Signal de détresse en morse (trois points, trois traits, trois points) transmis par radio. Appel au secours. S.O.S sont les initiales de "Save Our Souls" en anglais.
C'est un code universel. Les trois lettres «S.O.S.» désignent le signal de détresse international. Un choix qui vient de l'alphabet morse utilisé dans la marine allemande et qui s'est répandu car il était très pratique.
SOS est l'interprétation en code Morse du signal de détresse et de demande d'assistance immédiate signé à la convention de Berlin le 3 novembre 1906, • • • — — — • • • ; par extension le signe « SOS » est utilisé comme nom mnémotechnique de ce signal.
Signal de détresse radiotélégraphique international, faisant partie des appels, des messages et du trafic de détresse, transmis en morse sous la forme de trois lettres accolées sans intervalles notées SOS (…– – – …). 2. Familier. Demande d'aide, de secours et, en particulier, demande pressante d'argent.
En code Morse international, SOS est arbitrairement le groupe homogène mnémotechnique du signal de détresse: • • • — — — • • • 1 aisément identifiable même pour quelqu'un ne connaissant pas la télégraphie et est facile à transmettre.
Cette technologie révolutionnaire permet d'envoyer des messages écrits à distance en utilisant des ondes électromagnétiques, au moyen d'un alphabet codé – composé de points et de traits – imaginé en 1844 par l'ingénieur américain Samuel Morse.
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation.
En 1840, le terme a été utilisé par des partisans de Martin Van Buren, élu à la présidence des États-Unis en 1836, et surnommé « Old Kinderhook » (« le vieux de Kinderhook ») du nom de la ville new-yorkaise où il est né.
Le mot s/o est une abréviation qui s'emploie pour mentionner quelqu'un, et en particulier pour lui envoyer une dédicace ou pour lui rendre hommage. Ce sigle peut donc se comprendre comme « dédicace à ».
Montrer la paume de sa main les doigts tendus : un geste qui permet aux femmes victimes de violences conjugales d'appeler discrètement à l'aide, même en présence de leur agresseur. C'est au Canada que ce geste, adapté aux appels en visioconférence, a été créé.
Il puise en réalité son origine dans la langue française. Dans les années 1920, aux débuts de l'aviation, un pilote français en difficulté avait prononcé les mots «venez m'aider» alors qu'il se rendait en Angleterre. Son message avait été reçu en partie par un opérateur britannique qui comprit «mayday».
Signal consistant en un pavillon carré ayant, au-dessus ou en dessous, une boule ou un objet analogue. Flammes sur le navire (telles qu'on peut en produire en brûlant un baril de goudron, un baril d'huile, etc. ). Fusée à parachute ou feu à main produisant une lumière rouge.
mayday. Appel de détresse radiotéléphonique international demandant une assistance immédiate.
Oui, bien sûr.
Une abréviation anglaise de « all correct »
Cette dernière écriture traduit graphiquement la prononciation anglo-saxonne de la lettre K : « kay ». L'explication la plus plausible fait le lien entre cette interjection et l'expression anglaise « All is correct. ».
La préposition latine versus (« contre ») ou son abréviation vs, composées en italique, s'utilisent parfois en français didactique au sens de « par opposition à », « opposé à ». C'est particulièrement le cas en linguistique, pour exprimer une opposition binaire entre des concepts ou des éléments de langue.
Nom commun
(Vulgaire) Homosexuel. (Injurieux) Pédé, tapette, pédale.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Mashallah est un mot d'origine arabe qui veut dire littéralement « Allah l'a voulu, Dieu l'a voulu, selon la volonté de Dieu ».
Il a en tout cas sauvé une femme de 53 ans à Montpellier le vendredi 5 novembre. Frappée et étranglée par son ex-compagnon, elle a trouvé refuge dans une pharmacie du quartier des Beaux-Arts et prononcé "masque 19", un code d'alerte qui permet de signaler discrètement des actes de violences conjugales.
Craint pour sa vie et pour la sécurité de ses enfants. Trouve des excuses ou vous évite sur la rue. Refuse d'admettre et ne voit pas le danger. Se blâme pour le comportement violent et « marche sur la corde raide ».