Réduire ses temps de parole. Parlez lorsque cela est important. Avant de parler, demandez-vous si ce que vous voulez dire est vraiment important. Vous devriez éviter de parler si vous n'allez pas vraiment contribuer à la conversation X Source de recherche .
Garder le silence pendant une conversation. Réfléchissez avant de parler. Les personnes très bavardes n'en sont pas capables. Ainsi, la prochaine fois que vous mourrez d'envie de dire quelque chose, faites une pause, attendez une minute et demandez-vous si ce que vous allez dire sera bien utile.
Évitez les situations où vous pourriez vous voir.
Dites à un ami proche que vous n'allez pas vous y rendre. Dites-lui honnêtement pourquoi et ne le faites pas méchamment. Si vous êtes quelque part et si vous voyez quelqu'un à qui vous ne voulez pas parler, essayez de vous déplacer autre part.
La logorrhée peut être un symptôme d'une affection psychiatrique : bouffée délirante aiguë, état maniaque d'un trouble bipolaire, schizophrénie, trouble anxieux, ou hyperactivité par exemple. Dans ce cas elle est souvent associée à une tachypsychie, c'est-à-dire une accélération du cours de la pensée.
Posez des questions inquisitrices. Vous ne pouvez pas parler de vous-même si vous posez des questions bien pensées. Cela exigera donc que l'autre personne soit le point focal. Cela amène l'idée de « voir ce que vous pouvez en apprendre et non dire » à un tout autre niveau X Source de recherche .
"Tous ceux qui coupent la parole aux autres de façon systématique, agissant tels des envahisseurs, ont un déficit dans la capacité à s'intéresser à autrui, à penser qu'ils peuvent apprendre quelque chose de l'autre ou à être curieux de ce qui se passe dans la tête de l'autre.
Garder le silence en revient à s'isoler intérieurement, prendre le temps de la réflexion, et permettre à l'autre soit d'en faire de même soit de s'inquiéter de ce sur quoi vous êtes en train de réfléchir. Il ne doit donc pas accéder à votre ressenti. Ni dans vos expressions, ni dans vos réactions.
- Pour soi - parce que le silence est vital pour notre cerveau : la recherche montre que 2 heures de silence par jour régénèrent les cellules de l'hippocampe - responsable de l'apprentissage et des émotions. Et 2 minutes de silence complet suffisent déjà pour libérer le stress.
La plus grande des sagesses est de savoir se taire quand on n'a rien à dire.
Télé-Accueil est gratuit, accessible 24 heures sur 24 via le numéro 107. Quand vous composez le 107, vous êtes accueilli et écouté par une personne qui vous propose un espace de paroles et vous accompagne le temps de l'appel.
Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut. Et enchaînez tout de suite en lui disant : « Écoute, Paul, tu me parles de…, mais moi, ce dont je veux te parler, c'est… »
Ces monologues sont une carapace pour se protéger de l'autre, du monde, mais également de son monde intérieur : « Certains parlent pour éviter de penser, d'entendre ce qu'il y a de plus profond en eux », souligne Pierre Lévy-Soussan. Leurs angoisses, leurs fantasmes, leurs rêves, leurs pulsions…
Au lieu de lui poser une question ouverte (comme « comment as-tu appris cela ? »), faites une simple remarque (« on ne peut pas croire tout ce que l'on entend »). Une telle affirmation viendra mettre fin à l'échange et vous pourrez aborder un autre sujet ou amener la conversation à sa fin.
Cependant, ce n'est pas la seule raison qui peut conduire une personne à nous couper la parole. Pour certaines, il y a un besoin de garder la parole et donc d'avoir le contrôle. Pour d'autres, cela peut être une passion exacerbée pour le sujet. Cela peut être aussi un manque de savoir sur l'art de la conversation...
Posez des questions.
Laissez votre partenaire changer lui-même de sujet. Écoutez attentivement ce qu'il dit et posez des questions qui peuvent orienter la conversation dans un autre sens. Posez des questions ouvertes, c'est-à-dire des questions pour lesquelles la réponse ne peut être que « oui » ou « non ».
Trouve des distractions. Lorsque quelqu'un parle dans ton dos, il peut être difficile de te concentrer à l'école ou bien sur ton lieu de travail. Oriente ton énergie vers des activités positives pour te distraire au lieu de te concentrer sur la négativité générée par les commentaires.
Éloignez-vous de la personne.
Parfois, l'évitement est le moyen le plus simple pour ignorer une personne. Si celle-ci vous énerve, faites l'effort de vous éloigner d'elle autant que vous pouvez X Source de recherche . Vous pouvez éviter les endroits que la personne a tendance à fréquenter.
Pensez donc à remplacer le réflexe du “Moi, je” par une question ouverte pour inciter votre interlocuteur à développer, à approfondir sa pensée. Voici un exemple tout simple, reprenant le précédent exemple : – Alors, où étais-tu ? – J'étais au Brésil, à Rio de Janeiro !
Le stress d'avoir à parler, d'avoir à dire quelque chose d'intéressant. Le stress de ne pas parler, et que les autres pensent que nous n'avons rien à dire. Le stress de n'avoir pas parlé, et de se rendre compte après la situation de tout ce qu'on aurait pu dire. C'est ce stress qui nous bloque.
Apprendre à faire des critiques constructives. Attendez un peu avant de parler. Essayez de ne pas présenter votre critique juste après que la personne ait terminé de faire quelque chose. Si possible, félicitez-la dans un premier temps, puis faites-lui part de vos critiques un peu plus tard.