Le savon à vaisselle mis à l'arrière du bateau réduit la tension de surface à cet endroit. Le bateau est donc moins tiré vers l'arrière et plus vers l'avant. C'est ce qui le fait avancer.
Pour avancer, le voilier utilise ses voiles et leur orientation dans le flux de l'air. Plus il s'approche du vent (lofer) plus les voiles sont bordées (amenées vers l'axe du bateau), plus il s'en éloigne (abattre) plus les voiles sont choquées. Ceci pour que le bord d'attaque des voiles soit dirigé dans l'axe du vent.
La rame, la roue à aubes ou l'hélice poussent de l'eau vers l'arrière, ce qui fait avancer le bateau : c'est la propulsion.
Lorsque le voilier fait face au vent, il ne peut pas avancer ; on dit alors que c'est le vent arrière. Il doit s'écarter d'env. 45° de l'axe du vent pour pouvoir avancer à l'aide de ses voiles. On met le bateau vent de face quand on veut abaisser la grand voile.
Pour un voilier, la force du vent est indispensable afin d'avancer. Le fait de déterminer la direction du vent est donc essentiel pour le skipper. Cela joue sur sa façon de naviguer et sur la direction prise par le bateau en fonction du vent.
De 5 à 20 nœuds
C'est idéal pour pratiquer la voile habitable ou la voile légère, type dériveur. Les conditions sont maniables à toutes les allures — même au près — et l'on peut naviguer toutes voiles dehors. L'état de la mer est généralement assez calme et les vagues sont souvent inférieures à 1 m.
Mathématiquement, la stabilité est liée à l'inertie du plan de flottaison du bateau par rapport à son axe. Le cas extrême est ainsi celui d'un multicoque, très large, mais qui perd brutalement en stabilité lorsqu'il lève une coque et perd ainsi en inertie de son plan de flottaison.
Sur un bateau dont l'hélice tourne à droite en marche avant, on tournera le volant à fond à droite et on n'y touchera plus. En marche arrière, on reculera ainsi à peu près droit tandis qu'on virera franchement à droite en marche avant.
Comme vu précédemment, naviguer au vent signifie naviguer contre la direction du vent, mais pas directement sinon les voiles du bateau battraient et le bateau s'arrêterait. Les marins utilisent un mouvement en zigzag en déplaçant la proue du bateau de gauche à droite à travers le vent afin d'avancer.
Sur les navires publics, l'eau de mer est utilisée pour rincer et pomper l'eau dans la salle de bain à bord. Les gros et petits débris sont collectés dans les réservoirs des toilettes et éliminés au port.
On parle ainsi aujourd'hui du principe d'Archimède pour expliquer la flottaison des bateaux. Si l'équilibre entre le poids de l'objet et la poussée d'Archimède est atteint avant que l'objet soit entièrement sous l'eau : l'objet flotte. En revanche, si l'équilibre n'est pas atteint avant cela : l'objet va couler.
Pour remonter au vent, l'angle de votre trajectoire doit être moindre (75° – 45°). Il faut donc pour cela enchainer une remontée au près en alternant Bâbord et Tribord (en gros, on fait des zigzags pour se rapprocher du vent.)
Le navire va perdre son énergie cinétique et s'immobiliser au bout d'un certain temps. Utiliser le moteur et mettre en marche arrière, ca permet de faire baisser l'énergie cinétique bien plus rapidement en opposant une force de propulsion opposée au mouvement.
Mais par quel mystère, il est possible de remonter vers le vent. Cela s'explique par le forme de la voile qui fonctionne sur le même principe d'une aile d'avion. Le principe (appelé en physique principe de Bernouilli) repose sur la différence de pression entre les deux faces de la voile.
Aussi incroyable que cela puisse vous paraître, les voiliers sont conçus pour se renverser. D'ailleurs, plus ils se renversent, plus ils deviennent stables. Cela peut s'expliquer par le poids de la quille, qui est censé contrebalancer la force exercée sur les voiles.
Les grands navires chavirent généralement à la suite d'une accumulation de problèmes, et/ou d'erreurs humaines. Les entrées d'eau qui s'ensuivent entraînent généralement la perte du navire.
Évitez de rester dans votre cabine et restez sur le pont, à l'air libre. Vous pouvez également vous placer au centre du bateau, qui est l'endroit le plus stable. Si vous sentez arriver le mal de mer, sortez de votre cabine et fixez la mer, le ciel ou tous les éléments fixes qui se trouvent à votre portée.
D'une manière générale dès que le vent avoisine les 17/20 nœuds, il faut se poser la question de maintenir ou non la sortie.
Léger (0 à 9 km/h) Modéré (10 à 40 km/h) Fort/venteux (41 à 60 km/h) Très fort/coups de vent (61 à 90 km/h)
Pour des conditions de vents soutenues (plus de 30/35 nœuds), nous vous conseillons des planches à voile avec peu de volume (moins de 90 litres) comme la Fanatic Grip TE 2022 et une surface de voile entre 4 m² et 5 m² suivant votre gabarit.
Par rapport à leurs homologues dotés d'un réacteur nucléaire, les sous-marins à propulsion diesel-électrique ont une autonomie en plongée très limitée, ce qui amoindrit leur efficacité dans la mesure où ils sont ainsi plus vulnérables aux moyens de détection.
La propulsion spatiale est un domaine de recherche actif, pourtant la plupart des véhicules spatiaux utilisent actuellement le même type de propulsion s'appuyant sur l'éjection de gaz à grande vitesse en arrière du véhicule au travers d'une tuyère. Ce genre particulier de propulsion est appelé moteur-fusée.
Les motomarines sont généralement équipées d'un moteur à turbine. Ces systèmes de propulsion n'ont pas d'hélice qui présente un danger potentiel pour les personnes dans l'eau et pour la vie marine.