ont répondu sans hésiter : les poils et les odeurs.
Demandez-lui la résiliation du bail et l'expulsion de l'occupant. La façon la plus simple d'entamer une telle procédure est de présenter une requête au juge de paix de l'endroit où se trouve l'immeuble en question.
Un individu incorruptible
En somme tout ce qui s'oppose à la manipulation et la corruption. De plus il agace par sa gentillesse, son écoute, sa disponibilité, son humour et sa vitalité, qui contraste avec le profil des harceleurs. En fait, le harcelé est une personne qui s'avère être : « très bien dans sa peau ».
Si vous subissez des violences verbales, physiques et/ou morales de façon répétée (bousculades, vols, surnoms méchants, insultes, moqueries, rejets…), vous êtes victime de harcèlement.
Lorsque le harcèlement scolaire n'a pas entraîné d'incapacité totale de travail (jours d'école manqués) ou qu'il a entraîné une incapacité totale de travail de moins de 8 jours, il est puni de 3 ans d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende.