Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
On retrouve le même fonctionnement dans a-t-elle et a-t-on .
Dans quels cas écrit-on elle a eue ? Justement, pour en arriver à écrire elle a eue , elle a eus ou elle a eues , où on a ajouté un e de féminin et un s de pluriel, il faut déclencher l'accord. L'accord n'a lieu que si le mot qui désigne ce qu'elle a eu est placé avant le verbe.
Aussi ne doit on pas écrire: «répond-t-elle» ou «prend-t-on», mais bien «répond-elle» et «prend-on». On nous dit que la présence d'un «t» euphonique serait superflue parce que les verbes se terminent déjà par un «d» qui se prononce «t».
« Y a-t-il » est la bonne formule
On ne peut pas appliquer cette règle de l'apostrophe et donc écrire « y-a-t'il » car le « t « ne remplace pas le pronom « te ». Le « t » est ajouté pour permettre de ce qu'on appelle, une liaison euphonique c'est-à-dire une liaison entre 2 voyelles.
Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d . Ainsi, on écrit va-t-il , mange-t-il , etc.
Bonsoir. *Qu'il y a-t-il est une tournure du langage populaire parlé, incorrecte du point de vue de la syntaxe, même si elle se rencontre fréquemmentdans la presse et sur le Net. C'est tout aussi incorrect que si l'on disait, par exemple, *qu'il faut-il au lieu de que faut-il.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».
Le son [ t ] qu'on entend quand on dit est-elle correspond à la dernière lettre du verbe est , et il ne doit pas être noté par un t supplémentaire. On n'écrit pas est-t-elle .
On écrira "a eu lieu", car lieu n'est pas le verbe.
Il faut écrire : Les choix qu'elle a eu à faire ont changé le cours de sa vie. « Eu » reste invariable, car « les choix » n'est pas son COD mais celui de l'infinitif « faire ».
La règle qui s'applique
Dans elle a été envoyée , le participe passé envoyé est utilisé avec l'auxiliaire être ( a été correspond effectivement à une conjugaison du verbe être !).
Les deux sont possibles. Selon la structure de la phrase, on écrit elles ont changé ou elles ont changées (et aussi changée , changés ).
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Dans « qu'a-t'il dit », l'apostrophe est employée à tort. On croit que le « t » est seul à cause d'une élision, comme dans « tu t'appelles ». En réalité, c'est un « t » euphonique, qui évite le hiatus « a il » ; il est ajouté par analogie avec les verbes où il est une vraie désinence : « dit-il », « fait-il ».
Dans une phrase interronégative, la négation doit être écrite, en principe, sous sa forme complète (ne… pas) . On écrira donc : N'a-t-il pas confié… Il est possible de faire l'économie de pas (N'a-t-il confié…), mais une telle formulation relève du registre littéraire.
Indique que quelque chose, quelqu'un existe, se trouve, est quelque part : Y a-t-il quelqu'un ici ?
On écrit par exemple «Comment va-t-il?», avec des deux traits d'union car le «t» se trouve placé entre une forme verbale et un pronom personnel (ici, «il»). Dans le cas qui nous intéresse, le «t» résulte de l'élision du pronom toi.
Que se passe t'il ? : L'apostrophe en français a un sens bien précis : elle sert à remplacer une lettre qui gêne à la prononciation. Par exemple "je ai" devient "j'ai". Le tiret par contre, sert, entre autre, à faciliter une inversion, comme dans l'exemple cité : Que se passe-t-il ? est l'orthographe exacte.
La réponse simple. On écrit, en langage familier, « ça a été ». A l'oral, on peut dire « ç'a été ».
Ainsi, dans la formule interrogative « y a-t-il », on n'ajoutera pas de trait d'union entre « y » et « a » mais seulement entre « a » et « il » afin d'encadrer le « t » euphonique. On écrira donc toujours « y a-t-il » et non « y a t-il » ou « y-a-t-il ».
T'es et t'est
T'es est le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. T'est est également le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.
elles. Elle est le pronom personnel féminin de la troisième personne du singulier de il, lui ; s'emploie quand le sujet a déjà été nommé dans la phrase ou dans une phrase précédente.