Un cancer est hormonodépendant ou hormonosensible lorsque des hormones jouent un rôle dans la prolifération des cellules cancéreuses. Les principaux cancers hormonodépendants sont les cancers du sein et de la prostate, qui sont sensibles aux hormones sexuelles.
Une démarche de prévention doit donc être organisée et suivie, avec une hiérarchisation et une planification dans le temps des actions à conduire, et avec une évaluation régulière de l'efficacité de ces actions. Une promotion des actions de prévention est également à prévoir.
Médicaments hormonaux. Les 2 types d'hormonothérapie les plus souvent administrés pour traiter le cancer du sein sont les anti-estrogènes et les inhibiteurs de l'aromatase. Si le cancer du sein cesse de réagir à un type de médicament, votre médecin peut en essayer un autre.
L'arrêt de l'hormonothérapie après la première année augmentent le risque de rechute du cancer du sein chez les femmes jeunes.
La probabilité pour un individu d'avoir un cancer au cours de sa vie est actuellement évaluée, sur la base de l'incidence 1988-1992, à 46,9 % pour les hommes (soit près d'un homme sur 2), et 36,6 % pour les femmes (soit plus d'une femme sur 3) (Ménégoz et Chérié-Challine, 1998).
Plus longtemps une femme allaite, plus elle est protégée contre le cancer du sein. Contre le cancer, les experts conseillent de pratiquer l'allaitement pendant au moins 1 an après chaque naissance. Pour chaque période de 12 mois où vous allaitez, vous diminuez votre risque d'environ 4 %.
La sédentarité, L'absence d'activité physique, le surpoids et l'obésité Tous ces facteurs sont associés à une augmentation du risque de développer certains cancers.
Comment savoir si ma tumeur est hormonosensible ? Un examen dit anatomopathologique est nécessaire. Un fragment de la tumeur est prélevé lors d'une intervention chirurgicale appelée biopsie, puis étudié au microscope afin d'évaluer la présence de récepteurs à hormone.
C'est donc officiel, le sucre est l'ennemi numéro 1.
Un seul carré de chocolat noir contient deux fois plus de polyphénols qu'un verre de vin rouge et autant qu'une tasse de thé vert. En cela, il contribue à freiner le développement des cellules cancéreuses et à lutter contre le stress oxydatif.
Voilà une information qui semble peu probable. Pourtant, des chercheurs ont mis en évidence que les amidons résistants, contenus entre autres dans les bananes, préviennent bien certains cancers.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
La vérité Les cellules du corps humain brûlent des sucres pour se développer et se multiplier, mais le fait de manger des aliments sucrés ne fait pas croître les cellules cancéreuses plus rapidement. C'est le sucre (glucose) qui fournit l'énergie nécessaire à chacune des cellules de l'organisme.
Nous conseillons aux personnes malades du cancer ou qui sont passées par la maladie de ne boire quotidiennement de l'eau du robinet que si elles sont sûres de sa qualité, et sinon de s'équiper d'un filtre de qualité ou de boire de l'eau en bouteille.
La prise d'un traitement hormonal substitutif à la ménopause accroît légèrement les risques de thrombose veineuse. Il s'agit de la formation d'un caillot dans une veine, provoquant une phlébite ou une embolie pulmonaire. Une thrombose artérielle (formation d'un caillot dans une artère) est également possible.
Si on a des troubles type bouffées de chaleur, insomnies, sécheresse vaginale rebelles aux traitements non hormonaux : c'est le traitement hormonal qui est le plus efficace.
Modalités de l'arrêt du traitement
Si apparition de symptômes gênants : reprendre le dosage initial. En l'absence d'apparition de symptômes gênants : arrêter le traitement le mois suivant.