Tout d'abord, il faut creuser une fosse dans le jardin ou autour de la maison, avec une certaine pente pour pouvoir évacuer les eaux pluviales. Ensuite, il faut couler un peu de béton dans la tranchée ou poser un film géotextile pour éviter que la terre ne bouche le drain, puis compléter avec des graviers.
Cette solution consiste à simplement creuser des trous de plantation beaucoup plus larges et surtout profonds que la motte qui viendra s'y loger : Vous placerez, au fond du trou, des pierres (ou galets) sur 30 ou 40 cm d'épaisseur. Vous pouvez également apporter du gravier par dessus pour améliorer encore le drainage.
Leur profondeur dépend de la nature du terrain. Car idéalement, il faut aller chercher une couche perméable de sol. La profondeur dépend également des végétaux que vous allez faire pousser : Pour une pelouse, une profondeur de 30 à 50 cm sera suffisante. Pour un jardin d'agrément ou potager, descendez à 50 ou 80 cm.
Géotechniciens ou entreprises de terrassement. Le drainage consiste à créer un réseau de gouttières — les drains — pour que l'eau extérieure ne stagne pas dans le sol et qu'elle soit évacuée vers l'extérieur, comme un puits perdu ou un réseau d'évacuation pour les eaux pluviales.
à partir de 17 €/m linéaire(2) pour un drain béton de 200 mm de diamètre ; 23 €/m linéaire(1) pour un drain PVC renforcé ; à partir de 0,6 €/m(2) pour un drain flexible ; à partir de 3 €/m(2) pour un drain rigide.
Pour drainer un morceau de terrain vous devrez creuser une ou plusieurs tranchées de 60 cm environ de profondeur sur 40 à 50 cm de largeur et la remplir ensuite de un ou plusieurs graviers (grossier et fin). Il s'agit donc d'une opération assez physique qui demande une bonne forme et un peu d'endurance.
Pour améliorer la structure du sol et assouplir la terre, la rendre plus perméable, il faut apporter de la matière organique, notamment du fumier de cheval, de vache ou de mouton par exemple et du compost, enfouis à faible profondeur. Le fumier composté a un pouvoir asséchant, il se répand tous les 3 ans (4 kg/m²).
Comment drainer le sol ? La méthode la plus simple et engageant le moins de travaux est sans conteste le drainage lors de la plantation. Il suffit de creuser un trou beaucoup plus large et profond que la motte et d'installer en son fond une épaisse couche (au moins 40 cm) de galets ou de pierres.
Creusez des tranchées étroites avec une bêche ou un louchet et façonnez une légère pente au fond de chacune afin que l'eau collectée s'écoule par gravitation. Appliquez un feutre de jardin, épais et imputrescible au fond des tranchées et sur les parois pour empêcher les particules de terre d'obstruer le drainage.
Les éléments jointifs à la construction tels que les garages, terrasses ou encore perrons peuvent aussi se détacher. Ces tassements peuvent également entraîner une distorsion des portes et fenêtres, une dislocation des dallages et des cloisons et, parfois, la rupture de canalisations enterrées.
Le drainage des sols argileux
Il est possible de modeler le relief de la surface du sol (former un large ados) pour faire en sorte que l'eau s'écoule de par et d'autre du terrain, vers des fossés latéraux de récupération. Toutefois, la meilleure solution reste de rendre ce sol plus perméable.
Cependant, il est conseillé de drainer lorsque le terrain est composé d'un couche superficielle perméable et d'un sol peu perméable en profondeur. Dans cette configuration, les eaux de ruissellement peuvent cheminer sous la surface et pénétrer dans le bâtiment par les murs ou sous les fondations.
Il peut être préférable de creuser une tranché au centre de la cour d'environ deux pieds de profondeur par deux pieds de largeur, d'y installer un drain perforé et de la pierre concassée et de diriger cette eau vers un puits plus profond d'environ quatre pieds de diamètre par huit pieds de profondeur.
Pour un drainage périphérique d'une maison, un drain d'un diamètre de 10 centimètres est la norme. Des drains de 60 à 80 mm peuvent être suffisants dans certains contextes. La section des drains est généralement circulaire, il est toutefois possible d'utiliser des "drains routiers" à fond plat.
Le terrain drainant est un sol sablonneux ou caillouteux (en bref avec des cailloux plus ou moins gros) ne gardant pas l'eau stagnante. Les pluies sont rapidement essuyées rendant le sol idéal pour les plantes de rocailles.
Pour alléger un sol glaiseux, ajoutez du sable On entend souvent dire que la solution à sol trop glaiseux , qui est lourd et souvent détrempé, difficile à travailler, serait d'y mélanger du sable… et d'ailleurs l'idée paraît logique. Après tout, si un sol glaiseux (argileux) est si dense et lourd,…
Un sol humide est un sol où l'eau stagne. Le sol humide retient donc l'eau, car les pluies s'écoulent très difficilement. Par exemple, les terres argileuses sont des terres humides qui conservent l'eau après une averse. Un sol humide se situe souvent en point bas, au fond d'une vallée.
Les cailloux de drainage sont de gros gravillons 20/40 mm à 40/80 mm utilisés pour assurer le drainage des terrains et la collecte des eaux dans un drain perforé à la périphérie d'un bâtiment, ou pour éviter la remontée d'humidité sous un dallage (on parle alors le plus souvent de hérisson).
Les drains les plus utilisés sont les drains tubulaires, les lames, les drains aspiratifs et les mèches. D'autres systèmes sont parfois utilisés : faisceau de crins, système d'irrigation et aspiration ou sac de Mikulicz.
Pour sauver votre plante, il est important de faire sécher rapidement le substrat. Utilisez une griffe ou une petite pelle pour ameublir la terre et créer des poches d'air pour accélérer le séchage. Vous pouvez également pencher le pot, et le tapoter légèrement.
Installer un drain français est une opération qui doit être réalisée par un expert en fondation. En effet, il y a de nombreux éléments qui doivent être pris en compte pour que le drain français soit bien installé et seul un expert en drain français pourra les prendre en compte pour votre maison.