La meilleure façon de ne pas vous soucier de ce que les autres pensent de vous est de construire votre propre opinion de ce que vous êtes. Faites des choses qui vous rendent fier de vous-même afin que, peu importe ce que l'on dit, vous sachiez que vous êtes une bonne personne, quelqu'un qui a de la valeur.
Commencez par poser un regard bienveillant sur vos faiblesses, petits défauts et échecs. Si vous vous jugez avec bienveillance, il vous sera alors plus difficile d'imaginer que les autres peuvent vous juger. Et vous n'aurez plus peur que les autres posent un regard sévère sur vous.
Comment déstabiliser quelqu'un ? En ne lui accordant pas d'importance à ce qu'il dit même si on est touché, ne pas croiser son regard, et surtout ne pas chercher à obtenir son consentement, car chaque être existe pour ce qu'il est et non pour les autres.
Un empathe est très sensible aux émotions des gens et à leur énergie. Cette sensibilité ressentie vaut autant pour les proches de l'empathe que de parfaits inconnus. Les empathes ressentent le monde qui les entoure et sentent ce que les autres éprouvent par leur sens très développés et leur intuition qu'ils utilisent.
La confiance en soi et l'estime de soi : une faible estime de soi ou un sentiment d'infériorité peuvent en effet rendre une personne plus sensible au regard des autres, car elle accorde plus de valeur aux regards externe qu'à son propre regard.
Peur de décevoir, peur d'être jugée, peur que l'on se moque de vous… Les raisons pour craindre le regard des autres sont multiples. Ces angoisses peuvent être aggravées par un contexte familial difficile, et faire resurgir un manque de confiance en soi qui remonte à l'enfance.
Lors d'un discours devant un public, nous perdons nos moyens. La mémoire nous fuit, les mots se dérobent, l'air nous manque. Nous avons l'impression que notre cerveau est anesthésié. Notre cœur s'emballe, nos mains tremblent.
Par pudeur, peur du regard extérieur et du jugement, les timides ou les personnes n'ayant pas confiance en elles vont avoir tendance à éviter de regarder dans les yeux. Ainsi, il peut y avoir une sensation d'infériorité ou de puissance vis à vis de la personne qui nous regarde.
insouciant adj. et n. Qui ne se soucie de rien.
La façon la plus saine de sortir de là, c'est de bâtir ton estime. Plus ton estime sera élevée, moins tu seras vulnérable au regard des autres, à leurs jugements. Tu n'aimeras toujours pas être jugée ou déplaire, mais ta valeur n'en dépendra plus. Tu pourras assumer de décevoir sans y perdre ta valeur.
"Si on veut obtenir quelque chose que l'on n'a jamais eu,il faut tenter quelque chose que l'on n'a jamais fait." "Il ne faut pas attendre d'être parfait pour commencer quelque chose de bien." “Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.” “N'aie pas peur d'avancer lentement.
outrecuidant, outrecuidante
1. Qui se croit supérieur aux autres : Personnage outrecuidant. 2. Qui est impertinent, désinvolte : Réponse outrecuidante.
Quand critiquer permet de s'adapter au monde
"Nous avons une capacité à porter un jugement sur notre propre pensée et celle des autres, c'est un fait de la psyché et de notre esprit humain". En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde.
Il semblerait donc que le regard des autres ait un impact sur la façon dont nous nous voyons et sur l'estime que nous avons de nous-même. Ainsi nous nous positionnons par rapport aux autres : si les personnes qui m'entourent sont des gens bien, je suis moi-même une bonne personne.
Vivre sans jugement veut dire ne plus accorder d'importance à des choses qui n'en ont pas. Car chaque jugement fortifie l'importance et la présence de cette chose. En jugeant intensément quelque chose, nous sommes assurés de voir cette chose intensément dans notre vie.
indifférent - Définitions, synonymes, prononciation, exemples | Dico en ligne Le Robert.
altruiste
et n. Qui se soucie du bien d'autrui d'une manière désintéressée.
NARCISSISTE : Définition de NARCISSISTE.
Certaines personnes utilisent l'ironie et la moquerie pour se créer un cercle relationnel basé sur la crainte, se donnant une image de force. Souvent cette attitude de « persécuteur » devient pathologique se traduisant par de la manipulation relationnelle.
L'envie, la jalousie, la colère ou la peur sont très souvent à l'origine de nos jugements critiques. Mais la critique peut aussi cacher des intentions positives : rappelons qu'un ennemi commun a toujours rassemblé. Pour affirmer notre appartenance à un groupe, il suffit de critiquer les gens d'autres groupes.