Une fois le cheval harnaché, le marcher en main commencera à mettre le corps en activité avec douceur, sans porter le poids du cavalier. Longer son cheval avant de monter permettra aussi de « chauffer » les muscles avant de porter le cavalier.
Il s'agit simplement d'effectuer un cercle au trot ou au galop et de laisser filer ses rênes sur un quart ou une moitié du cercle. Le cheval devant chercher à étendre son encolure vers le bas pour conserver le contact avec la main. La qualité du contact y est primordiale. Il doit être franc, mais souple !
Il est possible de décontracter son cheval sans passer par les flexions, le cheval tombe dans la main et mâche son mors lorsque certains exercices sont bien réalisés, cela peut être une épaule en dedans, une simple mobilisation des hanches, des épaules ou un travail de transition.
Pour que votre cheval soit le plus décontracté possible, l'important est de commencer par l'allure où il est le plus à l'aise. C'est pour cela que certains cavaliers galopent avant de trotter. Il est aussi possible de longer votre cheval ou de le marcher en main avant de monter.
Pour bien assouplir ton cheval tu peux déjà commencer par le faire marcher. De dix à vingt minutes selon les chevaux pour bien l'échauffer. Ensuite, commence par le faire galoper tête en bas. Reste en suspension pour lui faire la vie facile au début et laisser ses muscles se mettre en place sans effort.
avant de le monter. Cependant, il est également possible qu'il agisse ainsi, lorsque vous lui demandez le galop, pour manifester son refus d'obéissance. Dans cette hypothèse, il y a un manque d'impulsion caractérisé, c'est-à-dire un refus de se mettre à la disposition du cavalier.
Le bon cheval de saut d'obstacles doit être naturellement très respectueux des barres. Cela veut dire qu'il est très attentif a ne pas toucher les obstacles, qui se donnera les moyens en sautant bien au dessus pour s'assurer de ne pas faire de “faute” en renversant l'obstacle.
Les transitions
C'est également un super moyen de dynamiser un cheval froid à la jambe. Vous pouvez par exemple demander un trot moyen après un arrêt, ou encore alterner les foulées de trot rassemblé et les foulées de trot allongé, etc.
Dans un premier temps, faites marcher votre cheval puis varier tranquillement les trois allures sans précipitations pour ne pas le brusquer ou lui demander trop d'efforts si il est encore "froid". Le but de cette étape et de rendre votre cheval tonique, mais aussi attentif et totalement disponible dans le travail.
Cet exercice consiste à passer 4 barres au sol et à enchaîner avec une volte avant de passer sur la barre suivante. L'exercice peut être réalisé au trot, puis au galop. L'objectif est de pouvoir de plus en plus resserrer la courbe au fur et à mesure des passages, tout en gardant un tracé droit pour passer les barres.
Une fois votre cheval bien en avant, sans aller vite, essayez d'avoir un contact souple sur les deux rênes pour qu'il comprenne que quand vous pressez les doigts un petit peu, il doit céder et venir s'arrondir là-dessus. Votre main ne doit pas être dure.
Le refus en obstacle
Jamais catastrophique mais toujours alarmant, le refus signifie que quelque chose vient de mal se passer pour le cheval : effrayé, décontenancé par une action incongrue de son cavalier, mal amené sur l'obstacle, déséquilibré, fatigué, il s'arrête, refuse de coopérer.
Mettez-vous au trot et serrez les jambes énergiquement, poussez les fesses vers l'avant de la selle, vous pouvez attraper le pommeau à 1 ou 2 main(s) si besoin. Veillez à bien décontracter tout le haut de votre corps, les épaules et le dos, en gardant les reins bien souples.
Galop 6. Le cavalier doit maîtriser la longe et être capable de faire passer des obstacles à son cheval ou son poney. En plus des obligations du galop 5, il doit être capable d'effectuer des sauts en terrains variés.
Quand le cheval est au galop, essayez de vous redresser au maximum en mettant vos épaules en arrière. Pour cela, vous pouvez vous appuyer sur le pommeau avec l'une de votre main. Cette position légèrement en arrière signifie au cheval qu'il doit ralentir ou s'arrêter.
Il existe une technique. Elle consiste à prendre le flot des rênes dans une main, puis de remonter sur les deux rênes tendues au maximum avec l'autre main, sur l'encolure. Cela crée un pli sur les vertèbres du cheval qui l'empêche de ruer. Pensez à mettre beaucoup de jambes en même temps et le cheval devrait céder.
On observe donc un demi-cercle interne du membre. Chez le cheval cagneux, la trajectoire est inverse, on parle de cheval qui « billarde ». La trajectoire est la suivante : extérieur, avant et membre opposé.
Les sauts au pas sont extraordinaires pour muscler l'arrière main de votre cheval. Par rapport aux sauts au trot ou au galop, les sauts au pas ont cet avantage de nécessiter beaucoup plus de force à cause de l'absence de vitesse à l'abord.
Pour cela, le cheval va devoir arrondir son encolure en venant pousser sa nuque par dessus son bout du nez. En étirant ainsi sa tige vertébrale, dans la décontraction, il va induire la décontraction de son dos, et le remonter.
En général, un cheval n'a pas besoin d'être couvert. Avant que l'hiver ne pointe le bout de son nez, le cheval a pour habitude de faire son poil, et ce, dans le but de supporter le froid. Si ses poils sont bien entretenus, son pelage constitue sa meilleure protection pour le maintenir au chaud.
Demandez le départ au galop en reculant bien votre côté extérieur, jambe intérieure à la sangle, badine dans la main intérieure, agissant éventuellement sur l'épaule intérieure de votre cheval. Ne faites que quelques foulées en ligne droite et repassez au pas.
Pour débuter cet exercice, prenez le galop avec votre cheval sur le petit côté et commencez un début de diagonale en sortant du coin. Avant X, vous réalisez une transition au trot avec un changement de direction à la lettre X, puis vous redemandez le galop en revenant sur la piste.