toilettes n.f. pl. Lieux d'aisances, en particulier dans un endroit public. toilette n.f.
Masculin ou féminin ? Dit-on le ou la toilette ? Souvent, on emploie ce mot au pluriel, les toilettes , et son genre n'est pas apparent. Mais le mot toilette est dans tous les cas un nom féminin : une toilette , la toilette .
Dans ce cas l'erreur est double, car le mot « toilette » est toujours au féminin et quand il s »agit du lieu d'aisance il est toujours au pluriel. Ne dit-on pas « je fais ma toilette » et « je vais aux toilettes ». Et là vous en conviendrez, ce n'est pas la même chose même si l'on fait sa toilette aux toilettes !
toilettes publiques (n.f.p.) 1. lieux d'aisances ouverts au public.
Installation comprenant un siège, une chasse d'eau et destinée à la satisfaction des besoins naturels.
À cause d'un phénomène phonétique qui s'appelle l'assimilation. En phonétique, on classe les consonnes en deux groupes : les sonores comme b, d, g, j, v, z qui font vibrer la gorge quand on les prononce ; si on chuchote, elles se transforment en leur équivalent sourd.
Toilettes au pluriel
Soyons clairs, lorsqu'il s'agit du lieu d'aisances où l'on va pour se soulager, « toilettes » sera toujours au féminin pluriel. On dit donc DES toilettes. Jamais (au grand jamais !) dira-t-on « je vais au toilette ».
En France, on utilise souvent le sigle les WC (pour l'anglais water closet), les sanitaires ou les cabinets alors que les termes lieux ou cabinet d'aisances ou plus pudiquement encore, lieux, aisances, commodités, garde-robe ou privés ne sont plus guère utilisés ou utilisés dans des contextes plus littéraires ou ...
Ce sont des latrines, suspendues au-dessus du vide. A l'époque féodale, les latrines en encorbellement, fonctionnant sur le principe de l'évacuation gravitaire, sont réservées aux édifices les plus cossus et les plus imposants.
Les plus anciennes latrines que l'on connaisse remontent à la civilisation de la vallée de l'Indus, considérée comme la première à avoir développé une planification urbaine dès 2600 av. J. -C. : des toilettes étaient évacuées dans des égouts retrouvés sur les sites de Mohenjo-daro et de Harappa.
cabinets, lavabos, petit(s) coin(s), waters, W. -C. – Familier : pipi-room, tinette, vécés. – Populaire : chiottes, goguenots, gogues.
Toujours au féminin (des chips faites à l'huile). Le pluriel est habituel, mais pour parler d'une rondelle unique de pomme de terre frite, on peut dire : une chips.
On dit : « J'avais besoin d'une échappatoire, alors j'ai inventé un rendez-vous chez le dentiste pour partir du bureau plus tôt… » Entracte. On dit « un ». Lorsque vous raconterez à vos collègues votre soirée au théâtre, dites-leur qu'il y avait « un entracte » et non pas « une entracte ».
Les Français croient toujours que les toilettes basses sur lesquelles il faut s'accroupir inconfortablement pour procéder aux besoins ordonnés par la nature, leur ont été imposées par l'empire ottoman. C'est pourquoi ils les appellent « à la Turque ».
Fabriqué à partir de fibres de papier naturelles, le papier toilette sec se décompose rapidement et efficacement dans les égouts. Les feuilles peuvent passer à travers les toilettes, les canalisations et systèmes d'eaux usées facilement.
Le rehausseur de WC est un accessoire à emboîter sur votre cuvette de toilette.
Certaines maladies et problèmes médicaux peuvent causer une nycturie, notamment les infections urinaires ou encore les infections de la vessie. Ces infections peuvent causer des sensations fréquentes de brûlures et des besoins urgents d'uriner la journée et la nuit.
La constipation correspond à une diminution de la fréquence des selles avec une difficulté pour les évacuer. Le manque d'exercice physique, une alimentation pauvre en fibres et une consommation de liquides insuffisante en sont les principales causes.
La prononciation est normalement \v\ dans les mots venant de l'allemand ou de l'alsacien (ou quand la prononciation a été influencée par l'allemand) : walkyrie, Wagner, wagnérien, Lech Walesa, warrant, weltanschauung, wergeld, winstub, woïwodie, wisigoth, wolfram, wormien, würmien, wyandotte…
Ainsi le nom wagon s'est d'abord prononcé avec un <w> conforme à la prononciation anglaise d'origine, auquel un <v> s'est substitué dans la seconde moitié du 19e siècle, sans doute sous l'influence de l'allemand Wagen – ce qui explique la variante graphique vagon que l'on trouve tant chez Littré que chez Larousse.
Au XIXème siècle, le mot traverse la Manche et on lui accole le mot "water" signifiant "eau". On obtient ainsi "placard à eau" par opposition à une pièce plus grande: la salle de bain autrefois sans baignoire.