Si les parents ne parviennent pas à gérer la situation, ils peuvent proposer à leur enfant de lire des documents d'information et l'inciter à en parler à un médecin, au médecin de famille par exemple. Autre solution : se faire eux-mêmes aider par des conseils, des sites ou consulter un spécialiste.
On doit lui parler, lui poser des questions : "Qu'est ce que tu penses de ta consommation ?", "Est-ce que tu as un problème ?", "Depuis quand fumes-tu" et "Dans quels moments ?".
Le pédopsychiatre conseille de prendre à part son ado : « tu fais quoi là ? ». Demandez-lui pourquoi il fume pour voir sa réaction. Beaucoup de parents, pour conjuguer leurs émotions et leurs angoisses ont tendance à être dans l'autoritarisme, et pourtant il est préférable parfois de retenir ses cris.
Abordez calmement le sujet avec lui alors qu'il n'est pas sous l'effet de l'alcool ou d'une autre drogue. Dites-lui que vous le soupçonnez de consommer ou de jouer ou, si c'est le cas, que vous savez qu'il prend de l'alcool ou d'autres drogues ou qu'il joue à des jeux de hasard et d'argent.
Il se peut qu'il soit très évasif par rapport à ses allées et venues, ou à ses activités. L'adolescent qui se drogue aura souvent un comportement fuyant; il évitera de vous regarder dans les yeux, il passera le plus de temps possible isolé dans sa chambre, il sera peut-être bourru et arrogant en votre présence.
Si les parents ne parviennent pas à gérer la situation, ils peuvent proposer à leur enfant de lire des documents d'information et l'inciter à en parler à un médecin, au médecin de famille par exemple. Autre solution : se faire eux-mêmes aider par des conseils, des sites ou consulter un spécialiste.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Appartenir à un groupe : le souci de reconnaissance ou d'appartenance à un groupe est très important chez les ados. L'acceptation passe par la prise du produit "faire comme tout le monde".
Il y a plusieurs raisons qui poussent un adolescent à fumer : braver un interdit, faire « comme les copains » ou « juste pour essayer » : bien souvent, la première envie de fumer est passagère et sans conséquences grave…
À fortes doses, la drogue peut aussi occasionner des maladies mentales, telles que la schizophrénie, la paranoïa et la psychose. Elle rend aussi les personnes qui en consomment plus agressives, en plus de détruire un nombre considérable de neurones dans leur cerveau.
Les enfants dont les parents ou les personnes qui s'occupent d'eux consomment de l'alcool ou d'autres drogues courent un risque accru de subir des conséquences négatives à court et à long terme, allant de problèmes médicaux à des difficultés sociales, psychologiques et comportementales.
LES RÉSULTATS ESTIMÉS DU TABAGISME CHEZ LES ADOLESCENTS
On estime que le tabagisme sera responsable du décès prématuré (avant 70 ans) de 55 % des jeunes hommes et de 51 % des jeunes femmes qui fument maintenant alors qu'ils n'ont que 15 ans, s'ils continuent à fumer (2).
Parler avec compassion ; écouter sans juger
Mais le ton que vous utilisez est encore plus important. « Compassion » signifie que vous faites de votre mieux pour comprendre ce que ressent votre proche. Cela signifie que vous devez écouter avec empathie et ne pas le juger de quelque façon que ce soit.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
On peut également décrire la toxicomanie et la dépendance comme suit : état de besoin intense. perte de contrôle à l'égard de la consommation ou de sa fréquence. compulsion.
Dans ce cas, il ne faut pas hésiter à faire appel à d'autres personnes. Des membres de votre entourage peuvent vous aider à faire le point sur la situation. Vous pouvez aussi avoir recours à des professionnels. Ils peuvent vous soutenir, vous aider, vous accompagner.
20 cigarettes, affirme une étude médicale publiée hier par la Fondation britannique du poumon. de monoxyde de carbone et de goudron pénètrent dans les poumons.
Fumer de temps à autre un joint de cannabis n'affecte pas les poumons, selon l'étude la plus étendue menée à ce jour sur ce sujet et dont les résultats sont publiés mardi aux Etats-Unis. Cette recherche tend à montrer que le cannabis contrairement au tabac n'endommagerait pas les fonctions pulmonaires.
Les joints peuvent donc être reconnaissables car ils sont blancs et un peu plus longs qu'une cigarette. L'odeur qu'il dégage est également bien particulière. Entre la tisane et l'odeur de feuillage, la fumée est assez épaisse et dégage un parfum assez fort.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Faire respecter la loi, en particulier renforcer l'effectivité de l'interdiction de vente aux mineurs de l'alcool, du tabac et des jeux d'argent. Assurer la sécurité au quotidien dans tous les quartiers et réduire l'offre de produits stupéfiants.
Cependant, certains témoignages ont fait le lien entre la consommation à long terme d'amphétamines et un amaigrissement, un affaiblissement, une décalcification des os, une acné majeure, etc.…