Agréable, amer, bon, dégoûtant, délicat, délicieux, désagréable, doux, épicé, excellent, exquis, fade, fort, mauvais, pimenté, piquant, relevé, répugnant, salé, sucré, etc. Acidulé : légèrement acide. Aigre-doux : qui donne une sensation à la fois piquante et douce. Douceâtre : qui est doux et sans goût.
Les adjectifs: âcre, agréable, agressif, aigre, amer, aromatique, capiteux, chaud, délicat, délicieux, désagréable, doux, divine, écœurant, enivrant, exquise, fade, fauve, fétide, fin, fort, frais, fugace, infect, léger, méphitique, mauvais, musqué, nauséabond, odoriférant, pestilentiel(le), piquant, pisseuse, poivrée, ...
Lorsque l'on est confronté à un phénomène extérieur comme la chaleur, le froid, le bruit, la lumière ou encore les odeurs, on éprouve des sensations. La sensation met en jeu un ou plusieurs des cinq sens : le goût, le toucher, l'ouïe, l'odorat et la vue.
– Attouchement : action de toucher avec la main, d'une manière légère et délicate. – Effleurement : caresse très légère, frôlement. – Palpation : méthode d'examen utilisant les mains et les doigts pour sentir les différentes régions du corps.
La vue est sans aucun doute le sens le plus développé chez l'être humain. La vision nous permet de distinguer des détails, de voir les couleurs et le relief et de suivre du regard un objet en mouvement. De tous les sens, la vue est celui qui nous donne le plus d'informations.
Le nerf optique aboutit dans le cerveau au « corps genouillé latéral » qui relaie la perception jusqu'au cortex visuel primaire. Dans le cortex visuel, plusieurs aires distinctes sont ensuite chargées de l'analyse du signal visuel sous l'aspect de la couleur, de la forme ou du mouvement.
ADMIRER - ADORER - AFFECTIONNER - APPRÉCIER - AVOIR LE COUP DE FOUDRE - RÊVER - PRÉFÉRER - SE PASSIONNER - PORTER DANS SON COEUR ... DÉPLAIRE - DÉTESTER - ENVIER - HAÏR - MÉPRISER - REGRETTER - PLAINDRE - PLEURER - SE LAMENTER - CRAINDRE - REDOUTER - TREMBLER - EFFRAYER ...
Une promenade en pleine nature s'accompagne souvent d'une expérience olfactive. L'odeur terreuse de l'humus dans une forêt de feuillus, les riches senteurs de la garrigue exacerbées par le soleil, les effluves d'une haie de conifères, sont autant de paysages odorants que nous identifions sans peine.
Une odeur est le résultat, perçu par le sens de l'odorat, de l'émanation des corps volatils contenus dans certaines substances comme les molécules souvent qualifiées de molécules odorantes ou de parfum, ou de fragrance dans le cas des fleurs.
On peut ainsi dire d'un parfum qu'il a des notes “cuirées” ou “amandées”. Cela peut se dire même d'un ingrédient! La rose de Damas ou Rose Damascena a des notes tantôt citronnées, épicées, fruitées. On parle aussi des notes de tête, notes de cœur et notes de fond pour décrire les 3 niveaux d'une pyramide olfactive.
L'écriture permet d'identifier, de discriminer dans les expériences de vie les événements marquants. Écrire rend ce que nous ressentons plus concret et plus précis. Cela nous permet de prendre du recul. Même quand nous croyons ne pas savoir ce que nous ressentons, il est possible d'écrire sans réfléchir.
L'écriture finit par faire sens, sans qu'on l'ait anticipé, « comme si » notre main ne nous appartenait pas vraiment et savait mieux que nous. Une autre variante possible est d'écrire comme si nous nous adressions à quelqu'un en qui nous avons entièrement confiance.
Les sens nous relient à la vie, ils nous permettent de percevoir le monde qui nous entoure, ils sont au nombre de neuf : l'ouïe, l'odorat, le goût, le toucher, la vue, l'équilibrioception, la thermoception, la proprioception et la nociception .
Le toucher est la première capacité sensorielle à apparaître chez le foetus, bien avant la vision et l'ouïe. Certains récepteurs du toucher font leur apparition dès la 4e semaine de grossesse.
On récapitule chacun des sens en amenant le vocabulaire (toucher, odorat, ouïe, vue) et en les énumérant pour attirer l'attention sur le fait qu'il manque un sens. Les enfants sont ensuite invités à chercher celui qui manque. Selon les idées, l'enseignant étaye pour arriver au goût qu'il rajoute sur sa carte mentale.
Les sens nous relient à la vie, ils nous perme ent de percevoir le monde qui nous entoure, ils sont au nombre de cinq (pour les principaux connus en tout cas) : l'ouïe, l'odorat, le goût, le tou- cher et la vue.
Depuis Aristote, l'être humain a cinq sens : la vue, le toucher, l'ouïe, l'odorat et le goût. Cinq seulement ? Il existe aujourd'hui, parmi les scientifiques, un consensus qui admet quatre nouveaux sens, encore méconnus : la proprioception, l'équilibrioception, la thermoception et la nociception.
Notre appareil olfactif nous permet de les sentir. Les récepteurs de l'odorat se trouve au fond du nez dont le haut et le fond sont recouverts de petits cils qui captent et reconnaissent les odeurs.
Les cinq sens sont: la vue, l'ouie, le toucher, l'odorat et le gout. Chaque sens fonctionne grâce un organe de notre corps. Nous voyons avec les yeux, nous entendons aves les oreilles, nous touchons avec la peau, nous sentons les odeurs avec le nez et nous goûtons les aliments avec la langue.
Dans Le Septième Sens, le biologiste Rupert Sheldrake explore les complexités de l'esprit et constate que nos capacités de perception vont bien au-delà de ce que beaucoup d'entre nous ont pu imaginer. On connaît les cinq sens et un peu plus le sixième sens que l'on rapporte souvent à l'intuition.