Fréquents aussi bien chez l'homme que chez la femme, les cancers colorectaux sont en partie évitables car des facteurs de risque modifiables ont été identifiés : l'alcool, le surpoids, l'obésité, le tabac, l'alimentation, la sédentarité.
Cancer du côlon et du rectum
Consommez peu (max. 500 g par semaine) de viande rouge comme le bœuf, le porc et l'agneau. Evitez autant que possible la viande transformée (charcuterie, pâté, salami, saucisse, haché préparé...). Limitez votre consommation d'alcool à maximum 1 verre par jour.
La douche rectale : "se fait à la maison, a l'aide d'un bock ou poche à lavement qui consiste en l'introduction de 1 à 3 litres d'eau dans le côlon via une canule anale. Après 5-15 minutes, on va à la selle pour se vider par un effet mécanique" explique le naturopathe.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
Jus de carotte.
C'est un concentré de caroténoïdes, au-delà de la prévention du cancer, ils sont particulièrement utiles pour la rétine et la peau. La carotte possède aussi l'avantage de donner un bon goût aux jus et constitue ainsi sa base.
Les aliments à privilégier
Avoine, seigle, orge, riz, millet et quinoa. Pomme, banane, pêche et nectarine, fruits rouges, pamplemousse. Légumes cuits, betterave, épinard, poivron, céleri, laitue, pomme de terre et patate douce, haricots verts, carotte, courge, courgette.
Les baies : framboises, myrtilles, mûres, groseilles, goji, açaï, canneberge etc … Ces petits fruits colorés brillent par leur teneur en polyphénols antioxydants, essentiels dans la prévention du cancer.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Méthode de dépistage
Le dépistage se fait à l'aide du test immunochimique de recherche de sang occulte dans les selles (RSOSi). Ce test ne permet pas de savoir si vous avez ou non un cancer colorectal, mais il permet de détecter la présence de sang dans les selles, qui peut être un signe d'un cancer.
Détecté à temps, lorsqu'il est encore limité à la surface interne du côlon et du rectum, ce cancer se guérit dans 90% des cas, selon l'INCa. Mais les chances de survie tombent à 70% lorsqu'il a atteint les ganglions proches et à 13% quand il touche déjà d'autres organes.
C'est donc officiel, le sucre est l'ennemi numéro 1.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Cela passe d'abord par le fait de ne pas fumer, de boire le moins d'alcool possible, de vivre si possible loin des zones polluées, de faire de l'activité physique ou bien encore d'éviter le stress dont de nombreuses études ont démontré son incidence sur le développement de cancer.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
Le cancer se manifeste de manière très variable. Il évolue généralement sur de nombreuses années, souvent sans occasionner de symptômes.
Le thé vert, les graines de lin et les graines de chia
C'est une boisson favorable au nettoyage du côlon, et à l'élimination des toxines du corps. À l'œuvre : ses vertus diurétiques. On fait bien de le composer avec de la menthe, quelques feuilles de séné ou encore des graines de lin.
Le citron favorise une bonne digestion
Son acide citrique stimule les sucs gastriques, ce qui permet une meilleure digestion, sans nausée ni ballonnement. Il fournit aussi 2 g de fibres aux 100 g, qui facilitent en douceur le transit intestinal.