On pourra donc envoyer quelqu'un "marcher sur des Légos" ou oser le "gredin", la "tête de têtard", le "sac à puces", mais aussi "espèce d'épinard", "patate", "patate douce", "banane", "saucisse", "fils/fille de mouette", "capitaine de bateau-lavoir" ou enfin "cornichon".
« Tu as échangé ton cou contre un autre menton ? » « Est-ce que quelqu'un d'autre a été blessé dans l'accident qui t'a rendu comme ça ? » « J'ai vu quelqu'un qui te ressemblait avant, mais j'ai dû payer une entrée pour ça. » « Peut-être qu'en mangeant ton maquillage, ça te rendra plus belle à l'intérieur. »
9. Tu es aussi brillant qu'un trou noir, et au moins deux fois plus lourd. 10. Tu n'es vraiment pas assez beau/belle pour pouvoir te permettre d'être aussi bête.
"Ne pas être très finaud", "Ne pas être bien malin" ou "Ne pas être très malin". Ces trois expressions du registre familier signifient que quelqu'un n'est pas très futé, pas très intelligent, pour ne pas dire...
Les phrases les plus gentilles pour rompre
« Je ne regrette pas notre relation, mais nous ne sommes plus heureuses/heureux ensemble... » « Je t'aime, mais quelque chose a changé entre nous et je n'arrive plus à vivre avec toi... » « Je pars, mais sache que je n'ai jamais voulu te faire souffrir... »
Vous pouvez vous exprimer comme ceci : « je n'ai pas envie d'en parler maintenant », ou dire : « je ne suis pas dans un espace émotionnel permettant de parler de manière constructive. Parlons-en plus tard ».
Le sang. Aujourd'hui devenu un grand classique, « le sang » est un diminutif de « le sang de la veine ». L'expression désigne un ami si proche qu'il est comme de notre propre sang et vient du grand maître Jul. Il est souvent raccourci en « le s ».
Je m'en fous, je m'en moque.” Une autre façon un peu différente cette fois de dire qu'on s'en moque, que quelque chose ne nous touche pas, eh bien, on peut dire “ça m'est égal”. Ça, c'est plus courant, c'est presque soutenu.
Le registre populaire nous propose "Être azimuté", "Être barge" (ou "Être barje"), "Être bargeot", "Être barjo" (ou "Être barjot"), "Être fêlé", "Être louf" et "Être siphonné".
Utiliser un ton de voix sarcastique lorsqu'on prononce une phrase sert à transmettre le message inverse que nos mots. Le sarcasme est parfois un moyen d'autodérision, mais il est utilisé le plus souvent pour marquer un sentiment d'irritation.
On peut les remplacer par d'autres: “En pleine forme!”, “Impeccable!”, “Nickel!”, etc. Retiens aussi cette autre expression familière qu'on entend souvent: “Ça roule!”, qui signifie que tout va bien. Dans le même genre, on peut dire “Je ne me plains pas.” ou “Tout va bien.”
Avoir de de la répartie c'est surtout toucher là où il faut. Vous devez être juste dans votre prise de parole et déceler l'arrière pensé de votre interlocuteur. Finalement, la répartie c'est savoir répondre avec justesse et avec rapidité à votre entourage. Rebondir sur un mot, une phrase et repartir avec agilité.
Cela dit, devant la personne compétitrice, votre meilleur atout, c'est l'humour. Demandez-lui sur un ton un peu narquois: «Est-ce que tu te sens mieux à présent que tu as gagné?» Ou dites: «C'est drôle, mais chaque fois que je fais ou que j'achète quelque chose, tu essaies d'en faire davantage.
« Je ne regrette pas notre relation, mais nous ne sommes plus heureux ensemble… » « Je t'aime, mais quelque chose a changé entre nous et je n'arrive plus à vivre avec toi… » « Je pars, mais sache que je n'ai jamais voulu te faire souffrir… » « Je ne veux pas te mentir plus longtemps, je souhaite rompre… »
Restez un peu en retrait, croisez vos bras devant vous pour montrer que vous êtes intransigeant. Ne la laissez pas penser qu'elle pourra trouver grâce à vos yeux plus tard ou vous promettre de changer, ne la laissez même pas vous toucher. Soyez rapide. Ne lui laissez pas beaucoup de temps pour réagir.
Demandez à un ami de vous aider. Vous pouvez lui demander de s'interposer entre vous et cette personne afin d'éviter toute éventualité de conversation entre vous deux. Si elle continue de vous énerver, expliquez-lui clairement pourquoi vous l'évitez. Adressez-vous à elle de la façon la plus honnête possible.
On a vu « j'en ai marre », on a vu « j'en ai assez », on a vu « j'en ai ras le bol », on a vu « ça me saoule », on a vu « ça me gonfle », on a vu « ça me gave », on a vu « j'en ai jusque-là », on a vu « j'en ai ma claque », on a vu « j'en ai ras la casquette » et on a vu « j'en ai plein les bottes ».