Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.
Les parents peuvent être tenus responsables lorsque leur enfant mineur cause un dommage à une autre personne. Dans certaines situations, ils peuvent se dégager de cette responsabilité. L'enfant peut, lui aussi, être poursuivi devant les tribunaux.
– Les parents doivent être à l'écoute de leurs enfants, ils ont besoin d'être appuyés malgré la recherche d'indépendance. – Comme durant l'adolescence, l'enfant éprouve un changement essentiellement sur le plan aussi bien physique que psychique, les parents ont pour rôle de l'aider à bien supporter ce changement.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
Même si l'enfant est en apprentissage, le bon exemple de l'adulte le guidera certainement vers la bienveillance. Développer un regard humain positif, descriptif et non accusateur. Manifester de la douceur dans le toucher et dans le ton, communiquer de la confiance dans le contact physique et psychique.
Trop souvent, l'éducation bienveillante part dans un excès de laisser-faire, de laxisme, qui en fait n'est pas bon pour les enfants, qui souffrent de ne pas avoir de cadre. Car c'est important à rappeler : le cadre est sécurisant pour les enfants.
Tout d'abord, les père et mère ne sont responsables que des dommages causés par leurs enfants mineurs. Ils n'engagent donc pas leur responsabilité si leur enfant auteur du dommage est majeur, et cela même s'il continue à résider chez eux ou s'ils continuent à l'entretenir financièrement.
Il existe quatre principaux styles parentaux, selon les recherches en psychologie : les styles démocratique, autoritaire, permissif et désengagé. Il existe quatre principaux styles parentaux, selon les recherches en psychologie : les styles démocratique, autoritaire, permissif et désengagé.
Enseigner l'Évangile à notre femme et à nos enfants. Prier chaque jour en famille. Faire de notre foyer un endroit où l'Esprit du Seigneur peut demeurer avec nous. Payer la dîme et les offrandes au Seigneur.
Selon le dictionnaire Larousse, le géniteur est « le père physiologique » (par opposition au père légal). C'est la « personne qui engendre quelqu'un ». Selon ce même dictionnaire, le père est « l'homme qui a engendré ou qui a adopté un ou plusieurs enfants ».
Ecoutez ses besoins. Caressez-le, embrassez-le, faites-lui des câlins, aidez-le et faites tout pour extérioriser ce que vous avez en vous. Jouez, lisez, chantez et créez avec lui au moins une fois par jour. Donner de l'amour à un enfant implique de lui faire savoir que vous aimez passer du temps avec lui.
Les conflits répétés et excessifs des parents augmentent de façon importante leur stress et provoquent chez eux des réactions diverses : problèmes de sommeil ou d'alimentation, nervosité importante, pleurs plus fréquents, agressivité, retrait social, problèmes de comportement, difficultés à apprendre.
L'enfant a besoin d'apprendre à penser positivement
L'encourager, c'est déjà contribuer à son épanouissement. Il faut néanmoins éviter les fausses pensées positives. Autrement dit, si vous lui prétendez qu'il est et sera toujours le meilleur quoi qu'il fasse, vous l'exposez à des désillusions futures.
Nous avons des émotions bloquées et les voir chez nos enfants nous exaspère/frustre. Nous nous interdisons d'exprimer nos émotions et ne supportons donc pas celles de nos enfants. Nous ressentons une émotion à la place d'une autre : la colère se déclenche pour cacher une ancienne tristesse par exemple.
La logorrhée n'est pas une maladie mais un symptôme. Isolée elle n'est pas pathologique mais reflète souvent un émoussement émotionnel ou un trait de personnalité.
La flagellation, un châtiment corporel qui perdure dans certains pays ; ici en Iran, en 2016.