Allongeons l'enfant, bordons-le et embrassons-le en lui souhaitant bonne nuit de façon à la fois aimante et ferme, pour qu'il comprenne que l'on est sérieuse. Quittons la chambre et laissons-le pleurer pendant une minute. Retournons ensuite dans la chambre, rassurons-le et calmons-le jusqu'à ce qu'il s'apaise.
essayez de comprendre le rythme de votre bébé : il est primordial de repérer le moment où il est fatigué et où il faut le coucher pour ne pas louper le coche. S'il pleure, c'est peut-être aussi tout simplement parce qu'il n'a pas sommeil.
Le contact que vous offrez à votre enfant lui permet d'évacuer plus rapidement ses frustrations. Placez-le sur un avant-bras avant de le promener dans la maison. Une ambiance calme et une faible luminosité sont à privilégier pour que bébé retrouve son calme.
Cependant les pleurs du soir semblent physiologiques et ne sont en rien liés à la peur de la nuit. Ils s'atténuent ou disparaissent vers 3 à 4 mois.
Enfin, il existe un autre type de pleurs, les pleurs du soir ou pleurs de décharge qui commencent vers la fin du premier mois, atteignent souvent leur maximum vers un mois et demi et s'atténuent le plus souvent progressivement à la fin du premier trimestre.
Certains bébés ont plus besoin d'être « contenus », pris dans les bras que d'autres. Ils peuvent manifester une angoisse en pleurant, notamment au moment du coucher, lorsque leur mère les dépose dans le lit. Normalement, cette nature s'exprime très rapidement, dès les premiers jours de vie.
Un bébé doit se sentir en sécurité. Il peut donc avoir besoin de la présence d'un de ses parents pour pouvoir s'endormir. Parfois, un bébé âgé de 1 mois ne veut pas dormir dans son lit. C'est ce qu'on appelle l'« association sommeil-dépendance » : votre enfant ne peut s'endormir que lorsqu'il se sent en sécurité.
Méthode 1 : rester dans la chambre de l'enfant qui ne veut pas dormir. Asseyons-nous près de l'enfant et posons notre main sur lui. Ne le caressons pas, ne parlons pas, mais répétons calmement « chut ». Attendons-nous à ce qu'il pleure pendant près de 20 minutes.
Installez une veilleuse afin de le rassurer.
Mieux vaut lui laisser le choix de l'utiliser ou non. Vous pouvez aussi laisser une lampe de poche dans sa chambre qu'il peut allumer au besoin pour se rassurer. Parlez-lui de vos propres peurs, quand vous étiez enfant et de vos trucs, si vous en aviez, pour les éloigner.
Mettez à sa disposition des objets qu'il peut utiliser quand il a peur, comme une petite veilleuse, une lampe de poche qu'il peut garder dans son lit ou encore un toutou rassurant. Apprenez-lui à respirer profondément quand il commence à avoir peur. Ne proposez pas à votre enfant de chasser le monstre de sa chambre.
Poser un doudou léger sur les yeux (sans boucher le nez !) peut aider. Très tôt, il est important que les enfants s'habituent à dormir dans le noir ou dans une chambre très peu éclairée.
Les pleurs de décharge sont des pleurs intenses, difficiles à calmer, qui surviennent plutôt le soir, généralement autour de 18 heures. Ces pleurs apparaissent entre la naissance jusqu'à l'âge de 3 ou 4 mois environ, avec un pic généralement compris autour de 6 à 8 semaines.
Les troubles du sommeil de votre enfant peuvent aussi être la manifestation d'une incompréhension, d'une inquiétude de votre bébé qui ressent des difficultés relationnelles dans votre couple, dans votre famille. Rassurez-le, apaisez le pour éloigner ses angoisses.
Quand faut-il intervenir ? Dans les premiers mois de la vie, les pleurs d'un enfant doivent être soulagés le plus rapidement possible, car ils témoignent généralement d'un état d'insécurité émotionnelle. À cet âge-là, les enfants n'utilisent pas les pleurs comme un moyen de pression sur leurs parents.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
Des problèmes de sommeil – par exemple un bébé qui se réveille dès qu'on le pose et en pleurant – peuvent cacher un problème de digestion : cela peut être le signe qu'il souffre de reflux. Aussi, pensez à bien lui faire faire le rot, surtout si vous lui donnez un biberon.
D'après une étude du département de psychologie de l'université de Notre-Dame aux États-Unis, laisser un bébé pleurer sans chercher à le consoler aurait des conséquences négatives pour sa santé et pourrait entraîner des problèmes d'anxiété à l'âge adulte.
Pour faire diminuer le stress de votre enfant, vous pouvez lui proposer des activités calmes, comme le yoga ou la méditation, par exemple. De plus, la plupart des enfants auront besoin de dépenser leur énergie pour évacuer une partie de leur stress et se sentir mieux.
les pleurs de faim souvent impérieux vous rappellent à l'ordre. les pleurs de fatigue ressemblent plus à des gémissements. Votre petit se tortille et se frotte les yeux. les pleurs de souffrance physique sont souvent très aigus et peuvent survenir brusquement, par exemple les coliques.
Les pleurs de décharge et le besoin d'être rassuré augmentent progressivement vers 2-3 semaines et sont les plus intenses aux alentours des 6 semaines du bébé. Ils s'atténuent en général à partir des 3 mois.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
C'est en général une phase qui ne dure pas si les parents ne sont pas trop complaisants, mais qui en même temps que de la fermeté réclame un peu de compréhension et de tendresse. Il vous faut d'une part le rassurer, et en même temps ne pas le laisser envahir votre soirée et votre nuit.
En effet j'explique bien souvent que les bébés de 3 mois doivent encore passer beaucoup de temps dans les bras et doivent souvent, très souvent, être bercés pour s'endormir. Ils sont encore si petits… Vous avez énormément de chance si, à 3 mois, votre petite fille fait déjà ses nuits.