Votre début de roman doit donner quelques éléments clés de votre histoire, planter un univers, une ambiance, poser les premiers jalons de l'intrigue. Pour autant, ce n'est pas la peine d'écrire pour tout déballer du monde dans lequel se déroule l'histoire ou des enjeux de l'intrigue.
Une première phrase parfaitement soignée
Celle-ci doit être un concentré de votre récit, elle doit le refléter au maximum, c'est pourquoi il ne faudra pas hésiter à la réécrire jusqu'à la rendre à la fois simple, dynamique, avec quelques éléments concernant le contexte ou même votre personnage principal.
– La première page est une page blanche, ainsi que la dernière et parfois quelques autres à la fin. – La numérotation commence à la page de texte seulement, mais pas par le chiffre « 1 » ! Elle commence par le chiffre correspondant à la numérotation réelle, qui commence dès la première page intérieure.
Le début doit donc préciser les trois dimensions du récit : quand, où, et qui. Pour captiver le lecteur, il est conseillé d'entrer directement dans le vif du sujet avec une première péripétie qui présente le contexte de l'histoire (son intrigue, ses personnages, etc;). Mais, veillez à ne pas aller trop vite non plus !
Soignez l'écriture de la première phrase
L'écriture de la toute première phrase d'un roman – l'attaque – demande une attention toute particulière. Elle doit être un concentré de ce qu'est votre récit et doit donc le refléter au maximum. Attention, il ne s'agit pas de faire très complexe.
L'introduction est un petit discours préliminaire placé en tête d'un ouvrage.
a) Un livre a diverses parties : La reliure, — la couverture, — le titre (titre, faux-titre, sous-titre, frontispice), — les préliminaires (dédicace, préface, introduction, préambule) ; — l'œuvre proprement dite, les Tables des matières et index, les appendices (annexes, planches hors texte).
Pour écrire une bonne histoire, l'auteur doit lui donner une bonne substance. Les meilleurs héros sont ceux qui se sont fait tous seuls. L'auteur ne doit pas se laisser emporter ou aller trop loin dans son ouvrage.
Un livre qui se vend, c'est en général un livre avec du bon contenu. Donc il faut savoir écrire, ne pas faire de fautes d'orthographes, savoir argumenter, avoir une expertise sur le sujet principal du livre.
Dans le seul domaine du roman, on désigne par incipit (masculin, du latin incipire) la première phrase du texte, aussi nommée « phrase-seuil ». Plus que la simple amorce d'un texte, cette première phrase d'un roman ouvre la porte de l'imaginaire de l'auteur. Elle n'est pas forcément belle, ni originale.
En général un prologue se situe hors de l'action principale et même si parfois il peut contenir une scène, il ne doit pas nécessairement faire apparaître le personnage principal. Pour écrire un prologue, vous pouvez donc choisir un point de vue différent ou utiliser l'aide d'un narrateur omniscient.
Définition. L'épigraphe est généralement placée en tête d'un livre ou d'une partie de ce livre.
Le terme ''incipit '' vient du verbe latin incipire= commencer. L'incipit sert à désigner le début d'un roman. On peut dégager plusieurs fonctions : Fonction n°1 : il a une valeur d'annonce et programme la suite du texte.
On les appelle soutiens littéraires, accompagnateurs littéraires, assistants de rédaction, conseillers en écriture, prête-plume, écrivains publics, biographes. C'est à eux qu'il faut s'adresse pour écrire un livre.
Créer des péripéties, se fixer un but
Après avoir réfléchi à votre dénouement, vous pouvez développer des actions diverses pour créer des « sous actions » et donner des « sous-quêtes » à chacun de vos personnages. Ces péripéties alimenteront l'intrigue et tiendront le lecteur en haleine jusqu'à la fin de l'histoire.
Le conte commence généralement par une formule d'ouverture : « il était une fois », « il y a bien longtemps », etc.
Devenir écrivain public sans diplôme
Il n'est pas du tout obligatoire d'avoir un diplôme pour exercer en tant qu'écrivain public. Toutefois, la plupart des écrivains publics ont fait des études littéraires (licence professionnelle en lettres modernes, journalisme, professorat…).
Il faut comprendre que vivre de l'écriture, c'est devenir professionnel de l'écriture. Vous vous scindez en deux : l'artiste, toujours présent, qui veux accoucher d'une œuvre, et ensuite le professionnel, qui doit comprendre le monde de l'édition.