Lorsque, après un verbe à l'impératif, deux pronoms objets se suivent, le pronom de forme disjointe se place en dernier : Donne-le-moi ! et non *Donne-moi-le !
Sur ce même principe, on écrit donne-m'en. C'est cette forme qu'il faut employer, même si la tentation peut être forte d'utiliser, par analogie avec donne-nous-en, les formes donne-moi-s-en ou donnes-en-moi.
Il faut employer «dis-le-moi» (dans l'ordre: verbe, complément d'objet direct, complément d'objet indirect) en n'omettant pas les traits d'union entre chaque mot. En effet, on met deux traits d'union quand l'impératif précède deux pronoms. Exemples: Donnez-le-lui.
Il n'y a donc aucune raison d'ajouter un « s » à la terminaison de « donne » qui est tirée du verbe « donner ». Même chose pour « donne-lui », « donne-le », « donne-le-moi », « donne-leur », « donne-nous », etc.
Pronom atone masculin et féminin, objet indirect d'un verbe : Voilà ce que je lui ai entendu dire. 2. Pronom accentué, uniquement masculin, sujet, attribut du sujet, objet direct, apposition, complément précédé d'une préposition (il peut être renforcé par même : lui-même) : Sans la liberté, l'homme n'est pas lui-même.
Quand dit est employé avec l'auxiliaire avoir , il faut lui mettre un t et éviter d'écrire j'ai dis .
On distingue « où » de « ou » : La conjonction de coordination « ou » s'écrit sans accent et peut être remplacée par « ou bien ». Elle exprime une idée d'alternative entre plusieurs choses. « Où » avec un accent est un pronom relatif ou un adverbe de lieu.
Pour ce verbe, les terminaisons du présent sont -s , -s , -t : je dis et tu dis avec -s , il dit avec -t . Dans tu me dis , le mot me est intercalé entre le sujet et le verbe.
La règle est simple : on écrit dis-moi avec un s lorsque l'on utilise le verbe "dire" à l'impératif présent de la deuxième personne du pluriel.
Toi et moi = pluriel première personne (Toi et moi sommes venus). La première personne l'emporte sur la troisième. Lui et moi = pluriel première personne (Lui et moi sommes venus). la deuxième personne l'emporte sur la troisième.
Chercher des renseignements; s'informer.
Exemples: «Va en chercher», «ose y aller». Bref, en l'absence des pronoms adverbiaux «en» ou «y», les verbes du premier groupe ainsi que le verbe «aller» ne prennent jamais de «s».
Place des pronoms personnels dans la phrase impérative
Dans les phrases impératives avec affirmation : moi, toi, soi, nous, vous, lui, leur, eux, elle, elles, le, la, l', les, y et en, se placent après le verbe.
– Mais pourquoi donc écrit-on à l'impératif « mange » et tous ces verbes, sans -s final ? P. - Cela s'explique par l'histoire de la langue. En latin, l'impératif présent de tous les verbes ne prenait pas de -s final : « ama » (aime), « lege » (lis), « audi » (écoute), ...
Règle n°6 : On n'ajoute pas d'accent aigu quand la voyelle “e” est suivie de “d”, “f “ ou “r” ou si “z” est la dernière lettre du mot, exemples : une clef, pied, une nef, nez. Règle n°7 : Pas d'accent aigu sur les voyelles “e” précédant un “x” : accent circonflexe, le sexe.
Les accents peuvent avoir deux fonctions en français : une fonction phonétique, c'est-à-dire qu'ils peuvent préciser la prononciation d'une voyelle (le e n'est pas prononcé de la même façon dans le, état, après); et une fonction distinctive, c'est-à-dire qu'ils peuvent distinguer des homophones.
Sur la voyelle a
L'accent grave modifie la prononciation du a dans certains cas. Dans d'autres cas, il sert à distinguer des homonymes. Les différences phonétiques peuvent être plus ou moins marquées selon les différents dialectes du français. Même prononciation : çà, deçà, delà, déjà, holà, voilà.
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai dis » ? Parce que la terminaison du participe passé du verbe dire, conjugué au passé composé avec l'auxiliaire avoir, est dit, que le sujet soit masculin ou féminin, singulier ou pluriel.
Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu. On écrit « je fais », à la 1e personne du singulier du présent de l'indicatif.
L'autre sens, c'est "dire à soi-même", et dans ce cas le pronom est CO indirect, donc on n'accorde pas (Agnès s'est dit qu'elle reprendrait bien un petit croissant). Donc "je me suis ditE… enthousiaste", par exemple… Mais "je me suis diT que ce film était enthousiasmant".
− Expr. Donner le la. Donner le ton, avant l'exécution d'un morceau, en jouant la note la sur un instrument, en la chantant ou en faisant vibrer le diapason afin d'accorder les instruments ou les voix.
Les participes passés des verbes avoir, donner et laisser suivis de la préposition à et d'un infinitif sont soit laissés invariables, soit accordés avec le complément direct. Par exemple : elle mange une pomme.