Pokoù signifie « bisous » en breton mais il existe plusieurs variantes : Pokigoù : Des bisous ! Pokoù bras : Gros bisous ! Ur pokig bras : Un grand bisou !
CALIN CÂLIN : -E CHERISUS, var. CHERAPL CHERUSNOILH(IG) parf.
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).
« Karantez », c'est « l'amour » en breton.
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
une belle (fille) KAERENN f.
BONSOIR NOZ VAT (deoc'h...) bonne soirée nozvezh vat (& nozad vat).
MAOUEZ , en vannetais bih. -IG b. -ed femme (en gal, loc. bonne femme, compagne...
Komzomp brezhoneg gant hon bugale.
pain en breton. Le dictionnaire français - breton contient 6 traductions de pain , les plus populaires sont : bara, baraenn, labour .
deiz-ha-bloaz laouen.
« Au revoir » en breton se dit « Kenavo ». Kenavo est un mot si connu en Bretagne et en France, qu'il s'agit presque d'une signature de la région bretonne, d'un symbole à part entière. Littéralement, « ken » se traduit par « jusqu'à », alors que « a vo » signifie « ce qu'il y ait ».
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
Les régionaux : missia-mina ou babbone-mammona (en corse), aitatxi-amatxi (en basque) ou tad-kozh-mamm-gozh (en breton) mais c'est quand même un peu réservé aux initiés…
Étymologie. Du moyen breton mam.
Entre 1830 et 1850, parler breton était non seulement interdit, mais aussi puni. Le conférencier a abordé une loi non écrite, laissée à l'appréciation des instituteurs qui a perduré pendant 130 ans en Bretagne. Le climat scolaire était délétère. La carotte, mais surtout, le bâton, était une pratique coercitive.
À demain : Ken arc'hoazh.
Mat 'walc'h !
Dans les années 1950, la Bretagne est ainsi la région où le taux de mortalité par alcoolisme est le plus fort en France. « On fabriquait alors beaucoup d'alcools comme l'eau-de-vie ou le cidre dans la région et toute la production était bue sur place », indique Thierry Fillaut.
3. Azen gornek (Âne cornu)