Exemple: «Pense-t-on.» Cela signifie donc que les verbes se terminant en «d» ou «t» à la troisième personne du singulier ne pourront jamais être accolés à la lettre «t». Pour être correct, nous éviterons d'écrire «que répond-t-il?» et préfèrerons la formule «que répond-il?».
Il faut écrire : On se demande s'il fera l'affaire. Devant « il », le « i » de « si » est obligatoirement remplacé par une apostrophe : il faut donc écrire « s'il fera l'affaire » et non « si il fera l'affaire ».
Si l'on place un « t » entre un verbe se terminant par une voyelle (ou par un « c » non prononcé) et un pronom tel que « il », « elle » ou « on », on n'en met pas quand le verbe se termine par un « t » ou un « d » : Pense–t-il ce qu'il dit ?
(La bonne réponse est : « Prend-il? ». La consonne d devient t quand on fait une liaison. Il ne doit pas y avoir de t euphonique parce que le verbe se termine par une consonne.)
Règle : lorsque vous pouvez remplacer par « lorsque », « à quel moment » ou « le moment où » alors il faut écrire « quand » avec un -d. Sinon, il faut écrire « quant » avec un -t, prenant le sens de « en ce qui concerne ».
On ajoute un « t » dans les formules interrogatives pour faciliter la prononciation et éviter que deux voyelles se suivent. on écrira donc « est-il». si le verbe conjugué se finit par un « t », alors il n'est pas nécessaire d'ajouter un « t » .
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d . Ainsi, on écrit va-t-il , mange-t-il , etc.
Le participe passé du verbe prendre est pris. Exemple : Il a pris des antibiotiques pendant une semaine, mais ne se sent pas mieux. La forme prit correspond à la 3e personne du singulier du verbe prendre au passé simple de l'indicatif. Exemple : Il prit la suite de son père et devint notaire en 1965.
Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».
« Y a-t-il » est la bonne formule
On ne peut pas appliquer cette règle de l'apostrophe et donc écrire « y-a-t'il » car le « t « ne remplace pas le pronom « te ». Le « t » est ajouté pour permettre de ce qu'on appelle, une liaison euphonique c'est-à-dire une liaison entre 2 voyelles.
Re : m'a t'on dit
m'a-t-on dit, car c'est comme cela que ça doit s'écrire, est une reformulation pour on m'a dit, où le -t- est euphonique.
Dans « qu'a-t'il dit », l'apostrophe est employée à tort. On croit que le « t » est seul à cause d'une élision, comme dans « tu t'appelles ». En réalité, c'est un « t » euphonique, qui évite le hiatus « a il » ; il est ajouté par analogie avec les verbes où il est une vraie désinence : « dit-il », « fait-il ».
La réponse simple. On écrit : « s'il vous plaît », selon l'orthographe traditionnelle et « s'il vous plait », selon les préconisations de la réforme de l'orthographe (ou nouvelle orthographe) de 1990.
Si il : orthographe
Pour faciliter la prononciation, on élidera "si". C'est-à-dire qu'on le coupe et on lui ajoute une apostrophe afin d'éviter l'assonance du son "i". On comprend donc que l'orthographe correcte est s'il et non si il !
Pourquoi n'écrit-on pas « qu'il aie » ? Parce que la forme « qu'il a » n'existe pas. « aie » correspond à la première personne du singulier du subjonctif présent : que j'aie. Le meilleur de votre expression écrite.
« Il a mis » est la forme correcte de la conjugaison du verbe « mettre » à la 3e personne du singulier au passé composé de l'indicatif. Elle est obtenue par la combinaison de l'auxiliaire « avoir » au présent et du participe passé du verbe conjugué : « mis ».
Il faut écrire : Le vendeur leur propose divers abonnements. « Leurs » précède ici immédiatement un verbe, « propose » : on a donc affaire au pronom personnel, toujours invariable, et on écrit « leur », sans « s ».
Au conditionnel présent, on conjugue le verbe être comme ceci : je serais , tu serais , il serait . Avec le sujet il , la terminaison est -ait . Et ensuite, quand le sujet est placé après le verbe, ces deux mots se relient par un trait d'union.
On écrit « c'est » avec un -c quand... : On écrit « c'est » lorsqu'on peut remplacer par « cela est ». Il est alors suivi d'un groupe nominal, d'un pronom ou d'un adjectif qualificatif. Tout comme "ces" et "ses", « c'est » est utilisé pour montrer ou désigner quelque chose.
On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»
La réponse simple. On écrit toujours « quant à » avec un t final, lorsqu'il est suivi de : à, au, aux. Il signifie : en ce qui concerne, pour ce qui est de, au sujet de.
Quant à peut être utilisé en début de phrase ou de proposition pour souligner ou mettre en relief un ou plusieurs mots : quant à cette affaire, nous la traiterons le moment venu ; il peut aussi mettre simplement en relation deux éléments de phrase, avec la valeur de « au sujet de, pour ce qui concerne » : je ne sais ...
Oui (« La nouvelle version du jeu ne sortira que en 2013 »). Il faut donc écrire « qu'en », et non « quand ».