1 – La posture de l'aigle
Prenez appui sur la jambe droite demi-fléchie pour venir enrouler la jambe gauche autour du genou droit, cuisse gauche sur cuisse droite. Faites passer le pied gauche derrière le mollet droit. Gardez le dos bien droit pendant toute l'exécution du mouvement.
On tend les bras
Debout, croisez les doigts en orientant les paumes des mains vers vous. Tendez les bras le plus loin possible comme pour pousser un mur imaginaire en orientant les paumes vers l'avant jusqu'à sentir l'étirement dans le dos. Recommencez 10 fois.
FAUX. Se faire "craquer le dos" (seul ou avec quelqu'un) est absolument déconseillé : seuls les professionnels peuvent correctement effectuer cette manipulation, et on risque par ailleurs de se faire encore plus mal.
La douleur dans le haut du dos peut aussi survenir à la suite d'une blessure ou d'une hernie discale. Bien souvent, cette douleur disparaîtra par elle-même après un peu de repos. Quand la douleur du haut du dos est mineure, on recommande de faire de légers étirements et d'adopter des moyens pour améliorer sa posture.
En faisant craquer son cou, on peut déchirer les artères qui vont vers l'os du cou. Or, la déchirure de ces artères vertébrales peut entraîner un accident vasculaire cérébral. D'ailleurs, la survenue d'une douleur soudaine au niveau du cou peut être un symptôme d'accident vasculaire cérébral.
Étirement vers le haut
Assise, les mains jointes sur le ventre. Monter les mains au-dessus la tête, en gardant les coudes ouverts (premier dessin). Puis tirer les bras vers le haut (second dessin) – maintenir l'étirement cinq secondes – et redescendre sur le ventre sans freiner.
Debout dans un coin tranquille, commencez par expirer profondément. Rejoignez ensuite vos avant-bras pliés devant votre poitrine. Ecartez de nouveau les coudes en sentant vos omoplates se rapprocher et votre cage thoracique s'ouvrir. Le sternum remonte et vous profitez de cette sensation de détente.
Lorsque l'ostéopathe décomprime l'articulation, la pression intracapsulaire diminue et son volume augmente légèrement. Le gaz qui était dissous dans la synovie forme une bulle à l'origine du crac entendu.
En marchant, dos bien droit, effectuer un travail basé sur la respiration : inspirer sur 3 secondes, puis, en expirant, serrer les abdominaux de façon à coller le nombril contre la colonne vertébrale et le remonter vers le haut. Cet exercice doit devenir un réflexe dès que l'on marche.
Causes : tendinite, luxation, après un choc...
Par ailleurs, une déchirure du muscle rhomboïde, situé entre le rachis et l'omoplate, peut elle aussi être la source de douleur. La douleur à l'omoplate peut en outre provenir d'une luxation de l'épaule, un traumatisme que l'on retrouve notamment chez le jeune sportif.
Exercice d'étirement : Droite - gauche
Basculez vos genoux d'un côté en pivotant le haut du corps dans le sens opposé. Inversez la position. Répétez l'exercice 10 fois de chaque côté pour bien étirer votre dos. Peu à peu, vous gagnerez en souplesse et parviendrez même à ce que vos genoux touchent le sol sur le côté.
Ostéopathie, médicaments, chirurgie
Pour libérer le nerf cubital ou le nerf sciatique, place à la kinésithérapie ou à l'ostéopathie. Ces séances permettront de maintenir ou retrouver une bonne mobilité de vos articulations.
Les bras en l'air
Levez les bras en l'air, bien droits au-dessus de la tête comme si vous essayiez de toucher le plafond du bout des doigts. En gardant votre tête et votre torse immobile, bougez les bras en arrière, jusqu'à ce qu'ils passent derrière la tête. Vous devriez ressentir un étirement au milieu du dos.
Penchez la tête vers l'avant tout en gardant le dos droit. Ensuite, inclinez et tournez la tête du côté opposé à votre prise sur la chaise. Avec votre main libre, venez aider doucement l'étirement en tirant l'arrière du crâne pour aider à l'étirement.
Pour ce faire, on inspire et on monte très haut les épaules. On bloque 3 à 4 secondes en haut, puis on relâche d'un coup en soufflant. Cet exercice à répéter, au besoin, plusieurs fois d'affilée, fait circuler le sang, détendre les trapèzes et travailler notre respiration, si précieuse.
Poussez lentement vos hanches vers le haut pour les placer à une distance d'environ 5 à 10 cm du sol. Soulevez aussi votre derrière en gardant votre cou et votre tête à la même position. Pendant que vous réalisez ces mouvements, faites rouler votre cou de la gauche vers la droite sur le rouleau en mousse.
Tout simplement parce que nous nous sentons mieux, plus souples ou moins raides après coup (au niveau de l'articulation manipulée tout du moins). Le soulagement n'est toutefois que temporaire et ses effets s'estompent après une vingtaine de minutes, ce qui conduit généralement les « craqueurs » à récidiver.
Une autre étude démontre que le fait de craquer ses articulations sur une période prolongée peut provoquer un gonflement des articulations et une réduction de la force de préhension. Augmentation du volume articulaire, craquement tendineux, frottements osseux, main arthrosique, blocage articulaire, entorses…
Le rachis maintient la tête au-dessus du bassin, en positions debout et assise. Les éléments d'union entre les vertèbres (disques, articulations postérieures et ligaments) permettent à la colonne vertébrale de bouger sans s'effondrer (se tourner, se pencher, s'incliner,…)
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.