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Deux électrons proviennent de chaque atome ; au total, quatre électrons sont partagés. Dans une triple liaison covalente, deux atomes partagent trois paires d'électrons. Trois électrons proviennent de chaque atome ; au total, six électrons sont partagés.
La liaison covalente non polaire, La liaison covalente polaire, La liaison ionique, La liaison hydrogène.
Représenter les liaisons simples par un trait entre les deux atomes, les liaisons doubles par un double trait entre les deux atomes et les liaisons triples par un triple trait entre les deux atomes.
L'atome d'azote
Sa structure électronique est (K)2(L)5. L'atome d'azote possède donc 3 électrons célibataires et un doublet non liant. Pour respecter la règle de l'octet il doit compléter sa couche L en gagnant 3 électrons. L'atome d'azote peut établir 3 liaisons covalentes et possède un doublet non liant.
En fait, le phosphore est un de ces étranges atomes qui peut former plus de liaisons qu'il n'a d'électrons de valence non-appariés. Il peut exciter tous ses 5 électrons de valence en les déplaçant dans son orbitale d et ainsi former 5 liaisons covalentes.
Pour respecter la règle de l'octet, l'atome de soufre cherche à s'entourer de 8 électrons de valence. Il en possède 6. Il va donc établir 2 liaisons covalentes avec des atomes voisins.
En formule topologique, la liaison double est représentée par deux lignes parallèles (=) entre les deux atomes liés, et en typographie, on utilise simplement le signe égal. Liaisons doubles (en bleu) dans l'acétaldéhyde, l'acétone, l'acétate de méthyle, la 3-oxazoline (en), l'oxime d'acétone et le propylène.
Les deux types de liaisons les plus élémentaires sont les liaisons ionique ou covalente. Dans la liaison ionique, les atomes transfèrent des électrons les uns aux autres. Les liaisons ioniques requièrent au moins un donneur d'électrons et un accepteur d'électrons.
Exemple : l'atome d'oxygène
Pour compléter sa couche de valence il engage deux de ses six électrons dans deux liaisons covalentes, il reste donc 6-2 = 4 électrons qui se regroupent par deux pour former 4/2 = 2 doublets non liants.
Une liaison est la prononciation d'une consonne finale qui n'est pas prononcée lorsque le mot s'écrit seul. La liaison se fait lorsque le mot suivant commence par une voyelle ou un « h » muet. Les liaisons se font avec les consonnes : n, t, p, r, z, p et rarement g.
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.
Une liaison covalente est une liaison chimique dans laquelle deux atomes se partagent deux électrons (un électron chacun ou deux électrons venant du même atome) d'une de leurs couches externes afin de former un doublet d'électrons liant les deux atomes.
Liaison covalente dative
résulte de la mise en commun d'une paire d'électrons (covalente) entre 2 atomes d'électronégativité différente. L'atome le plus moins électronégatif donne une paire d'électrons (dative).
Une liaison covalente est une paire partagée d'électrons de valence. Elle se forme généralement entre des non-métaux. Une liaison ionique est une attraction électrostatique entre des ions de charge opposée. Elle se forme généralement entre des métaux et des non-métaux.
Liaison hydrogène (liaison faible) : un atome d'hydrogène portant une forte charge partielle positive est attiré par un autre atome très électronégatif. Elle se forme entre des molécules mais aussi entre différentes régions d'une même grosse molécule (par exemple une protéine).
Ces liaisons sont une manifestation d'interactions attractives entres atomes, dont l'origine est soit électrostatique (liaison ionique, liaison hydrogène), soit purement quantique (liaisons covalente et métallique, liaisons de type Van der Waals/London).
Ainsi, une liaison peut être directe ou indirecte, démontable ou indémontable, rigide ou élastique, complète ou partielle.
Règle du duet (applicable aux atomes de numéro atomique Z ≤ 4) : un atome ou un ion est stable si la couche externe (la couche K dans le cas présent) est remplie avec deux électrons.
La liaison polaire est un type de liaison covalente où les électrons de liaison sont distribués de manière inégale entre les atomes de liaison.
Le carbone a quatre électrons sur sa couche de valence (couche externe), il lui manque donc quatre électrons pour satisfaire à la règle de l'octet, il peut donc former quatre liaisons de covalence. On dit que le carbone est tétravalent.
Exercice2 : soufre
1) Cet atome contient 16 protons (car Z =16), 16 neutrons (car A - Z = 32 - 16 = 16) et autant d'électrons que de protons (c'est-à-dire 16) pour assurer l'électroneutralité de l'atome.
Ces liaisons sont rendues possibles par le fait que deux électrons de la couche 3 passent en couche 4. L'énergie totale de l'ion ou de la molécule est minimisée malgré le fait que ces deux électrons soient excités.
En chimie, un sulfure est un composé chimique où le soufre, avec un degré d'oxydation de −II, est combiné à un autre élément chimique ou un de ses radicaux. Certains composés covalents du soufre, tels le disulfure de carbone CS2 et le sulfure d'hydrogène H2S, sont également considérés comme des sulfures.