Habituellement, le médecin "prend le pouls" au poignet, endroit simple d'accès. Il peut compter les battements plus précisément en auscultant le cœur avec un stéthoscope. En cas de fibrillation auriculaire, cette deuxième méthode est préconisée. Pour préciser le diagnostic, un électrocardiogramme (ECG) est réalisé.
L'examen le plus important pour diagnostiquer la fibrillation atriale est l'électrocardiogramme (ECG). Des autocollants spéciaux (électrodes) sont placés sur les bras, les jambes et la poitrine (voir illustration ci-dessous) et l'activité électrique de votre cœur est enregistrée depuis votre peau.
Les troubles peuvent disparaître lorsque les crises d'arythmie aiguës se transforment en fibrillation auriculaire permanente. Il se peut aussi qu'ils ne se manifestent que dans certaines situations. Mais une partie non négligeable des patients ne ressent aucun symptôme.
La fibrillation auriculaire (FA, ou fibrillation atriale) est une forme d'irrégularité du rythme cardiaque (arythmie) qui résulte d'une perturbation des signaux électriques du cœur. La fibrillation auriculaire est le type le plus courant d'arythmie et affecte environ 200 000 personnes au pays.
Les médicaments anti-arythmiques les plus utilisés sont les bêtabloquants (métoprolol, propranolol) ou certains inhibiteurs calciques (vérapamil, diltiazem). Ils diminuent la fréquence des battements de cœur. Plus rarement, d'autres anti-arythmiques sont utiles : la flécaïnide, ou la propafénone.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
L'anxiété accroît le risque de palpitations, d'arythmie, de spasmes et d'emballement du cœur, des symptômes qui peuvent mener à des complications cardiaques. L'anxiété favorise aussi les comportements malsains, comme le tabagisme, la suralimentation, une mauvaise qualité de sommeil et une baisse de l'activité physique.
Si la fibrillation auriculaire n'est pas maîtrisée, elle peut affaiblir le coeur et causer une insuffisance cardiaque. L'insuffisance cardiaque survient lorsque le coeur a du mal à faire circuler le sang, ce qui entraîne une accumulation de liquide.
La fibrillation auriculaire est caractérisée par des battements cardiaques rapides et irréguliers qui empêchent le cœur de transporter efficacement le sang vers les autres organes du corps. Cette maladie cardiovasculaire affecte les cavités supérieures du cœur, soit les oreillettes.
Naturellement, en association à ces thérapeutiques, il est indispensable de revoir les fondamentaux d'une hygiène de vie : effectuer des relaxations (ou méditations), associer des exercices de cohérence cardiaque, revoir son alimentation, choisir une activité sportive appropriée etc ...
Chez le patient de retour en rythme sinusal, toutes les activités sportives sont autorisées. Pour les patients en fibrillation auriculaire permanente, la participation à des activités sportives est conditionnée par la fonction ventriculaire et la fréquence cardiaque lors d'un effort.
Certaines causes sont connues pour favoriser l'apparition d'une FA ( fibrillation atriale ou auriculaire), notamment1,2 : Des causes cardiaques : hypertension artérielle, insuffisance cardiaque , maladie coronaire (infarctus du myocarde), L'hyperthyroïdie, la consommation excessive d'alcool, le diabète, l'obésité…
Symptômes d'arythmies
Une grande fatigue (chronique) qui persiste même après le repos est un premier symptôme. L'essoufflement et des étourdissements peuvent survenir ainsi qu'une perte de conscience dans certains cas. Ces symptômes sont typiques à la bradycardie.
évitez le surpoids ; privilégiez une alimentation équilibrée et modérez votre consommation d'alcool et de café qui sont des excitants cardiaques ; pratiquez une activité physique régulière en éviter le sport excessif notamment d'endurance qui peut déclencher une fibrillation atriale ou auriculaire.
Elle va provoquer une stagnation du sang et donc la formation de caillots dans le cœur. Si ces caillots sont envoyés dans la circulation sanguine, ils peuvent boucher une artère alimentant le cerveau et provoquer un infarctus cérébral (AVC ischémique). Le risque d'AVC est en moyenne multiplié par 5 en cas de FA.
Bien que la majorité des arythmies ne se guérissent pas, il est possible de les maîtriser avec un traitement adéquat. Le choix du traitement dépendra de plusieurs facteurs, dont le type d'arythmie et les symptômes associés.
Elles ne sont en général pas directement dangereuses. D'autre part les arythmies qui naissent dans les ventricules (arythmies ventriculaires). En l'absence de traitement, celles-ci sont souvent des urgences aiguës qui peuvent entraîner un arrêt cardio-circulatoire et la mort subite cardiaque.
Lorsque le rythme cardiaque varie sans raison apparente, il s'agit d'un trouble du rythme cardiaque, ou arythmie. À plus de 100 battements par minute au repos, on parle de tachycardie ; en dessous de 50 battements par minute, de bradycardie ; et si les contractions sont irrégulières, on parle simplement d'arythmie.
Au repos, le cœur se contracte de façon régulière à une fréquence comprise entre 60 et 80 pulsations par minute. Si elle dépasse 100 battements par minute, le patient souffre de tachycardie, parfois douloureuse. Si les contractions sont en plus anarchiques, les spécialistes parlent de fibrillation.
? La fatigue peut-elle provoquer des palpitations ? Une fatigue intense et persistante (telle qu'une fatigue chronique ) causée par un manque de sommeil, des troubles du sommeil, ou un dérèglement du rythme biologique, peut en effet favoriser l'apparition de palpitations.
Inconvénients des bêta-bloquants et effets secondaires
Une trop grande diminution de la pression artérielle peut occasionner des vertiges et de la fatigue, un refroidissement des extrémités, des troubles digestifs (diarrhées, gastralgies, nausées, vomissements), ou une diminution des performances physiques à l'effort.
Une toux en position allongée, survenant surtout la nuit, peut être associée. L'apparition d'un essoufflement en position allongée est un symptôme d'aggravation nécessitant une consultation médicale urgente.