Il vaut mieux dire “hum, je ne peux pas” ou “hum, je suis désolé, mais je ne vais pas avoir le temps”. Il vaut mieux dire des phrases comme celle-là que de dire un “non” brut. Donc, si tu dis “je suis désolé, mais je ne vais pas avoir le temps”, ça veut dire “non”, c'est clair, la personne a compris.
Reflétez leur demande
En parlant d'empathie, l'une des meilleures tactiques pour s'en sortir avec une réponse négative est de se mettre dans la même position que la personne. S'il s'agit d'une situation (ou d'une personne) difficile, cela peut aider à faire en sorte que votre réponse ne semble pas si négative.
Essayez de ne pas dire non d'emblée.
Dites plutôt clairement ce qui vous tracasse et pourquoi vous n'acceptez pas. Si, par exemple, votre patron vous demande de travailler sur un autre projet alors que vous êtes déjà débordé, ne dites pas simplement que vous ne pouvez pas l'intégrer à votre emploi du temps déjà chargé.
Dites simplement que vous ne pouvez pas, sans vous justifier et sans mentir, au risque de donner l'impression que votre refus n'est pas légitime. Vous avez le droit d'être fatigué, vous avez le droit de vouloir rester chez vous, vous avez le droit de dire non à ce que vous voulez.
Utilisez le “oui mais”
L'astuce : Dites : “Ce sera avec plaisir, oui mais là, tout de suite, ce n'est pas ma priorité. Je suis sur un dossier urgent et important. On verra cela plus tard si tu veux bien”. L'avis de la coach : “Proposez un autre créneau pour voir avec votre chef/collègue le sujet en question.
Dites non dès que possible. Le plus rapidement vous indiquez votre refus, le plus il sera facile pour le destinataire de le recevoir avec l'espoir de recevoir des «oui» de ses autres invités. Remerciez la personne de vous avoir invité. Si vous avez un autre engagement, mentionnez-le au début de votre conversation.
Apprenez à mettre les formes, mais tenez bon si votre interlocuteur insiste. Gardez en tête quelques formules faciles pour affirmer votre refus, comme « je suis désolée mais je ne peux vraiment pas t'aider », ou « non, je ne suis pas disponible », ou encore « non, je ne veux pas ».
Pourquoi est-ce important d'apprendre à dire non
Savoir dire non, c'est arrêter de faire passer les besoins des autres avant ses propres besoins. Savoir dire non, c'est reprendre de l'estime pour soi-même, de la valeur en temps que personne. Savoir dire non, c'est accepter de ne pas être un.
4 – Dire non, une décision bienveillante
C'est apprendre à dire “je”, “je ressens”, “j'ai besoin” au lieu de “tu”, “ton”… On peut tout à faire dire “non” tout en précisant à notre interlocuteur que ce n'est pas contre lui.
Dites, par exemple : « Non, on ne peut pas aller au parc parce que c'est l'heure du souper et qu'ensuite il va être trop tard. » Votre enfant acceptera mieux votre refus s'il le comprend. Trouvez avec votre enfant une autre solution ou offrez-lui un choix pour l'aider à accepter un refus.
# 1 : Dites-le de vive voix
Vous devez assumer votre non et pour cela, le dire en face à face. Bannissez le mail et répondez lorsque vous êtes seul(e) avec la personne et mettez-vous dans une posture d'égal(e) à égal(e). Pas question que l'un soit assis et l'autre debout.
Vous pouvez écrire : « Je pense que nous n'avons rien en commun », « Je suis désolé(e), mais je pense que nous sommes trop différents » ou « Tu es très cool, mais tu n'es pas vraiment mon genre. »
C'est avancer dans la connaissance de soi. Savoir dire non, c'est encore ne pas procrastiner. C'est ne pas dire » peut-être », ni « plus tard », ni « on verra », ni « pourquoi pas », ni « on en reparle » ; c'est ne pas mentir, et surtout ne pas se mentir à soi-même. C'est apprendre à ne pas avoir peur.
Pourquoi est-ce difficile de dire non et de s'affirmer ? Tout d'abord, la plupart du temps, la peur d'être rejeté, de ne pas être apprécié, ou bien celle de se tromper, de faire un mauvais choix. Cette tendance vient d'un besoin commun à beaucoup d'êtres humains : le besoin d'appartenance et d'intégration sociale.
Les risques de ne pas dire non
En échappant au non, les personnes courent de nombreux risques : surcharge mentale, stress, épuisement, non-respect de soi ou encore burn-out. Dans d'autres cas, cela amène à des abus de pouvoir de toutes sortes. D'où l'importance de mettre des limites.
Il est également possible de formuler une réponse négative en positivant. 'Un tout grand merci pour votre proposition et votre geste, mais je ne peux vraiment y donner suite. ' Vous avez donc plus ou moins neutralisé l'autre, qui plus est en le remerciant. Généralement, il n'insistera plus par la suite.
"Merci d'avoir pensé à moi. J'aurais adoré être là mais je ne peux pas." "J'aurais bien aimé mais j'ai un empêchement." "J'ai déjà quelque chose de prévu ce jour-là/ce soir-là/ce week-end là." "Tant pis pour moi, je vais rater une super soirée!" "Merci d'avoir pensé à moi.
Le meilleur moyen de refuser quelque chose, c'est de parler de vos sentiments. Par exemple, « ça ne me rendrait pas heureux », ou encore, « ça me met mal à l'aise ». Personne ne peut argumenter contre des sentiments, ni négocier pour que vous ressentiez autre chose.