Au Québec, on tombe en amour (tiré de l'anglais fall in love), on devient plus rarement amoureux. Poursuivons dans la thématique de la vie de couple. On peut se marier, ou on peut vivre accoté, qui est l'équivalent de vivre en concubinage.
Le terme le plus courant pour décrire un amoureux est chum. Julie a un nouveau chum.
2 — Chum. Le mot chum a plusieurs sens, ce qui le rend assez difficile à comprendre pour les non-initiés. En effet, un chum peut être un amoureux (un jules), un conjoint de fait, un mari, un ami ou un camarade. Julie explique que c'est en sortant avec ses chums de filles qu'elle a rencontré son nouveau chum.
Traditionnellement, au Canada francophone, les mots chum et blonde servent à désigner le petit ami et la petite amie, par opposition à mari ou femme, époux ou épouse et conjoint ou conjointe pour les couples mariés.
Étymologie de « chum »
De l'anglais chum (« copain, camarade »), sans doute une apocope de chamber fellow ou chamber mate (« concubin », « roommate »).
Bisoune : Désigne un sexe masculin, un pénis. Généralement, c'est une expression un peu infantile.
chum n. Au Canada, ami, copain, copine. chum n.m. Au Canada, petit ami, amoureux ou conjoint.
Au Québec, pour bien “cruiser” (draguer), un Français doit impérativement comprendre qu'il aura plus de chance de séduire une Québécoise s'il lui laisse de l'espace, s'il accepte qu'elle soit indépendante et qu'elle paie sa part à chaque fois qu'ils sortent. Bref, lâchez-lui la grappe.
Aujourd'hui, les Canadiens et les autres pays utilisent «Canuck» comme terme pour tout Canadien.
Dans la culture québécoise, la bise est davantage réservée aux parents et amis. Aussi, les hommes ne se font jamais la bise entre eux (mais les femmes oui). On se sert davantage la main pour faire nos salutations (à l'américaine) lorsque nous rencontrons quelqu'un pour la première fois.
La tolérance
Elle constitue un fond historique de la mentalité canadienne-française. On peut vivre comme on veut, on peut penser ce qu'on veut, et chacun fait à peu près ce qu'il lui plaît.
1. Les Québécois sont des hédonistes. Ils privilégient les plaisirs de la vie, l'humour et la fête : 76 % considèrent qu'il est plus important d'“avoir du plaisir” que de “faire son devoir”.
La langue possède nombre de mots coquets pour décrire ce petit coup de bec qu'est donc le «bisou». «Bécots», «papouilles», «poutous»... À chacun sa façon d'embrasser.
Tabarnak : C'est un juron québécois, en référence au tabernacle d'église. Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties. Ce mot à été déformé en français canadiens, pour devenir un sacre ( un juron ) familier : tabarnak.
Camarade, amie. Petite amie, amoureuse.
Exclamation d'étonnement, de surprise ou aussi de mécontentement.
Cellulaire : Au Québec, on ne parle pas de téléphone portable, on utilise le mot cellulaire.
Comme ailleurs dans la francophonie, les Québécois utilisent le mot minou pour parler des chats de façon affectueuse ou comme appellatif amoureux. Toutefois, le minou québécois se distingue de son cousin français lorsqu'il désigne une petite pelote de mousse, de peluche. — Mon maillot est couvert de minous.
Chick | Définition français canadien | Je Parle Québécois.
Au Québec, un char désigne tout simplement une automobile. Il s'agit du nom le plus commun et le plus utilisé pour parler d'une voiture. On dit aussi "chauffer un char" : dans le sens de conduire une voiture.
C'est la perception la plus répandue chez les Québécois. A leurs yeux, les Français transforment la moindre conversation en joute verbale, critiquent tout, comparent toujours avec l'Hexagone, sont prompts à s'énerver pour rien, se disputent en public...