personnes ayant souffert récemment de troubles psychiatriques ; personnes souffrant de drépanocytose (selon avis du médein traitant) ; personnes ayant pratiqué la plongée sous-marine dans les 24 heures précédant le décollage ou ayant été victime d'un accident de décompression.
Des émissions qui explosent
L'aérien représente 3,4 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. À titre de comparaison, l'avion émet 285 grammes de CO2 par kilomètre, la voiture 158, le train 14. Le nombre de passagers transportés est également en forte augmentation depuis plusieurs années.
L'hypnose.
Il existe des hypnothérapeutes spécialisés dans la phobie de l'avion, et en quelques séances il est possible de mettre le doigts sur cette peur qui nous oppresse. Attention, il faut être réceptif et croire en cette technique.
Le cerveau va associer l'avion à un danger de mort. C'est pour cette raison que les personnes phobiques ne parviennent pas à se rassurer. Une fois dans l'avion, leur corps va envoyer des signaux. Dans cette situation perçue comme dangereuse, le cerveau émotionnel envoie une alerte.
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.
L'avion est 300 fois plus sûr que la voiture
Et si on veut continuer dans les statistiques, un humain a plus de risques de mourir noyé ou d'être frappé par la foudre, que de perdre la vie dans un accident d'avion.
Une chance sur 10 Milliard de mourir en avion
Vos chances de mourir en avion sont extrêmement faibles. Pour 10 milliards de passagers qui effectuent 1km en avion chaque année, on enregistre un mort. Soit chaque année une chance sur 10 milliard de mourir à chaque kilomètre parcouru en avion. C'est peu non ?
N'ayez pas peur des turbulences
Si cela peut s'avérer très désagréable, ce n'est en fait pas dangereux. La turbulence n'est rien de plus que le mouvement de votre avion sur les vagues d'air. Cela se produit principalement au décollage et à l'atterrissage ; la différence de température est à l'origine de la turbulence.
Le nombre de passagers qui empruntent le transport aérien est de 4 milliards par an (2017), soit l'équivalent de 127 passagers par seconde qui montent dans un avion (compteur).
Au final, 2 % des rejets mondiaux de CO2 sont émis par les avions de ligne ! Mais les avions rejettent également d'autres gaz comme l'oxyde d'azote (NOx), le monoxyde de carbone (CO), les hydrocarbures (HC), le dioxyde de soufre (SO2) et les particules en suspension PM10 et PM2,5.
Les cadres d'abord (24% d'entre eux prennent l'avion plusieurs fois par an), les dirigeants d'entreprise (17%), les catégories aisées (28%), les diplômés du supérieur (20%) et les habitants de l'agglomération parisienne (17%).
Le décollage et l'atterrissage sont largement considérés comme les moments les plus dangereux d'un vol.
Pour atténuer ces symptômes, essayez d'obtenir une place au milieu de l'avion, là où les mouvements sont moins perceptibles. Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool.
Le risque de phlébite en avion
En effet certains facteurs lié à l'avion accroissent le risque de phlébite : L'immobilisation prolongée : le passager reste assis plusieurs heures (d'où le nom de "syndrome de la classe économique"), ce qui ralentit la circulation veineuse dans les jambes.
Malgré la récupération des deux boîtes noires, le mystère demeure sur la cause de l'accident du Boeing 737-800 du vol MU5735 de China Eastern, qui s'est écrasé le 21 mars dernier dans l'est de la Chine, tuant les 132 personnes à bord. Voici ce que l'on sait, un mois après.
En supposant que le temps de vol moyen d'un avion entre deux points est de 5 heures, la probabilité d'être victime d'un accident lors d'un vol est, en moyenne, de 1 sur 2 millions à chaque fois que l'on prend l'avion.
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
"L'A320 est certainement l'avion le plus sûr du monde", estime Gérard Feldzer. Gérard Feldzer, consultant aéronautique de BFMTV s'est exprimé à la suite du crash de l'Airbus A320, transportant 150 passagers, qui s'est écrasé dans le massif des Trois Evêchés, ce mardi.
Des accidents rares
Le fait que l'appareil soit un Boeing est un coup dur pour le constructeur américain, empêtré depuis des années dans des problèmes de sécurité sur ces avions. Pourtant, le B777 fait statistiquement partie des plus sûrs.
Tant que l'avion a de la vitesse, l'air s'écoule au dessus et en dessous de son aile et il est capable de voler. Si les moteurs ne fonctionnent pas, on ne peut pas maintenir sa vitesse en gardant son altitude et on se met donc en descente.
En cas de turbulences, on choisit les ailes
"Pour la simple et bonne raison que c'est le centre de gravité de l'avion et donc la partie la plus stable", avance Joachim Coursimault. En revanche, évitez l'arrière de l'appareil qui risque de rapidement bouger en cas de trous d'air, surtout si vous avez le mal de l'air.
La turbulence, c'est un mouvement, un remous de l'air. Lorsqu'elle se produit à de très hautes altitudes, elle est souvent due à un phénomène météorologique qui créé des différentiels de pression. Le flux de l'air est modifié et l'avion, qui suit ce dernier, peut, dès lors, connaître quelques perturbations.
Locution nominale. (Aéronautique) Perte de portance due à une perturbation atmosphérique. (Figuré) Trou, manque ou irrégularité dans une série d'événements.