Posez vos mains sur vos genoux ou sur vos cuisses, sans crispation. Vous pouvez à présent respirer librement. Allez-y progressivement. Commencez par 5 minutes de méditation, puis allongez progressivement la durée jusqu'à 10 minutes lorsque vous vous sentez à l'aise.
Si vous débutez, il est recommandé de commencer par de courtes séances de cinq ou dix minutes, par jour. Quelques semaines plus tard, vous pouvez méditer dix minutes le matin et dix minutes, le soir. Avec le temps, vous progresserez vers de plus longues séances.
Le plus simple est la méditation par la respiration : faites le point plusieurs fois par jour en prenant 5 respirations profondes à la suite. Inspirez par le nez et expirez par la bouche. Et pour utiliser la respiration comme moyen de vous détendre, découvrez plus d'exercices de respiration pour combattre le stress.
On porte attention à la respiration, et dès qu'on s'aperçoit qu'on rumine et qu'on n'est plus dans l'instant présent à porter attention à sa respiration, on ramène gentiment mais fermement son attention sur cette fameuse respiration.
Idéale pour débuter, la méditation en pleine conscience est facilement accessible et ne demande pas de préparation particulière. Elle consiste à focaliser votre attention sur ce qui vous entoure et les émotions que vous ressentez à l'instant présent.
La méditation est une gymnastique de l'esprit. Cette gymnastique a pour but d'aider notre esprit à faire abstraction de nos pensées nuisibles, superflues voire néfastes. En effet, ce-dernier est constamment encombré de pensées inutiles (mauvais souvenirs, scénarios catastrophes, etc.).
La méditation, ce n'est pas penser à rien !
Au contraire, en méditation, on est libre de penser à ce que l'on veut, on laisse passer ses pensées (parfois nombreuses !), on les observe, sans les alimenter, et petit à petit, ces pensées vont s'éloigner.
Les pleurs pendant la méditation sont souvent une manifestation d'émotions non résolues et réprimées dans notre subconscient. Lorsque votre esprit est libre de toute pensée, vous êtes capable de vous regarder en face. Et lorsque vous le faites, vous n'aimez pas toujours ce que vous voyez.
Peut-être que vous n'arrivez pas à méditer parce que vous n'êtes pas au bon endroit. Essayez de déterminer un endroit que vous aimez bien. Faites-vous un petit cocon, vous pouvez avoir une bougie, de la déco aussi qui vous invite à la reconnexion à soi.
En position du lotus ou en tailleur, tenez-vous le dos bien droit -cela aide à avoir une bonne respiration – et fermez vos yeux. Inspirez et expirez profondément pour réduire le stress ressenti. La pleine conscience s'attache à l'instant présent ; vivez le sans réserve !
La méditation consiste à être conscient de ce qui se passe en soi à un moment précis : notre respiration, nos sensations, nos émotions… « Quand on est dans l'action, notre cerveau a tendance à penser à un grand nombre de choses ou à convoquer des souvenirs, remarque Yasmine Liénard.
Dans le cas de la relaxation, le but poursuivit est de se détendre, alors qu'avec la méditation, il n'y a pas d'objectif. De fait, au bout du compte la détente finit par se produire en pratiquant la méditation, mais ce n'est pas le cœur du sujet.
En quoi se différencie-t-elle de la prière ? Dans la prière, on s'adresse à quelqu'un – Dieu – et il y a une intention : demander, remercier, célébrer… On utilise des mots. Dans la méditation de pleine conscience, il s'agit de se rendre présent à ce qui est là, à soi, à sa respiration, à ses pensées.
1. Soumettre à une profonde réflexion ; étudier : Méditer une maxime. 2. Préparer quelque chose par une longue réflexion : Méditer un projet.
Concentrez-vous sur votre respiration : on vient inspirez lentement par le nez et expirez-vous lentement par la bouche (5 répétitions) Commencez à marcher sans être dans la précipitation, prenez votre temps. Aucunes pensées ne doit vous distraire, dans le cas contraire, recentrez-vous sur la méditation.
La méditation (za)zen est une pratique spirituelle zen japonaise née de la fusion du bouddhisme et du taoïsme. Le zazen est très ritualisé et dirigé par un maître. Il se pratique au quotidien et au cours de retraite appelée "sesshin", qui signifie littéralement "rassembler l'esprit".
« Lorsque l'on bâille, on a tendance à pleurer un peu. Cela est dû à la contraction des sacs lacrymaux, à la base de l'œil, provoquée par la contraction de la mâchoire lors du bâillement. »
Les méditations de Mike
La chaîne “Mike méditation” est née de ma passion pour la méditation et le développement personnel. Passions que je souhaite partager avec le plus grand nombre. Vos suggestions m'aident à améliorer la qualité de mes méditations alors n'hésitez pas à commenter les vidéos.
Méditer le matin permet aussi de se remettre sur de bons rails après une nuit agitée ou un réveil du mauvais pied. Méditer le soir favorise à l'inverse la mise au calme du mental et l'endormissement.
La méditation stimule le cerveau
La méditation favorise l'attention, la mémoire et limiterait les effets de l'âge sur le cerveau. Ainsi, des chercheurs de Harvard ont montré que la méditation accroît la quantité de matière grise liée à la concentration dans le cerveau.
La pratique de la méditation le soir doit, pour être plus efficace, être réalisée avant le repas ou quelques heures après avoir mangé. En effet, de manière similaire à la méditation matinale après le lever, la méditation le soir est utile lorsqu'elle est effectuée sur un temps qui n'est pas celui de la digestion.
Définitions de « méditatif »
A l'image d'une activité physique, la méditation est une gym du cerveau qui à force "de répétitions" apprend à mieux à se focaliser sur l'instant présent et le geste sportif. En deux à trois mois de pratique régulière on constate de "gros changements" dixit le préparateur mental.