Trouver les raisons de la colère représente la première chose à faire pour trouver une solution. Pense à dire à quelqu'un en qui tu as confiance comment tu te sens. Le simple fait de parler à quelqu'un peut contribuer à atténuer les sentiments intenses et aider les autres à comprendre ta situation.
Pour exprimer sa colère de façon positive et constructive, il est préférable de mettre des mots sur ce que l'on ressent pour ne pas accumuler la frustration et les angoisses : "je ne suis pas d'accord", "je suis surpris", "je suis interpellé" ; prendre le temps de réfléchir, quitte à sortir de la pièce par exemple ou ...
Dire "je suis en colère", c'est comme accuser réception du message qui nous est donné. Ce qui compte ensuite, c'est de savoir ce qu'on va en faire. Si vous êtes dans un cadre professionnel, il faudra mesurer vos mots pour éviter tout emportement préjudiciable.
Respirer et écouter son ressenti corporel en se connectant aux sensations corporelles ; 3. Puis, si nécessaire, écouter les jugements sur l'autre car ils sont la cause de la colère et expriment de façon maladroite nos besoins non satisfaits (“il est pénible”, “elle se plaint tout le temps”, “il est malhonnête”…).
Fermez les yeux et imaginez que se tient devant vous la personne concernée par cette colère. Autorisez-vous à verbaliser à haute voix de préférence, ce que vous aimeriez vraiment leur dire. Permettez-vous de laisser sortir les mots tels qu'ils résonnent au plus profond de vous.
Donc voici un premier conseil pour extérioriser sa colère sainement. Lorsque vous sentez votre énervement augmenter, appuyez sur le bouton-stop en vous éloignant de la cause de cette émotion. Asseyez-vous et notez votre irritation sans jugement. Observez vos sensations.
Première étape : repérer ces signes et se rendre compte qu'on ne va pas bien. Sans ça, on ne peut pas résoudre le problème. Deuxième étape : si l'on y arrive : identifier la ou les causes du mal-être. Ça permet d'expliquer aux autres ce qui ne va pas et voir sur quoi il faut agir pour améliorer la situation.
Réagir quand la colère n'est pas dirigée contre soi
Ne mettez pas d'huile sur le feu, ne lui dites pas non plus de but en blanc de se calmer, laissez-le exprimer son ressenti. Etre compréhensive, le dire, parler d'une voix calme aidera à l'apaisement. Laissez votre proche exploser tant que ce n'est pas contre vous.
Pour la colère, les premiers traits en mouvement sont les sourcils et la lèvre supérieure. Les traits secondaires sont utilisés pour renforcer le point focal. Observez le mouvement de l'expression avant de dessiner les traits.
Un dialogue rapide dans lequel les personnages se répondent du tac au tac ou bien même se coupent la parole les uns les autres peut être un procédé propice pour jouer la colère, de même qu'un monologue ou un soliloque dont le rythme serait ascendant ou syncopé..
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Pour exprimer ses sentiments :
Éviter des mots vagues comme « je me sens mal » ou « je me sens bien » Il est mieux d'éviter des termes qui expriment plus notre interprétation des actes d'autrui que nos sentiments comme par exemple, agressé, négligé, persécuté, trahi, utilisé, manipulé etc…
La tension musculaire, l'augmentation du rythme cardiaque et de la respiration, la migraine, la fatigue, l'emploi d'un ton agressif, les gestes impulsifs sont des signes qui vous permettent de reconnaître la colère. Vous pouvez porter attention au moment où la colère fait son apparition, à sa durée et à son intensité.
Reconnaissez d'abord que vous êtes responsable de vos émotions et de vos jugements. Dites par exemple : « Je suis frustré de devoir attendre ici parce que le travail qu'il me reste à faire me cause du stress » plutôt que « Quel manque de savoir-vivre de me faire attendre comme ça ».
J'ai apprécié J'ai été sensible J'ai ressenti J'ai compris J'ai été intéressé J'ai été surpris Je me suis sentis mal à l'aise J'ai été troublé j'ai été captivé J'ai découvert J'ai appris …
“L'homme en colère peut n'être pas irascible : l'homme irascible peut quelquefois n'être pas en colère.” “Lorsque donc quelqu'un te met en colère, sache que c'est ton jugement qui te met en colère. ” “Quand vous êtes en colère, comptez jusqu'à quatre. Quand vous êtes très en colère, jurez.”
Forcez-vous à parler moins fort. Cela calmera comme par magie votre agressivité, ainsi que celle de votre interlocuteur, qui s'ajustera à votre volume sonore, sans même y penser. Mettez-vous au sport ! Mais choisissez une activité qui vous permette vraiment de vous défouler : boxe, art martial, tennis, course à pied...
La colère est utile. Elle prévient l'autre que nous jugeons très insuffisants l'attention et/ou le respect qu'il a manifestés à notre égard ou vis-à-vis des nôtres. Des pensées hostiles surviennent à l'encontre de cette personne et déclenchent notre rage. Notre courroux prépare alors notre corps au combat.
« Merci de me l'avoir dit, grâce à toi je vais pouvoir m'améliorer » un remerciement, même s'il n'est pas sincère, va déstabiliser la personne qui essaie de vous intimider, et la laisser dubitative. Celle-ci ne comprendra pas pourquoi vous réagissez aussi bien à sa critique, et n'essaiera plus de recommencer.
Pardonner revient à dire à la personne qui vous a fait du mal : « Je crois que vous valez mieux que le mal que vous m'avez fait ». C'est la position à laquelle il nous faudrait aspirer, celle de confiance en l'humain. Elle apporte une grande paix et un abaissement important du niveau de tension intérieure.
Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.