su- : je l'ai su.
La forme correcte est : Je n'ai pas faim.
C'est le verbe "avoir" conjugué à la deuxième personne au subjonctif présent (que tu aies). Exemple : "J'aimerais que tu aies une vie heureuse." Au subjonctif passé, temps peu usité, "aies" devient un auxiliaire (que tu aies eu).
« Cela fait un an que je ne t'ai pas vu. » ou « Cela fait un an que je t'ai vu. »
La réponse simple. On écrit « aie » ou « aies » quand il s'agit des formes conjuguées du verbe avoir au subjonctif présent, selon que le sujet est la première personne du singulier : que j'aie ou la deuxième personne du singulier : que tu aies.
Langue parlée. Dans sa réalisation courante dans la langue parlée, la négation se forme avec un seul mot (sans ne), qui se place après le verbe conjugué : Je sais pas.
EXPLICATION du fonctionnement de la négation en français:
Lorsque la négation porte sur toute la phrase, on ajoute « ne pas » (adverbe) à la phrase affirmative. Je danse. Je ne danse pas. Ils parlent.
On met une phrase à la forme négative en encadrant le verbe par : ne… pas , ne… plus, ne… jamais, etc. Attention à ne pas oublier le ne (ou n') devant le verbe, à l'écrit comme à l'oral ! Ex. : Je n'ai pas faim.
J'ai demandé à Christian de venir, je lui ai demandé de venir. J'ai demandé la facture, je l'ai demandée.
Lorsque le verbe pronominal a un complément d'objet direct placé derrière lui, le participe passé ne s'accorde pas. Exemple : Ils se sont égratigné les genoux. Lorsque le verbe pronominal est suivi d'un verbe à l'infinitif, le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet.
« J'aurai » ou « j'aurais » : quelle différence ? Tous deux sont des conjugaisons du verbe (auxiliaire) avoir. « J'aurai » est conjugué au futur simple, et « j'aurais » au conditionnel (présent) .
La réponse simple. On écrit toujours : « si j'avais su ». Exemple : Si j'avais su, je ne serais pas venue.
● «Si j'aurais su»
C'est même tout le contraire! Rappelons la règle: lorsqu'on emploie la conjonction «si», qui traduit de fait une condition, il est inutile d'y ajouter un verbe conjugué au conditionnel. Ainsi, il faut écrire: «Si j'avais su, je ne serais pas venu.»
Un guide d'aide à l'entretien avec des femmes victimes de violences. Le Département de la Seine-Saint-Denis s'efforce d'être en première ligne dans la lutte contre toutes les formes d'inégalité et de violences qui s'exercent à l'encontre des femmes.
La négation peut être exprimée par le vocabulaire : préfixe négatif, préfixe non- ou encore un antonyme.
On parle de négation totale lorsqu'elle porte sur l'ensemble de la proposition. Je n'entends rien. → La négation est totale car elle porte sur l'ensemble de la phrase. On parle de négation partielle lorsque la négation ne porte que sur un élément de la proposition (le sujet ou un complément).
Il existe trois types de négation : la négation totale, la négation partielle et la négation restrictive/exceptive.
« Comment t'as su que j'habitais en Ardèche ? » « Comment t'as su que j'étais en fac de droit ? » Cette phrase, accompagnée de photos illustrant les plus gros clichés collés à l'objet de leur moquerie, se multiplie depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. L'objectif : rire des a priori.
Règle : on écrit toujours « je vous saurais gré » (verbe savoir).
«Employé avec l'auxiliaire avoir, le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le complément d'objet direct quand celui-ci le précède (les crêpes que j'ai mangées). Mais si le complément suit le participe, il reste invariable (j'ai mangé les crêpes).»
Terminaison en ai ou ais
On ne va pas tourner autour du pot plus longtemps, on t'explique la différence entre les deux terminaisons. La terminaison en –ai : c'est à la première personne du singulier au futur de l'indicatif. La terminaison en -ais : c'est à la première personne du singulier au conditionnel présent.
Pas de doute, on écrit toujours « qu'il ait » ou « qu'elle ait ». La forme conjuguée du verbe avoir « aie » existe, mais correspond ou bien au mode subjonctif à la première personne du singulier du subjonctif (« que j'aie »), ou bien au mode impératif à la deuxième personne du singulier (« aie ! »).