L'inactivité physique est associée à un risque accru de mortalité prématurée et de développer ou d'aggraver des maladies chroniques telles que l'insuffisance cardiaque, les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2, l'hypertension, certains cancers et l'ostéoporose.
Un risque trop souvent méconnu : la sédentarité au travail nuit gravement à la santé La sédentarité au travail nuit à la santé : pathologies cardiovasculaires, diabète de type 2, cancers, obésité, troubles musculosquelettiques (TMS), effets sur la santé mentale.
Selon l'OMS, la sédentarité est en effet associée à plusieurs maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, le syndrome métabolique, le diabète de type 2 et le cancer. De plus, la sédentarité est associée à un risque de mortalité plus élevé (Stamatakis et al., 2019).
Le comportement sédentaire désigne les occupations auxquelles nous nous adonnons en position assise ou allongée et qui nous font dépenser très peu d'énergie, comme regarder la télévision, utiliser un ordinateur ou une tablette, se déplacer en autobus, en voiture ou en train.
L'inactivité physique est aussi associée à un risque accru de développer ou d'aggraver des maladies chroniques telles que l'insuffisance cardiaque, les maladies cardiovasculaires, l'accident vasculaire cérébral, le diabète de type 2, l'hypertension, certains cancers et l'ostéoporose.
L'inactivité physique et la sédentarité augmentent le risque d'avoir : Un diabète de 30 % Un AVC de 30 % Un infarctus du myocarde d'environ 25 %
L'inactivité physique, est la non-atteinte de ces recommandations. La sédentarité est définie comme une « situation d'éveil caractérisée par une dépense énergétique proche de la dépense énergétique de repos en position assise ou allongée ».
De plus, la sédentarité affaiblit les muscles et le cœur. Des muscles et un système cardiorespiratoire bien entraînés vont mieux résister à la fatigue. Le sport est également un moyen de lutter contre la fatigue nerveuse, en diminuant le stress et l'anxiété.
Cette sédentarité élevée augmente certains risques pour la santé tels que les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2, certains cancers, la dépression et l'anxiété.
Les conséquences de l'inactivité sur la santé ne sont pas que physiques. La sédentarité peut aussi entraîner la survenue de troubles du sommeil, de dépression ou d'anxiété. En effet, bouger permet de doper la sérotonine, les endorphines, l'adrénaline et la dopamine, dites « hormones du bonheur » anti-stress.
Plusieurs facteurs incluant l'âge avancé, le sexe masculin, l'obésité, la saison hivernale et de faibles niveaux d'exercice physique étaient associés à des comportements sédentaires prolongés.
de marcher quelques minutes et de s'étirer au bout de 2h d'affilée en position assise ou allongée et de faire quelques mouvements qui activent les muscles et mobilisent les articulations (rotation des épaules, du bassin, des chevilles, des poignets, des mains, de la tête).
Faire un peu de sport au saut du lit
Un bon réveil musculaire; est extrêmement bénéfique pour le corps et l'esprit . Il n'est pas forcément nécessaire d'en faire beaucoup, mais quelques étirements et exercices musculaires au saut du lit permettront à votre corps de s'échauffer et d'être prêt à affronter la journée.
Près de 500 millions de personnes auront développé des maladies cardiaques, de l'obésité, du diabète ou d'autres maladies liées à l'inactivité physique entre 2020 et 2030, selon l'Organisation mondiale de la santé.
Dr François Carré, médecin cardiologue précise « qu'être sédentaire, c'est rester assis au moins sept heures en moyenne » . En revanche, on parlera d'inactivité physique lorsqu'une personne pratiquera moins de 150 minutes d'activité physique modérée par semaine.
Au quotidien, le maintien ininterrompu de la position assise prolongée et le manque d'activité physique sont un facteur de développement des facteurs de risque cardiovasculaire, comme l'hypertension artérielle (+12 %)*, le diabète (+ de 12 à 35 %)* et l'élévation du cholestérol.
La sédentarité représente l'un des principaux facteurs de risque de mortalité liée aux maladies non transmissibles. Les personnes ayant une activité physique insuffisante ont un risque de décès majoré de 20 % à 30 % par rapport à celles qui sont suffisamment actives.
Elle correspond au temps passé assis ou allongé sans autre activité physique entre le lever et le coucher, ainsi que la position statique debout (1,3 MET). On peut donc être physiquement actif et sédentaire. La condition physique est la capacité générale à s'adapter et à répondre favorablement à̀ l'effort physique.
Passer moins de 8h par jour assis entre le lever et le coucher, en prenant en compte toutes les activités durant lesquelles nous sommes assis : repas, déplacements motorisés, travail à un bureau, temps devant un écran...
Comment passer de sédentaire à actif ? L'OMS recommande aux personnes sédentaires de commencer par une activité physique sur un court laps de temps, tous les jours, avant d'augmenter progressivement la durée, la fréquence et l'intensité. Essayez aussi de limiter le plus possible le temps passé assis.
Pour l'Observatoire national de l'activité physique et de la sédentarité (Onaps), on est sédentaire au-delà de sept heures passées assis ou allongé dans une journée.
Pour les sédentaires ou les seniors, la marche nordique, munie de bâtons, est un bon moyen de faire travailler le coeur et l'ensemble du corps : 80 % à 90 % des muscles du corps sont mis en mouvement du fait de la sollicitation des membres inférieurs et supérieurs.
Synonyme : casanier. Contraire : ambulant, errant, itinérant, mobile, nomade.
Un accéléromètre miniature fixé sur la cuisse, couplé à une estimation de la dépense énergétique, fait référence pour l'évaluation du comportement sédentaire.