Pour exprimer une hypothèse (incertain) : si + imparfait → verbe 2 au conditionnel présent. Si Muriel et Marcel parlaient bien français, ils pourraient mieux comprendre les Parisiens.
Quand une situation ne se présente que dans certains cas ou à une certaine condition ou lorsque qu'on parle plus d'un désir que d'une réalité, on dispose de différentes locutions : au cas où, dans l'hypothèse où, en supposant que, si, etc.
La condition exprime qu'un fait ou un état est indispensable pour qu'en conséquence un autre fait ou état existe. Exemple : si tu es prêt on ira manger ensemble ( à condition que…). L'hypothèse exprime qu'un fait ou un état est imaginé ou supposé. Sa conséquence est donc éventuelle.
La condition exprime très souvent un fait ou un état qui est indispensable pour l'accomplissement d'un deuxième, créant dans une certaine conséquence. De l'autre côté, l'hypothèse réside sur l'expression d'un fait ou d'un état imaginé, où on imaginerait ce qui passerait si l'événement avait eu lieu.
On utilise : -Le mode conditionnel (présent ou passé). - les expressions qui traduisent l'incertitude (peut-être, il est possible que, c'est à peut-être à cause de, c'est peut-être parce que, il est possible que, il se peut que…)
Si tu viens ce soir, tu rencontreras ma famille. D'autres conjonctions de subordination existent pour exprimer l'hypothèse : à condition que, en supposant que, à supposer que, à moins que… , suivies du subjonctif.
La phrase subordonnée introduite par la conjonction « si » se place librement où l'on veut dans une phrase.
Les termes et structures qui expriment la conséquence sont : donc, alors, ainsi, en conséquence, par conséquent, c'est pourquoi, si bien que, de manière que, de façon que, de sorte que, si … que, tellement … que, au point de/que, à tel point que, un tel … que, une telle … que, de tels … que, de telles … que, il suffit ...
Adverbes et conjonctions exprimant l'opposition ou la concession. Les adverbes (et locutions adverbiales) "quand même", "pourtant", "cependant", "néanmoins", "toutefois", "au contraire" et les conjonctions de coordination "mais" et "or" introduisent l'expression de l'opposition et de la concession.
_ On écrit ou quand on peut le remplacer par ou bien. exemple : Posez-le sur la table ou la chaise = posez-le sur la table ou bien sur la chaise. _ On écrit où quand il indique le lieu ou le temps. exemple : Où allez-vous ?
Par cause, on entend l'action ou la situation qui est à l'origine d'un évènement, et par conséquence, on veut dire l'évènement qui résulte d'une action ou d'une situation.
Morphologiquement, pour les verbes du premier groupe (qui sont les plus fréquents), le conditionnel est au futur ce que l'imparfait est au passé simple. Toutefois, dans l'usage scolaire, le conditionnel est parfois considé- ré comme un mode et enseigné comme tel.
Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
Si oui, si tel est le cas.
adj. 1. personne à qui tout est égal, peu appliquée, 2.
QUAND -> Introduction d'une question sur une durée/un moment/en rapport avec le temps, ou pour introduire une subordonnée de temps. Exemples : Quand va-t-elle sortir son prochain album ? - Il sait que je dors quand je ne lui réponds plus.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Comment exprimer l'opposition ? -> en utilisant un infinitif ou un nom précédé de "au lieu de", "bien loin de", "malgré", "en dépit de", "par contre"... C'est la proposition infinitive ou le groupe nominal qui exprime l'opposition. exemples : Au lieu de pleurer, tu ferais mieux de travailler.
dire, déclarer, déblatérer, deviner, discourir, dramatiser, (en) déduire, décider, déclamer, dénier, dicter, demander, décrire, défier… (s')exclamer, (s')écrier, exagérer, évaluer, envoyer, écrire, expliquer, (s')égosiller, (s')étrangler, essayer, (s')enquêter, excuser, (s')excuser, (s')emporter, (s')énerver…
ADMIRER - ADORER - AFFECTIONNER - APPRÉCIER - AVOIR LE COUP DE FOUDRE - RÊVER - PRÉFÉRER - SE PASSIONNER - PORTER DANS SON COEUR ... DÉPLAIRE - DÉTESTER - ENVIER - HAÏR - MÉPRISER - REGRETTER - PLAINDRE - PLEURER - SE LAMENTER - CRAINDRE - REDOUTER - TREMBLER - EFFRAYER ...
Les principaux verbes qui expriment une volonté pour sont : vouloir, exiger, commander, ordonner, prescrire, mander, demander, entendre, prétendre, désirer, aimer, approuver, permettre, souffrir, etc.