Faites pocher un filet de poisson à chair blanche sans arêtes (sole,morue, aiglefin) dans un peu de lait. Couvrez et laissez mijoter à feu doux de 5 à 10 minutes. Il ne vous reste qu'à réduire en purée lisse ou défaire le poisson à la fourchette et ajouter du lait, si nécessaire.
Ainsi, pour les 1ers repas avec de la viande ou du poisson, il est préférable de les faire cuire à la vapeur ou dans une casserole d'eau bouillante. Ainsi vous obtiendrez une viande (ou poisson) moelleux donc facile à mixer et parfaitement cuit.
A quel âge introduire le poisson ? Le poisson est introduit au moment de la diversification alimentaire (entre 4 et 6 mois révolus), généralement après avoir initié bébé aux légumes et fruits. Il doivent être bien cuits et mixés. Tout au long des introductions, votre pédiatre vous guidera.
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
Compter de 4 à 6 minutes de chaque côté, selon l'épaisseur du poisson. Mettre du beurre (et oignons rose/échalotes) dans la poêle sur feu vif, poser le poisson, et attendre 4-5 minutes, retourner, verser du jus de citron dans la poêle qui s'imprégnera dans le poisson, et laisser cuire 5 minutes.
"Fariner les poissons permet d'avoir une petite croûte en surface, un peu comme une panure. On peut faire les deux mais ce qui est très important, c'est surtout de cuire son poisson dans une poêle antiadhésive si on ne veut pas qu'il accroche.
Remuez une fourchette dans la chair du poisson. Si celle-ci se détache toute seule, alors il est cuit. Votre poisson est doré à la surface, mais pas encore cuit à cœur ? Recouvrez votre plat d'une feuille de papier d'aluminium et laissez cuire encore quelques minutes.
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie. Simplement grillés, au beurre noir, aux câpres, farcis, en papillote, ils offrent une grande variété de présentation.
Sardine, hareng et raie sont les plus riches en vitamine B12. Les poissons se distinguent encore par leur contenu en vitamine E antioxydante, ainsi qu'en vitamine D, laquelle participe à la solidité du squelette et à la vigueur du système immunitaire. Saumon, bar, limande et rouget en sont les mieux pourvus.
Au début, on préfère les poissons blancs (cabillaud, colin, lieu...), mais aussi le saumon. Par contre on évite les poissons fumés et en conserves, qui sont trop forts et trop salés. Et on fait attention aux arrêtes ! On évite par exemple la dorade qui en ont trop.
Privilégiez alors les poissons blancs comme le cabillaud, la julienne, le merlan, le merlu... Le saumon frais devrait également leur plaire. Évitez les poissons crus, fumés (saumon, haddock), les sardines et les maquereaux dont l'odeur assez forte pourrait les rebuter.
Ils sont aussi riches en minéraux comme le sélénium, le fer, le cuivre ou l'iode ainsi qu'en vitamine D. Il est tout à fait possible d'introduire ce groupe alimentaire dès le début de la diversification alimentaire soit entre 4 et 6 mois révolus.
1 an à 4 ans : maximum de 75 g de thon blanc en conserve par semaine. 5 ans à 11 ans : maximum de 150 g de thon blanc en conserve par semaine. Une fois égouttée, une conserve de 170 g de thon contient environ 120 g de chair de thon.
L'AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments) donne des recommandations vis-à-vis de la consommation du poisson : pas de poissons crus ou fumés pour les femmes enceintes et pour les enfants de moins de 30 mois. Le saumon devra être consommé cuit, et à partir de 9 mois pour bébé.
Le meilleur choix est encore le hareng, le colin, le lieu noir et les sardines. Parmi les salmonidés, il est préférable de consommer les poissons de la famille coregonus, le saumon rouge et le saumon du Pacifique.
Ceux-ci comprennent le thon frais/congelé, le requin, l'espadon, le marlin, l'hoplostète orange et l'escolier (des renseignements supplémentaires sur la santé sur l'escolier sont présentés dans la feuille d'information de Santé Canada sur l'escolier et la feuille d'information de l'ACIA.
Le Programme National Nutrition Santé recommande ainsi de ne pas manger du poisson tous les jours : deux fois par semaine suffiraient. Pourquoi ? Bien que le poisson soit source de protéines et qu'il reste en général moins gras que la viande, il contient également moins de fer.
Les poissons plats comme le turbo, les grosses soles, la limande, les barbues, s'accommoderont parfaitement d'une cuisson au four assez simple ou d'une cuisson à la poêle et au beurre. La finesse de leur chair ne nécessite pas un assaisonnement trop marqué.
L'églefin : ce poisson a une chair fine, qui n'a rien à envier à son cousin, le cabillaud.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Re : Cuisson au citron
L'acidité due à l'acide citrique du jus de citron va entraîner la dénaturation des protéines du poisson et produire un effet similaire à la cuisson mais que l'on ne peut pas à proprement parlé dénommé "cuisson" puisque ce terme sous entend l'utilisation de chaleur.
Les poissons à privilégier pour la cuisson de poisson à la vapeur sont le lieu noir, le lieu jaune, le merlu, le saumon et le cabillaud.
Commencez par faire chauffer un filet d'huile d'olive dans votre poêle. Saisissez le dos de cabillaud durant 4 à 5 minutes à feu vif puis baissez le feu. Arrosez-le de beurre pendant 5 à 6 minutes sans le retourner. Assaisonnez et dégustez !