Tu peux demander à comparaître devant le juge (aux affaires familiales/JAF) afin de lui expliquer que tu ne souhaiterais plus rendre visite à ton père: tu as le droit d'être entendu, de faire part de tes motifs etc).
Une question en droit de la famille et des personnes ? Vous ne pouvez pas renier vos parents. Votre héritier est votre fils pas votre famille, ce qui est déjà une chose importante. Par contre vous pouvez vous rapprocher d'un notaire pour envisager un mandat de protection futur peut-être.
Depuis la loi du 5 mars 2007, le droit à la parole de l'enfant est complètement reconnu et admis. L'audition de l'enfant par le juge aux affaires familiales est systématique s'il le demande. La loi ne détermine pas un âge précis à partir duquel on peut considérer qu'un enfant est capable d'analyse et de discernement.
L'autorité parentale peut être retirée au parent qui représente un danger pour son enfant ou lorsqu'il se désintéresse de lui. Le retrait peut être total ou partiel et pour l'obtenir, il faut saisir le juge civil, avec l'assistance d'un avocat.
Le juge civil peut vous retirer totalement votre autorité parentale si vous mettez en danger la sécurité, la santé ou les valeurs de votre enfant : Mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales) Consommation habituelle et excessive d'alcools ou de drogues.
ce que vous demandez est impossible selon la loi française, c'est votre père et il restera votre père sur les registres de l'état civil. vous devez attendre votre majorité pour que votre père n'est plus l'autorité parentale sur vous. et si un jour il est dans le besoin vous aurez une obligation alimentaire à son égard.
L'autorité parentale peut être retirée au parent qui représente un danger pour son enfant ou lorsqu'il ne s'intéresse pas à lui. Le retrait peut être total ou partiel et pour l'obtenir, il est nécessaire de saisir le juge civil, avec l'assistance d'un avocat.
légalement: vous ne pouvez renier un pere pas plus qu'il ne peut vous renier. Oui c'est déjà fait depuis des années mais là son état psychologique me préoccupe davantage... Pour son état psychologique, demander un rendez-vous auprès de son médecin traitant.
« Jusqu'à sa majorité (18 ans), ce sont les parents qui décident du lieu de vie de l'enfant, ou le juge aux affaires familiales s'ils ne parviennent pas à trouver un accord. Un enfant mineur ne peut donc pas décider de son lieu de résidence, mais il peut donner son avis.
Au titre de l'autorité parentale, les parents assurent des droits et des devoirs visant à protéger l'enfant : assurer son hébergement, sa garde, sa surveillance, son éducation, veiller à sa santé, sa sécurité, sa moralité etc.
L'essentiel est de faire preuve d'empathie et de douceur, il est inutile d'attaquer frontalement ou d'accabler de reproches celui qui entend ça et ne s'y attendait peut-être pas du tout. Inutile aussi d'annoncer dans la foulée qu'on a rencontré quelqu'un d'autre à moins que ce soit la principale raison de la rupture.
L'enfant qui souhaite ne pas payer les dettes du parent décédé peut refuser la succession (l'héritage). En revanche, il est responsable des dettes de son parent décédé s'il accepte sa succession. L'enfant peut également accepter la succession à concurrence de l'actif net.
L'expulsion de l'enfant majeur est possible, mais seulement lorsque les parents n'ont plus d'obligations envers lui. C'est cette condition qui détermine s'il est possible de recourir à l'expulsion ou non.
La loi est claire : pour un enfant, voir ses grands-parents est un droit. Nouvelle réforme du 5 mars 2007, le nouvel article 371-4 du c civil: «l'enfant a le droit d'entretenir des relations personnelles avec ses ascendants.» Donc exit les conflits parents/grands-parents. C'est l'intérêt de l'enfant qui prime.
Est-on obligé d'aider ses parents ou beaux-parents qui sont dans le besoin ? Les enfants ont l'obligation d'aider un parent qui n'est pas en mesure d'assurer ses besoins (manger, s'habiller, se loger, se soigner,...). On parle alors d'obligation alimentaire.
Les liens familiaux sont les plus solides que nous ayons dans notre vie. C'est pourquoi, lorsqu'il nous faut les rompre, nous pouvons en garder de profondes cicatrices. Après tout, votre famille est censée être toujours présente pour vous. Ce sont ceux qui ne doivent vous vouloir que du bien.
Qui peut en être dispensé ? Les personnes suivantes peuvent être dispensées de l'obligation alimentaire par le juge aux affaires familiales (Jaf) : Enfant dont le père ou la mère a manqué gravement à cette obligation à son égard (exemples : violence, abandon de famille)
Même s'il peut être convenu à l'amiable entre les parents ou fixé par le juge, certains critères peuvent enlever ce droit : La maltraitance. Des conditions inadaptées aux enfants. L'abus d'alcool.
Elle appartient aux parents jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne. L'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques.
Si vous êtes adolescent, le moyen légal de renier votre famille est de vous faire émanciper. Cela signifie que vous serez légalement considéré comme un adulte, que vous aurez le droit de prendre vos propres décisions et que vos parents ne seront plus vos responsables légaux.
L'obligation de remboursement d'un crédit à la consommation ne cesse pas au décès de l'emprunteur. Suivant les cas, la dette liée au prêt est prise en charge par l'assurance, tombe dans la succession ou doit être réglée par le conjoint survivant qui aurait co-souscrit le prêt.