Pour éviter l'anxiété durant un voyage en avion, concentrez-vous sur une activité ou une idée. Surtout, évitez de penser à des scénarios catastrophes. Vous pouvez aussi partager vos angoisses avec une autre personne, car la verbalisation et le partage ont toujours un effet positif sur un esprit troublé.
La meilleure place en classe économique se situe à l'avant à condition de ne pas être trop près du “galley” (cuisine) et des toilettes. Si votre siège est situé près ou au-dessus des ailes, vous risquez de ne pas pouvoir profiter pleinement de la vue. Sauf si vous êtes installé côté fenêtre.
Nous ne vous conseillons pas les somnifères, mais quelque chose de plus léger. Il peut s'agir d'une tisane de valériane, de pilules à base de plantes ou éventuellement de la mélatonine. Il est possible de se procurer ce produit en France sans ordonnance en pharmacie (pilules de 1 mg maximum).
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Choisir sa place en fonction de sa peur en avion
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes.
Où sent-on le plus les turbulences ? Voici où les opinions divergent. Il y a ceux qui disent que c'est la partie avant de la machine qui est la plus vulnérable, d'autres assurent que c'est à l'arrière que l'on se sent le plus mal à l'aise.
Concernant les anxiolytiques, vous pouvez rendre visite à votre médecin traitant avant le vol afin de lui exposer votre problème. S'il juge cela opportun, il pourra vous prescrire des médicaments (de type alprazolam, Lexomil...).
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
L'hypnose.
Il existe des hypnothérapeutes spécialisés dans la phobie de l'avion, et en quelques séances il est possible de mettre le doigts sur cette peur qui nous oppresse. Attention, il faut être réceptif et croire en cette technique.
Les veines comprimées doivent pomper plus énergiquement pour faire refluer le sang des pieds vers le cœur. Le sang peut s'accumuler dans les jambes et les composants aqueux se diffuser dans les tissus en passant à travers la paroi veineuse. Résultat : les pieds et les jambes gonflent.
Bouger les jambes et porter une contention
Trois à quatre fois par heures, il faut faire des mouvements de contraction des mollets et des cuisses, lever les jambes. Plusieurs fois en cours de vol, lever vous et faites un ou deux aller-retour dans les allées.
Une étude de l'American College of Chest Physicians publiée le 7 février dans la revue Chest, montre que les passagers qui voyagent côté hublot lors d'un vol de plus de six heures, ont plus de risques de développer des caillots de sang dans les jambes selon le site 121doc.net.
Bouger souvent
Pendant un vol long courrier, il faut se mettre debout et faire quelques mouvements au moins toutes les deux heures, pour éviter la stagnation du sang dans les vaisseaux et la sensation de jambes lourdes. Lèves-toi, vas aux toilettes ou profites-en pour demander un verre d'eau aux hôtesses.
Le site http://www.meteovol.fr permet ainsi de voir la carte d'Europe et les turbulences prévues à différentes échéances et à chaque niveau de vol.
"L'A320 est certainement l'avion le plus sûr du monde", estime Gérard Feldzer. Gérard Feldzer, consultant aéronautique de BFMTV s'est exprimé à la suite du crash de l'Airbus A320, transportant 150 passagers, qui s'est écrasé dans le massif des Trois Evêchés, ce mardi.
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
L'erreur de pilotage est la cause principale de 57% des accidents mortels. Il peut s'agir par exemple d'un manque de carburant, d'une erreur de piste d'atterrissage, d'une descente prématurée.
Ca accélère (fort) et ça monte, mais c'est beaucoup moins violent que les manèges à sensations, car ça ne tournicote pas dans tous les sens. Si vous êtes stressé, n'hésitez pas et parlez-en à l'équipage en arrivant dans l'avion, les agents de bord sont formés pour ce genre de situation et vous rassureront.
La fatigue provoque des erreurs humaines
Le corps ayant normalement envie de dormir pendant les heures de noirceur, la fatigue se fait sentir pendant la plupart des vols de nuit. Elle diminue la rapidité de réaction, réduit la concentration et altère les aptitudes à la prise de décision.