En réalité, les associés de SAS ne perçoivent pas réellement de rémunération fixe au même titre que les salariés. Ils peuvent percevoir des dividendes. Les dividendes correspondent à la répartition des bénéfices de la société entre ses associés. Ils récompensent l'apport des associés au capital de la société.
Pour une SARL, les dividendes versés sont considérés comme une rémunération lorsque leur montant pour un seul bénéficiaire dépasse 10% du total suivant : capital social + primes d'émission + sommes versées en compte courant.
Le retrait de l'associé doit être décidé à l'unanimité par l'assemblée générale des associés. Si les associés refusent la sortie, l'associé qui souhaite sortir doit saisir le juge pour demander son retrait. L'associé peut également vendre ses parts dans la société à un des associés ou à un tiers.
Un associé participe aux assemblées générales et vote les décisions stratégiques avec un nombre de voix proportionnel à ses parts sociales. Si l'entreprise distribue des dividendes, l'associé perçoit sa quote-part correspondante. Si une entreprise endettée est liquidée, le capital éponge les dettes.
Les entreprises peuvent rémunérer les actionnaires en versant un dividende ou en rachetant leurs propres actions. En effet, ces achats d'actions qui ont atteint un niveau élevé en 2021, tirent le cours de bourse à la hausse, ce qui augmente le prix des actions détenues par les actionnaires.
La seule rémunération versée par les sociétés au profit des actionnaires est le dividende. Le dividende est une part du bénéfice distribuable, et chaque actionnaire est rémunérée en fonction du nombre d'actions qu'il détient.
En principe la distinction entre associé et actionnaire s'opère selon le type de société. On parle d'associé dans les sociétés de personnes et d'actionnaire dans les sociétés de capitaux.
Quel est le meilleur statut pour 2 associés ? Premier choix possible : la SARL Sans doute le statut le plus répandu et le plus apprécié des couples, la SARL (société à responsabilité limitée) offre l'avantage, comme son nom l'indique, de limiter la responsabilité des associés au montant de leurs apports.
Les obligations pécuniaires
L'obligation de réaliser un apport ; L'obligation de se conformer aux statuts (entreprise soumise à l'impôt sur les sociétés ou au revenu, embauche d'un commissaire aux apports, etc.) ; La contribution aux pertes ; La participation au paiement des dettes ou de répondre au passif social.
Sauf disposition statutaire ou conventionnelle contraire, un associé peut demander à tout moment le remboursement du solde créditeur de son compte courant d'associé. Seul le titulaire du compte courant d'associé peut effectuer la demande de remboursement.
Malheureusement il est là encore impossible de forcer un associé à vendre ses parts, sauf si cela est prévu par les statuts ou un pacte d'associés. La meilleure solution consisterait à lui faire une offre de rachat, mais il se pourrait que les négociations sur le prix achoppent, surtout si la confiance ne règne plus…
En cas de litige entre les associés, il est vivement recommandé, en plus des statuts, d'avoir rédigé un pacte d'associés pour les SARL ou pacte d'actionnaires pour les SAS. Ce contrat entre les associés est généralement établi par un avocat d'affaires.
Un associé ne peut donc se retirer qu'en se faisant racheter ses parts, soit par ses coassociés, mais rien ne peut les obliger à les racheter, soit par un tiers, mais à condition dans ce cas que ce tiers soit agréé par les autres associés.
Vous êtes gérant associé minoritaire
Dans ce cas, soit le gérant perçoit une rémunération dans le cadre de son mandat social et dans les mêmes conditions que le gérant majoritaire, soit il fait l'objet d'un contrat de travail et sera donc salarié. Sa qualité d'associé lui confère un droit aux dividendes.
Pour calculer votre taux, il faut ajouter votre taux de charges sociales et votre taux de contribution à la formation professionnelle. Par exemple, pour un commerçant, il s'agit de 12,8%+0,1%=12,9%. Une fois votre taux trouvé, il s'applique de la même manière à chaque déclaration de chiffre d'affaires.
Vous pouvez réaliser le site web à titre non professionnel et être rémunéré en contrepartie de cette prestation. Vous n'avez pas besoin de créer une autoentreprise (ou une quelconque structure). Le jeune entrepreneur pourra passer votre rémunération en dépense d'investissement.
En principe, il est possible et légal de créer une société sans effectuer d'apport personnel. Cette faculté n'est ouverte qu'à certains statuts juridiques seulement (SAS/SASU, EURL/SARL, SNC, SCI, SCP, SCM, SELARL). Ainsi, elle permet aux associés fondateurs de constituer une structure au capital d'un euro (1 €).
Performances supérieures à l'actionnariat classique
Avoir des actions de son entreprise comporte de réels avantages : La possibilité de bénéficier de rabais ou d'un abondement de l'entreprise. Par définition, l'actionnariat salarié consiste à acheter des actions de son entreprise à bas prix.
Dans la mesure où le besoin en financement est d'une grande importance, il est recommandé d'opter pour la société anonyme (SAS) ou la société par actions simplifiée (SAS).
Traditionnellement, dans les projets à deux ou trois associés qui participent à l'activité de la société, le capital social est réparti à égalité (50/50 ou un tiers chacun). Cette répartition égalitaire peut toutefois être déséquilibrée en pratique lorsque l'on analyse le degré d'implication de chaque associé.
Lorsque l'on souhaite se mettre à son compte, il existe une alternative à l'entreprise individuelle et l'EIRL : Les sociétés unipersonnelles. L'entrepreneur a donc le choix, même s'il est seul pour exercer son activité, de créer une société. Deux formes de sociétés peuvent être unipersonnelles : L'EURL et la SASU.
On peut s'associer pour développer un concept, pour une complémentarité de personnes ou de savoir-faire. On peut aussi le faire pour limiter les risques, et pas que financiers. Et, même si on ne l'avouera jamais, on peut s'associer pour déléguer tout en gagnant de l'argent.
Pour être associé, il est primordial d'avoir la capacité juridique que vous soyez une personne morale (une entreprise) ou une personne physique (un particulier). Pour les particuliers, un majeur a la capacité juridique. Du coup, il lui suffit de faire son apport à la société pour acquérir la qualité d'associé.
Un bon associé est une personne ambitieuse, motivé, et SURTOUT qui partage vos valeurs pour éviter le risque d'être constamment en désaccord. Avoir quelqu'un à ses côtés qui regarde dans la même direction que vous est un partenaire de choix.