L'alexandrin est, en métrique française classique, un vers composé formé de deux hémistiches (ou sous-vers) de six syllabes chacun, soit un total de douze syllabes. Les deux hémistiches s'articulent à la césure, qui est le lieu de contraintes spécifiques.
(du Roman d'Alexandre, XIIes.) Vers français de douze syllabes. (Par exemple On a souvent besoin d'un plus petit que soi.)
Il doit être composé de 14 vers. Il doit contenir deux quatrains (strophe de quatre vers) suivis de deux tercets (strophe de trois vers), entièrement formés d'alexandrins (vers de douze syllabes). La disposition des rimes composant la finale de chacun des vers doit épouser la structure suivante : ABBA ABBA CCD EDE.
L'alexandrin se divise en deux parties de longueur égale, appelées hémistiches. La coupe au milieu du vers (marquée au non par la ponctuation) s'appelle la césure. La césure correspond toujours à la fin d'un mot. En principe, chaque vers doit constituer une unité de sens et se termine par une marque de ponctuation.
Parce que l'alexandrin, un type de versification a été utilisé pour la première fois dans le Roman d'Alexandre, un recueil de légendes sur la vie d'Alexandre le Grand dont la version latine date du IVème siècle. La première version française a été écrite en octosyllabes (8 pieds) par Albéric de Pisançon en 1120.
3-À l'intérieur du vers, une syllabe composée d'une consonne + -E, suivie d'un mot commençant par une consonne ou un h aspiré, compte pour une syllabe. Le signe ~ indique les liaisons et les enchaînements. Le vers est un alexandrin, celle compte pour une seule syllabe.
L'alexandrin est, en métrique française classique, un vers composé formé de deux hémistiches (ou sous-vers) de six syllabes chacun, soit un total de douze syllabes. Les deux hémistiches s'articulent à la césure, qui est le lieu de contraintes spécifiques.
La tragédie française, à ses origines, faisait alterner l'alexandrin pour les dialogues et des vers plus courts, plus «rythmés», pour les chœurs. Du même coup, I'alexandrin en vient à représenter la langue parlée, donc la prose !
Le vers de douze syllabes, l'alexandrin.
Il peut donner du calme ou de la majesté au sujet traité.
Construction d'un Alexandrin. Comment Appelle-t-on un poème à 16 vers ? Exemples : 16 poèmes ! La plupart des tercets se trouvent dans des sonnets ; rares sont les poèmes dont les strophes ne sont que des tercets, c'est pourtant le cas de La fileuse (de Paul Valéry).
Le sonnet Peletier (parfois appelé « sonnet français ») comporte deux quatrains suivis de deux tercets rimés : abba abba ccd ede — soit deux quatrains avec les mêmes rimes embrassées puis un sizain classique inverti ccd ede.
Dans les rimes croisées, les vers partageant le même son à la finale ne se suivent pas, mais s'alternent (ABAB).
On compte une syllabe dès lors qu'un groupe de lettres comporte une voyelle. Exemples : Ti/pi : 2 syllabes contenant chacune une voyelle. Sû/re/ment : 3 syllabes contenant chacune une voyelle.
Un vers de douze syllabes est appelé dodécasyllabe ou alexandrin. Un vers de plus de douze syllabes est appelé vers libre.
Le décompte des syllabes pose parfois problème. Les types de vers L'alexandrin compte 12 syllabes. Le décasyllabe compte 10 syllabes. L'octosyllabe compte 8 syllabes.
Il existe 3 types de rimes : rimes suivies ou plates (AABB), rimes embrassées (ABBA) et rimes croisées (ABAB). Elles peuvent se trouver dans tous les genres littéraires à partir du moment où il y a des vers.
Les règles concernent généralement le nombre et le type de vers et le nombre et le type de strophes. Par contre, plusieurs règles peuvent aussi préciser le genre et la valeur des rimes ainsi que leur disposition, la présence du narrateur dans le poème, le sujet abordé, etc.
Par exemple, si vous écrivez un poème sur le cerisier de votre jardin, notez « CERISIER » en haut de votre page. Listez ensuite les mots qui riment avec « CERISIER » et qui peuvent évoquer cet arbre comme « PANIER », « CROQUER », « FRUITIER », « POMMIER », « GOUTER » ou « ÉTÉ ».
Cet article est une ébauche concernant la poésie.
Dans un poème, une ligne s'appelle un vers. A la fin de chaque vers, on va à la ligne et on met une majuscule. Un vers comporte un nombre précis de syllabes. Pour compter les syllabes, il faut faire attention au "e" muet.