Pour huiler la corne, la clé est d'utiliser très peu d'huile. Aussi peu que possible pour juste rafraîchir son brillant, sans que l'huile pénètre dans la corne. Il vaut donc mieux imprégner très légèrement un chiffon avec l'huile, puis frotter le chiffon sur le manche pour le nourrir doucement.
On nettoie un objet en os ou en corne avec un linge imbibé d'eau ammoniaquée (1 cuillerée à soupe d'ammoniaque pour 1 litre d'eau). Rincez. Puis polissez le bibelot en corne ou en os avec un chiffon de laine imbibé de quelques gouttes d'huile d'amandes douces.
Quand on veut laver un objet en corne comme un bibelot ou un peigne, rien de plus facile pour lui redonner son aspect d'origine. Il faut mélanger une grosse cuillère d'ammoniaque à un litre d'eau tiède et imbiber une brosse à dents avec le produit. Frotter l'objet, rincer et laisser sécher.
Ensuite deux indices : si l'odeur se rapproche de celle du cochon grillé ou des poils brûlés et qu'il est impossible de l'enfoncer, alors vous êtes en présence d'une véritable matière en corne. Le second indice pour être certain d'avoir une vraie corne est aussi son poids et son aspect.
Pour éviter le dessèchement des surfaces de corne polies, et qu'en conséquence elles deviennent mates, vous pouvez soit les polir régulièrement avec une huile non résineuse (par ex. huile de camélia), soit avec de la cire, ou bien appliquer une fine couche de gomme-laque (DVD N° 713736).
Un couteau ne se lave pas, il s'essuie !
Couteau pliant ou non, une lame en acier inoxydable, en carbone ou Damas, ne doit jamais être lavée mais essuyée et graissée avec une goutte d'huile d'Olive sur un chiffon. Cela protégera la lame jusqu'à la prochaine utilisation.
Le citron : remplir un bocal de jus de citron pur, plonger la lame du couteau dedans et laisser agir quelques minutes. L'acide citrique va enlever la rouille et redonner toute sa brillance à la lame. Le vinaigre blanc : il convient de chauffer légèrement le vinaigre blanc pour optimiser encore plus son action.
L'huile de macadamia prend bien soin de votre manche et la légère odeur de citron rend le couteau agréable à manipuler.
L'examen détaillé de cette matière révèle qu'elle se présente comme une masse de filaments très durs qui ressemblent à des cheveux collés en faisceau. La corne se développe autour d'un centre spongieux. En l'évidant, on peut en faire un objet creux, par exemple une corne à poudre.
Avec le temps, l'ivoire à tendance à jaunir, notamment lorsqu'il est exposé au soleil. C'est pourquoi nous vous déconseillons une exposition prolongée au soleil. Faites tremper vos objets en ivoire dans du lait pendant quelques heures. Déposez-les ensuite sur une surface plane et laissez-les sécher à l'air libre.
Pour cela l'artisan plonge la corne pendant plusieurs heures dans un bain d'huile bouillante pour la ramollir. Quand elle est suffisamment molle, à l'aide d'une presse, il aplatit la corne qui forme alors deux plaques superposées qu'il découpe pour les détacher l'une de l'autre.
Conseils d'entretien pour les manches en corne.
Pour le préserver votre manche le plus longtemps : ne pas laisser le immerger dans l'eau, ou l'exposer à une forte chaleur (>50°C). Préférez un torchon humidifié pour nettoyer votre lame, plutôt que de la passer sous l'eau. Lave vaisselle proscrit évidemment !
Premièrement faire tremper le crâne et les os dans de l'eau oxygénée. Pour ce faire, il faut submerger le crâne dans un container rempli d'eau avec du peroxyde d'hydrogène. Pour environ 5 l d'eau, il faut mettre environ 300 à 450 ml. Laissez le crâne dans l'eau pendant au moins 24 h.
L'essence de térébenthine sera très utile sur enlever la rouille déjà bien incrustée de vos couteaux. L'utilisation est similaire à celle du vinaigre blanc. Il vous suffit d'imbiber un chiffon doux de cette essence et de frotter ensuite la lame avec. Vous retrouverez ensuite un couteau comme neuf !
S'il est essentiel de laver et de sécher votre couteau immédiatement après chaque utilisation, il existe un moyen facile de prévenir la rouille, c'est d'en enduire régulièrement la lame d'huile pour lame de couteau qui la protégera de l'humidité ambiante lorsque couteau est rangé.
Pour un polissage soigné de votre lame, vous pouvez fabriquer un polissoir traditionnel. C'est un disque de feutre ou de cuir sur lequel on colle des abrasifs. On utilise pour cela de la colle de poisson et de l'émeri. L'émeri est un abrasif qui est composé de grains de corindon qui a été réduit en poudre.
La pâte à polir de DMT permet de polir n'importe quelle lame de couteau qui obtient un tranchant lame de rasoir. La pâte à polir s'utilise lors de la dernière étape, une fois que le couteau est entièrement affûté.
Le bicarbonate de soude
Dans un récipient, mélangez deux cuillères de bicarbonate de soude et une cuillère d'eau. Ensuite, à l'aide d'une éponge imbibée, frottez l'objet en acier à faire briller. Faites des mouvements circulaires pour une meilleure efficacité. Pour finir, rincez à l'eau claire et essuyez directement.
Mettez un peu de vin sur votre serviette et passez la à plusieurs reprises sur chaque face de la lame. Le vin va nettoyer la lame et l'alcool va la désinfecter. Votre couteau pliant est ainsi propre et peut être rangé dans son étui ou dans votre poche.
le polissage doit être fait avec des abrasifs et frottes propres pour ne pas déposer de crasse dans les aspérités de la matière.
usez tout simplement de colles époxies (1 résine + 1 durcisseur, genre Araldite). ne laissez pas de bavures de colle, enlevez-les à l'alcool. laissez durcir à une température ambiante de 20°C si possible (pas en dessous de 15 / 16°C)
Debussy, précisant que les ivoires d'éléphants étaient "considérées comme un signe extérieur de richesse en Chine". Les prix ont atteint jusqu'à 925 euros/kilo, soit le même niveau record enregistré lors d'une vente le 8 mars par cette même maison de vente. Le lot le plus gros, de 73 kilos, s'est adjugé à 64.000 euros.