Et ainsi ditez ton, ta, son et sa, le et la. Autre maniere de parler : un homme, une femme, un enfant, une pucelle, un garçon, une garse, un valton, un valet, une chamberiere, un proud homme, une proude femme, un ribaud, une ribaude, un maquerel, une maquerelle, un putier, une putaigne, un villein, une villeine.
À cette époque, les gens du peuple étaient tous unilingues et parlaient l'un ou l'autre des nombreux dialectes alors en usage en France. Seuls les «lettrés» écrivaient en «latin d'Église» appelé alors le «latin des lettrés», aujourd'hui «latin ecclésiastique», et communiquaient entre eux par cette langue.
Jusqu'au XIIIe siècle, bonjour s'écrivait en deux mots, bon jour, et signifiait « jour favorable, temps heureux ». Par la suite, « bon » et « jour » se sont soudés en une formule de salutation. Pensez-y la prochaine fois que vous le lancerez à quelqu'un.
Séance 5 Langue : Comment parlait-on au temps des chevaliers ? On parle d'ancien français pour désigner le français du Moyen Age. Il est aussi appelé « vieux français ». C'est une langue qui évolue, l'orthographe des mots n'est pas figée.
L'amour courtois ou fin'amor d'après l'occitan, est une expression désignant au Moyen Âge la façon d'aimer avec courtoisie, respect et honnêteté, sa ou son partenaire, dans le but commun d'atteindre la joie (joï en occitan) et le bonheur.
un chevalier en armes et armure : lance, éperon, haubert (cotte de mailles servant à protéger le buste du chevalier), l'écu (le bouclier), le heaume (le casque), le blason sur l'écu.
— Sire, bon jour aiez vous et bonne vie.
Mais, au Moyen-Âge, on ne disait pas forcément "corvéable", mais on utilisait plutôt l'expression "taillable à merci".
Pour communiquer avec ses sujets, le roi n'utilisa jamais que deux langues : le latin et le français. Le premier n'était la langue maternelle de personne, alors que le français fut celle de ses sujets uniquement lorsque le roi exerça son autorité sur le Ponthieu, la Normandie et le nord de la France !
baisier — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Une communication digne de foi, c'est une parole qui dispose de descriptions vraies, des arguments justifiés, de recommandations raisonnables, de promesses responsables. On peut qualifier ce langage de noble.
Les Grecs et les Romains (et même les Égyptiens et, semble-t-il, les Mésopotamiens) fêtaient le jour de leur naissance : on appelait ça la natalice.
Les Mérovingiens, puis les Carolingiens sont bilingues ou trilingues: Clovis parlait gallo-roman et vieux bas francique et écrivait en latin classique, Charlemagne parlait gallo-roman et vieux haut francique et écrivait en latin médiéval; Hugues Capet ( X e siècle) qui était de mère saxonne, semble avoir été le premier ...
Au 5e siècle avant Jésus-Christ, la France parle trois langues : le grec, le ligure et le gaulois.
À l'origine, ils parlaient le francique. Et clairement, ça ne sonnait pas comme du français. Pour s'en donner une idée, rappelons que leur roi le plus célèbre, Clovis (466-511), s'appelait en réalité Chlodowig. Pendant cinq siècles, même s'ils maîtrisaient le latin, la langue de ces rois francs restait germanique.
Au Moyen Age et jusqu'au XVIIe siècle, on ne s'offre pas encore de " cadeaux ", seulement des présents ou des étrennes.
De l'ancien français repast (« nourriture ») dérivé de past (« nourriture ») venant du latin pastus (« pâture », « nourriture animale ou humaine »), de pasco (« faire paître »).
bon vèspre ! ;bona serada ! bonne nuit ! bona nuèit ! [nuèch !]
Dans le luxe, un couple sera salué par « Bonjour madame et monsieur », un groupe par « Bonjour mesdames », « Bonjour messieurs » ou « Bonjour, mesdames et messieurs ».
L'écuyer. Un jeune garçon qui apprend le métier des armes avant d'être lui-même adoubé est appelé « écuyer ».
➙ paladin, preux.