On écrit « peux-t-on », « peut-on » ou « peut-t-on » ? On écrit « peut-on » : si à l'oral on prononce bien le -t (peuton), puisque la conjugaison de pouvoir à la troisième personne du singulier est « peut » avec un -t, inutile d'en ajouter un pour faire la liaison !
Comme écrire pourrais-tu ? Avec un s , pourrais , ou sans s , pourrai ? Ces deux formes conjuguées du verbe pouvoir existent bel et bien mais elles ne correspondent pas à la même chose ! Pourrais-tu s'écrit toujours avec un s , et avec un trait d'union entre les deux mots.
Première chose : la seule orthographe correcte est comment procède-t-on .
-Conclusion: -'On' = Un pronom indéfini qu'on peut remplacer par le pronom personnel 'il' ou 'nous' et la phrase reste correcte . -'Ont' =Verbe ou auxiliaire 'avoir' conjugué à la 3e personne du pluriel au présent et qu'on peut conjuguer à l'imparfait et la phrase reste correcte.
Pour résumer, si “on” exclut la personne qui parle, il s'agit du pronom “on” indéfini et l'accord est au singulier. Si “on” inclut le locuteur, il s'agit du pronom personnel, il faut alors accorder le participe passé ou l'attribut en genre et en nombre en fonction des personnes qu'il désigne.
L'accord du verbe conjugué avec le pronom on comme sujet se fait toujours à la 3e personne du singulier. Le pronom on a la même valeur qu'un il, il commande donc un accord à la 3e personne du singulier. On en parle, mais on n'en sait pas plus. On avait des données importantes à lui transmettre.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
Un va-t-en-guerre
On écrit par exemple «Comment va-t-il?», avec des deux traits d'union car le «t» se trouve placé entre une forme verbale et un pronom personnel (ici, «il»). Dans le cas qui nous intéresse, le «t» résulte de l'élision du pronom toi.
Exemple: «Pense-t-on.» Cela signifie donc que les verbes se terminant en «d» ou «t» à la troisième personne du singulier ne pourront jamais être accolés à la lettre «t». Pour être correct, nous éviterons d'écrire «que répond-t-il?» et préfèrerons la formule «que répond-il?».
Le futur simple exprime une action à venir. Demain, j'irai au zoo. Elle verra ses grands-parents pendant les vacances. Le conditionnel présent exprime une hypothèse, un souhait ou une condition.
Il suffit de remplacer votre conjugaison aux personnes du singulier par "nous" pour entre "ons" (futur) ou "ions". Si en remplaçant par nous "ions" sonne bien alors utilisez le conditionnel. Je mangerai du chocolat demain soir (on ne peut pas dire "nous mangerions du chocolat demain soir").
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait. Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Rappel Écrire correctement le t euphonique
Le t euphonique se met entre deux tirets. N'utilisez pas l'apostrophe dans ce cas ! Écrivez : A-t-il parlé de moi ?
Deuxième personne du singulier de l'impératif de s'en aller, qui permet de demander, généralement sèchement ou dans l'urgence à son interlocuteur de prendre congé. Exemple : Va-t'en immédiatement !
Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d . Ainsi, on écrit va-t-il , mange-t-il , etc.
Re : m'a t'on dit
m'a-t-on dit, car c'est comme cela que ça doit s'écrire, est une reformulation pour on m'a dit, où le -t- est euphonique.
La difficulté avec la formule sera-t-elle , c'est l'orthographe de ce qu'il y a au milieu. Le t se relie aux autres mots par deux traits d'union et pas autrement. Les erreurs qu'on rencontre le plus souvent sont sera-t'elle avec une apostrophe et sera t elle avec des blancs.
On dira ainsi «nous sommes arrivés ou on est arrivés à l'heure» plutôt que «nous, on est arrivés à l'heure».
Étymologiquement, nous l'avons vu, « on » est masculin singulier. Le participe passé du verbe dont il est sujet s'accorde donc au masculin singulier. Ainsi, le talk-show de Laurent Ruquier diffusé tous les samedis soir sur France 2 s'intitule On n'est pas couché.